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Mini423
Bon conseiller
Mini423
Dernière activité le 24/11/2024 à 15:20
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bonjour moi aussi je souffre protate aigue jai des antiboitique je suis auto sondage vesical rétention chronique vessie claquer erreur médical fibroscope
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Jdavid
Win711
Win711
Dernière activité le 14/01/2023 à 16:04
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@David60 t'en ai ou Aujourd'hui ?t'as guerri? T'as fais quoi? Merci de nous aider stp...
Ricardo1974
Ricardo1974
Dernière activité le 02/09/2021 à 11:21
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Bonjour
depuis le 15 juin j ai des brûlures et picotement dans mon urètre , j ai fait un ECBU et prélèvement urétrale avec des sérologies HIV et HCV tous négatif , mon premier urologue n a rien suspecté car pas d écoulement ,et pas de brûlure à la miction , mais des douleurs intenses toute la journée au repos . Il m a prescrit un antibiotique augumentin .. tjrs les mêmes symptômes . Je me suis retourné chez un deuxième urologue qui m a prescrit doximycine pour 14 jours ..tjrs les mêmes symptômes. J ai du refaire une autre ECBU avec PCR urine premier jet pour chlamydia et gonocoque..tjrs négatif .j ai du prendre comme même une mono dose d azytromycîne et une injection de ceftriaxon.. tjrs rien . Je me suis retourné chez le premier urologue et en lui racontant cette aventure . Il a soupçonné une prostatite aigu alors que j ai pas de symptômes de douleur au niveau de la prostate . Il m a prescrit un antibiotique pour 10 jours qui n a rien donné . J ai pas de douleur à la miction non à l ehaculation mais des brûlures intenses à l urètre et surtout au niveau du méat .
que faire svp?
valogne
valogne
Dernière activité le 10/08/2024 à 13:04
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Je sympathise avec vous tous, moi qui entre depuis 2 mois dans cette BNP MAIS outre votre parcours et vos souffrances, il me plairait de lire toutes vos solutions pour durer dans le temps… Je n’ose pas penser que certains d’entres vous ont vécu ce «big problem» depuis 20 ans, 17 ans 15 ans, Lorsque j’ai lu celui qui s’en est débarrassé au bout de deux ans m’a permis de respirer un peu mais quand même 2 ANS c’est terrible…..
J’airemerais que vous me disiez ce que vous avez trouvé pour ces 3 problèmes - et qu’avez-vous trouvé pour durer dans le temps avec:
L’inflammation du pelvien
L’inflammation de l’uretre
Les douleurs au bas-ventre se rendant aux testicules
Merci d’avance,Valogne le canadien (Québécois) pris au Portugal avec ce malheur…
Belles vacances n’est-ce pas?
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Marbeuck
Marbeuck
Dernière activité le 06/10/2024 à 19:10
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@valogne bonjour Valogne juste pour te dire que moi j ai eu ça 3 fois dans ma vie mais la 3 ieme a durée 4 ans j ai guéri et puis 6 mois après le 13 septembre 2023 et rebelote infection urinaire qui démarre suite a une relation sexuelle et me revoilà dans les pb avec en plus l impossibilité de m assoir et des brûlures a l entre jambes douleurs testiculaires etc. Mais bref tt ça pour te dire qu on peu en guérir pour certains mais plus tu en as et plus c est compliqué a mon avis j ai bien peur pour ma part que celle là ne me lâchera plus même si je me bat et fais des essais multiples sur des conseils de membres des posts lu etc.... Perd pas courage .
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L'hypothèse d'une prostatite chronique bactérienne me semble effectivement plausible au vu de tes symptômes persistants de brûlures urinaires et d'inflammation après les rapports. Certaines bactéries comme les mycoplasmes sont des coriaces et arrivent à s'incruster dans la prostate
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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Philippelo
Bonjour,
Je voulais à mon tour témoigner d’une guérison.
J’ai souffert d’une prostatite chronique pendant environ 10 ans, arrivée comme ça, sans événement particulier. 10 ans d’envies impérieuses, de gouttes retardataires, de stress, de déprime mais aussi de recherche… et puis ça va mieux.
J’ai lu et tenté comme tout le monde plein de recettes et méthodes … et je voulais faire part de celle qui a marché pour moi.
J’ai raisonné par pourcentage en me disant : qu'est-ce qui joue, en % sur la pénibilité de cette maladie ?
J’ai d’abord essayé d’en saisir les déclencheurs. J’avais lu que le stress, l’alcool, les exitants (caféine, théine), l’alimentation épicée étaient des amplificateurs de symptôme, sans vraiment y croire …
Avec le recul, je vois les choses comme ça (et c’est une perception totalement personnelle)
Stress (40%)
Oui, je l'ai longtemps nié mais l’aspect psychologique est très fort : il faut agir, d’une manière ou d’une autre sur le stress. La maladie se nourrit elle-même du stress qu’elle génère (t’es sûr que t’as pas envie de pisser, là ? sûr ?) … D’ailleurs rien que d’en parler … (!)
