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Bipolarité et l'ennui
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sylefi
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sylefi
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Bravo Gérard pour ton parcours de soins psychiatriques combinés à tes choix de modes de prises en charge au fil du temps. Je n'ai pas le même parcours car à l'inverse de toi j'ai voulu quitté au plus vite le CHS pour aller dans un établissement psychiatrique de la MGEN étant à cette époque professeur des écoles soit trois années post-IUFM (1992-1994) dont deux années en détachement dans le 2nd degré comme éducateur d'internat dans un lycée professionnel d'adaptation (LEA). Au bout d'une année de suivi psychiatrique MGEN, une tentative de mi-temps thérapeutique a avorté au bout de trois mois avec une hospitalisation en HDJ de 22 mois avant d'en sortir avec un projet professionnel dans le secteur privé sous couvert d'une mise en disponibilité. Après deux années de disponibilté et une demande de réintégration dans l'EN, le comité médical académique a conclu à une inaptitude médicale absolue et définitive avec une décision de radiation. Clap de fin pour ma courte carrière de professeur des écoles, une reconversion de plus en échec entre deux autres reconversions professionnelles. Dans la dernière séquence de ma vie depuis 2012, ma dernière psychiatre m'a prescrit pendant plus de trois ans des benzodiazépines (Xanax) pour me calmer de mes angoisses avec cet anxiolytique qui ne devrait pas être prescrit au long cours à cause du risque de dépendance et d'effets délétères au niveau cognitif. Me voilà sevré depuis fin 2015 et cela me va bien comme cela même si j'ai maintenant une perte de concentration. Je croise les doigts pour mon avenir sans certitude de ma part. Bon week-end. Sylvain
PS : Une pensée amicale pour Laurence après son calvaire du jour chez son dentiste.
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Sylvain
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@sylefi
La maladie t' a cueilli en début de carrière d' enseignant comme moi qui étais un jeune instituteur détaché pour devenir professeur de DEUG et qui, après sa licence d' histoire-géographie a réussi le concours d' entrée à l' IPES formant les Capessiens et les Agrégés.
Moi aussi, cette maladie a cassé mon élan professionnel puisque c' est pendant la préparation du Capes que ça m' a pris et à l' issue de mes 3 ans de Maladie longue durée on m' a déclaré apte et réintégré à plein temps dans mon corps d' origine, celui des Instituteurs où j' ai fait une carrière honorable, sans dire à quiconque que j' étais bipo car c' est très mal vu par l' EN.
En refusant la Verrière j' ai donc eu du nez, ainsi mon passé psychiatrique était inconnu de l' EN ce qui m' a probablement évité d' être radié comme toi. Ce genre de clinique est à éviter car elles ne soignent pas vraiment notre maladie assez spéciale, elles se contentent de remettre sur pied une catégorie de malades en essayant de les récupérer et j' avais senti l' arnaque car, être bipo ne nous empêche pas de penser juste ni d' avoir mal aux dents comme tout le monde!!!
Nos pensées vont à Tibanem qui j' espère est sortie vivante de chez son dentiste en attendant l' épreuve du coiffeur.
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Ami
@Sylefi
Je reviens à toi car ton cas m' intéresse surtout ce que tu vis maintenant. Tu as bien fait de te débarrasser de ces saloperies de benzodiazépines dont on dévient dépendant et qui n' agissent plus au bout d' un certain temps mais provoquent des pertes de mémoire.
Dès la retraite, j' ai donc revu un psy pour qu'il me débarrasse de l' Urbanyl, cet anxyolitique que me prescrivait mon généraliste et qui m' a servi de béquille pendant toute ma vie professionnelle.
Je voulais trouver avec ce psy une meilleure solution pour soigner ma BP dont j' avais conscience qu' elle pouvait être mieux soignée.
Le psy s' est donné le temps de la réflexion en m' observant bien par le dialogue. Puis, comme j' étais sans médicament et qu' il a bien été forcé de constater que je ne me sortais pas d' un état où mes envies de voyager, de me bouger, de vivre étaient réduites à zéro, il m' a proposé le lithium mais j' ai refusé tout net car trop contraignant. Alors, il m' a parlé d' un nouveau neuroleptique aux effets secondaires améliorés et qui devait agir comme un régulateur de l' humeur: séduit par cette nouveauté, j' ai voulu l' essayer. Mais au bout de six mois, voyant que c' était toujours un neuroleptique avec les effets qu' on connaît, j' ai arrêté de le prendre sans le dire à mon psy dont j' avais peur des réactions. Et finalement, me trouvant encore plus dépressif, j' ai fini par tout lui avouer et qu' il a admis: " vous êtes vraiment dans un état dépressif caractérisé, on va essayer l' effexor". Je lui demandai plus de précisions étant méfiant par expérience. C' était un AD, ne rendant pas dépendant qu' on peut donc arrêter tout de suite sans problème. En contrepartie, cet AD permettant de libérer ma sérotonine, il fallait être vigilant car cela pouvait relancer une phase maniaque. Il m' a donc appris en même temps à observer les signes avant- coureurs de mes hauts tout en m' incitant à lire des témoignages de bipos.