J’ai réalisé que je n’étais pas forcément conscient du stress que je subissais (ou me créais) : environnement professionnel, familial, fatigue, et maladie elle-même etc … Bizarrement ça diminuait beaucoup pendant les vacances.
J’ai appris, avec le temps, à lâcher prise d’une manière générale et les symptômes ont bien diminué … Un détail : je suis passé du caleçon au boxer, ça évite le stress de la dernière goutte ... j'ai mes petits rituels, je me nettoie soigneusement le gland avant de dormir notamment (et ça marche bien !)
M'écoutant sur cette maladie, ma femme lui a donné un nom ridicule qui l’a un peu remise à sa place (la prostatite, hein) : “la pissotte”.
Alcool (20%)
oui, des effets, sans aucun doute. Les lendemains de fête les symptômes étaient/sont plus forts, certains alcools particulièrement impactants (champagne, rhum blanc, whisky), d’autres presque bénéfiques (la bière notamment, avec un effet de purge, ou du moins l’ai-je vécu comme ça). Bon après, l’alcool, ça relaxe, donc effet sur le stress, bien sûr … mais attention les effets secondaires si trop grande quantité !
Je me suis fixé quelques règles : pas d’alcool avant le jeudi, par exemple … pas (trop) d’excès…
Alimentation (10%)
Je n’ai pas noté de vrai gros déclencheur. J’ai changé quelques habitudes : passé du thé au café puis à la chicorée mais sans me prendre la tête et en revenant à l’un ou l’autre de temps en temps … J’évite autant que possible le piment fort (ça c’est assez radical, en revanche).
Inconnu (10%)
Et puis parfois : une crise. Aucun signe vraiment annonciateur. Dans les salles de spectacle, notamment, comme si je me projetais sur scène alors que je suis dans le public ! Un peu de pression et ça recommence. J’en ai pris mon parti. Je n’angoisse plus : je sais que ça repartira tout seul.
Mécanique musculaire (20%) - j'ai pas trouvé plus parlant ...
j’ai essayé pas mal de médications mais rien n’a fonctionné. En revanche je m’astreins à faire du gainage, principalement assis sur une chaise : monter les genoux puis étendre les jambes à l’équerre : c’est quasi miraculeux ! La planche aussi, etc.
Tout ce qui permet de retenir les viscères pour éviter que “ça appuie” sur la zone sensible. D'ailleurs quand c’est trop fort je saisis les viscères à travers la peau du ventre et essaie de les remonter. Ça peut bien soulager … Parfois aussi, le travail digestif peut aider. Une gène ? je machouille un bout de pain ou autre et souvent, ça passe …
Bref, aujourd’hui, je m’estime quasi-guéri. Je sais que ça peut revenir mais aussi que ça peut disparaitre. Il n’y a pas eu de grande révolution, j’ai juste constaté un jour que je n’avais plus eu de vraie crise depuis longtemps et qu’il fallait peut-être que je partage ça avec ceux qui galèrent comme j’ai pu galérer …
Voilà : et donc surtout, relaaax !
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David60
David60
Dernière activité le 03/02/2019 à 14:40
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Ami
Bonjour, pour ma part j’ai fait une infection avec une brûlure du gland qui m’a mené aux urgences. Après consultation, prise de sang et UCBU, rien. J’ai attendu que cela passe mais ça c’est vite transformé en épididyme puis propagé dans les testicules avec une légère hydrocèle. On m’a ensuite prescris d’autres examens (touché rectal et autres) et on a retrouvé un mycoplasma lors d’une spermaculture. Après plusieurs traitements (Bactrime, et Ciflox je crois et 2 autres avant sur une période de 2 à 4 semaines) rien n’a évolué...plus de douleurs localisées si ce n’est que des brûlures au niveau du gland lors de la miction. Aujourd’hui, j’ai refais une spermaculture et plus rien mais je commence à sentir une gêne entre les jambes qui semble ressembler à un gonflement de la prostate. Les brûlures mictionnelles sont toujours là et une inflammation des parties génitales après rapport. Néanmoins j’ai pu remarqué un soulagement lors de la grosse commission.
Mon kinésithérapeute m’a parlé du nerf pudendal qui pourrait être écrasé car j’ai des douleurs au niveau du canal spermatique mais je n’y crois pas trop.
J’ai repris rdv avec un deuxieme urologue car le premier m’a abandonné en me disant que c’est chronique et qu’il ne peut rien faire. J’ai vraiment l’impression que c’est à moi de leur donné un diagnostic, les médecins semblent perdus, alors d’après vous quel examens dois-je demander pour vérifier s’il ny a pas de germe dans ma prostate qui provoquerai cette inflammation ?