Depuis 5 ans, ma vie est telle que je l' avais rêvée. Mon AD me protège de toute idée noire, me permet d' être extraverti et sûr de moi, d' avoir des projets qui me permettent de ne pas passer ma retraite dans un fauteuil en attendant que ça se passe: je suis actif, entreprenant, je fais du sport, j' écris des petits textes pour mon journal local, j' aide bénévolement une association qui défend une déviation pour améliorer notre qualité de vie...
Et, côté maniaco je me contrôle pour ne pas dépasser les bornes. Et le pire, c' est que ça marche. Tous les 3 mois, mon psy me demande comment je vais et je lui répond que je me sens très bien lui faisant remarquer au passage qu' un bipo ne doit jamais dire à son psy qu' il va bien car c' est le signe d' un déMbit de phase up et je m' empresse de rectifier que je vais à peu près bien.
Voilà mon cher Sylvain où j' en suis et je te souhaite vraiment de reprendre espoir car la solution existe, elle est dans le bon médicament, bien dosé et bien toléré.
grand pere
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Dernière activité le 08/11/2024 à 17:31
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Rien ne nous empêche d'avoir une vie active normale , sauf nous, nos angoisses, nos dépression , tout dépend de l'image que l'on a de soi, l'acceptation de notre maladie et le soutien de nos proches , mais le sentiment de ne plus avoir d'envies est inérante à la bipolarité et est à -1 de l'échelle de la bipolarité coté dépression , sentiment désagréable d'inutilité...Courage
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grand père
anipeps
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anipeps
Dernière activité le 25/04/2020 à 12:42
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@Matique comme quoi il y a des HP où des psy sont moins cons qu'ailleurs....Après ça va moins bien depuis que tu es a la retraite mais n'est ce pas aussi ce sentiment d'être arrivé a une époque de ta vie ou cette fois côté professionnel tu sais que c'est définitivement cuit, cette période aussi où on fait un espèce de bilan de vie qui nous est souvent néfaste....
Ce matin réveil avec le moral dans les chaussettes, juste envie de pleurer....je vais bien, j'ai pleins de projets, mais cette nuit ma jambe m'a fait très mal et là une évidence: il va vraiment falloir que je me fasse opérer....mais j'ai juste la trouille au ventre...en plus avec le petit qui a 2 ans c'est un peu galère surtout qu'on est dans la construction d'une maison en ce moment donc mon mari va être beaucoup absent.....pas simple tout ça, et bien sûr dans ces moments la culpabilité car si je n'avais pas fait cette TS il y a 8 ans on en serait pas là.....
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8 ans déjà que je souffre dans mon corps, et je n'ai que 35 ans...
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bonjour voilà je suis bipolaire depuis 9 ans, j'ai 46 ans et je ne vais pas bien du tout en ce moment. je m'ennuie, je vis seul, n'ai envie de rien, sauf de rentrer chez moi et m'y enfermer.!! je suis fan de sport, j'avais prévu d'aller rouler en velo, j'étais motivé mais là plus rien envie!!! je suis mal et je me plonge dans une solitude qui ne me convient pas du tout. je ne suis plus de psy depuis 4 mois il ne me servait de toute façon à rien mis à part de me donner des médocs et c'est tout, pas aucun appui ni aucune aide. j'ai besoin de parler à quelqu''un, donc voilà !!
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@loneli
Evidemment des psy uniquement prescripteur cela ne sert à rien pire c'est dangereux.
J'en ai connu et je suis bien contente d'avoir enfin le Bon capable de me faire avancer et de me donner le traitement et les soins adaptés.
Je n'ai pas dit que c'était facile. Le principal étant d'avancer.
Mais si tu t'es rendu compte que ton psy ne te convient pas et qu'il est uniquement que prescripteur sauve toi et prend en un autre ex: clinique privée en consultation de jour car tu n'as rien à perdre et tout à y gagner.
Il faut un psy qui maîtrise la maladie bipolaire pas un psy qui donne des médicaments abrutissants ou qui rendent dépendants, qui ont des effets indésirables ingérables et qui se contentent d'un bonjour comment allez-vous, tenez, ça fait tant, votre prochain rendez-vous est le tant,au revoir!
sylefi
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Bonjour Lionel,
Bienvenue sur le site de Carenity autour du thème de l'ennui qui est central pour toi en ce moment. Les conseils de Clash1973 sont de nature à bien clarifier la situation pour sortir du blocage avec son psy. J'adhère totalement à ses arguments. Pour le reste en relation avec ton humeur plutôt fortement à la baisse comme le baromètre en cas de dépression en vue, je comprends tes réactions pour les vivre de temps en temps c'est-à-dire le goût de rien, le repli et le renfermement sur soi avec l'isolement entre quatre murs. Avec en plus le silence et l'assombrissement de la pièce de vie la tête vide sans dormir. Comme un escargot rentré dans sa coquille. Dans ces moments-là je passe mon tour comme au jeu des petits-chevaux. Je me mets en état de protection car je sais que chez moi je ne risque rien sinon de ne parler à personne, même pas à mon épicier du bout de la rue. Pas grave ! Et puis cela revient et je redémarre par des activités basiques comme les courses car il faut bien se nourrir. Puis vient la marche au bord de mer puis les sorties sur OVS en fonction de mes envies tièdes. C'est cyclique et je vis cela avec un minimum de stress sans trop m'en vouloir d'être comme cela comme dans un réflexe d'enfant qui s'épargne une réprimande des parents. Alors Lionel, je te souhaite quand même un bon week-end avec du mieux et pourquoi pas une sortie en vélo dimanche? Bien fraternellement. Sylvain
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Sylvain
lberté31
lberté31
Dernière activité le 19/03/2016 à 18:19
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J'ai été reconnue "bipolaire" en 1998 et depuis en soin avec suivi psychologue, psychiatre.....j'ai un traitement et suis très bien stabilisée. Le soucis, c'est au travail : je fais des bourdes suite à ma grande fatigabilité et à ma perte de concentration. Si des bipolaires rencontrent ces mêmes soucis au travail comment y remédier et que dire au supérieur hiérarchique !!!!!
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Jasmine
Tibanem
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Tibanem
Dernière activité le 27/03/2021 à 08:28
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Ami
Bonjour Iberté , quelle question difficile tu poses là ! La grande fatigabilité et la perte de concentration peuvent être induites par les médicaments , ce que j'ai malheureusement vécu parfois , même si je devais me surinvestir ( croyais-je) plus que de raison pour surmonter ces handicaps au travail .
Si tu fais confiance au médecin de prévention ou du travail ( mais méfi quand même hein !) tu peux lui demander conseil , lors d'une visite obligatoire ou demander un rendez-vous .Ce n'est peut-être pas La solution , ce peut-être dommageable selon le médecin. Voir s'il est possible d'avoir des aménagements ou non , mais là bien sûr , qui dit aménagements dit un minimum de clarté vis à vis de l'employeur et des collègues quant aux inconvénients de ta maladie et des médicaments que tu prends .Et parler tête haute et assumer une maladie psychiatrique dans ce monde violent de l'entreprise peut présenter un risque .
Longtemps je n'ai jamais évoqué ma maladie , qui relevait pensais-du domaine strictement privé , et du respect du secret médical .
Mais mes collègues et hiérarchies ont assisté sidérés à quelques attaques de panique ...qui les ont paniqué.
Tout dépend de ton environnement professionnel , mais les maladies psychiatriques sont mal perçues en général , parce que mal connues , parce qu'effrayantes pour les autres .On devient vite la folle de service si l'on oppose une résistance à la hiérarchie ou à ses collègues , si nous ne nous comportons pas comme des moutons bêlant baissant l'échine , si nous refusons de faire partie d'une meute suiviste ....Et j'en passe .Tous nos actes , toutes nos propositions , tous nos désaccords ne seront vus alors qu'à travers le prisme déformant de la maladie mentale .On ne nous accordera alors plus le moindre crédit , puisque nous ne serons qu'une maladie et plus la collègue ou l'employé modèle .C'est là tout le problème .J'étais partisane les derniers temps de mon activité de la transparence ....Madame Fonction Publique a préféré me réformer , me déclarer en incapacité totale et définitive sur mon poste et sur tous postes de la FP , oubliant au passage mes excellents états de service et un dossier professionnel sans tâche .Bon je te passe les détails .
Tu peux en discuter avec ton médecin "prescripteur" et lui expliquer les handicaps induits par les médicaments , pour voir si par hasard .....
Si vraiment ta fatigabilité et les bourdes que te fait faire ton manque de concentration , si ces deux gros inconvénients perdurent ou s'aggravent tu peux toujours demander un statut de RQTH , qui pourrait te "protéger" en cas de problèmes graves avec ton entreprise .Pourrait hein , ce n'est pas une assurance vie ni un bouclier sans faille non plus .
la maladie mentale , la bipolarité ne sont pas bien vues et pas seulement à l'EN , Matique .C'est général ! Et je crois que tu as bien fait de ne pas passer par les cliniques réservées à la seule Educ Nat pour te permettre de te remettre en selle dans le métier qui était le tien , sans risquer la réforme .
De nombreux bipolaires peuvent continuer à travailler , ils peuvent être même une valeur ajoutée ô comme ils disent , car malgré fatigabilité et manque de concentration , de nombreux bipolaires sont vifs , surinvestsi et ont une capacité de travail hors norme .
Churchill , malade maniaco dépressif , se soignant à l'alcool à haute dose , reste un bourreau de travail , a mené avec stratégie et intelligence la guerre qu'on connait , et devenu ministre sans que sa bipolarité compliquée par l'addiction à l'alcool ne l'en ait empêché .Nous ne sommes pas tous Churchill, loin de là , ne nous souhaitons pas une bonne guerre , mais je voulais prendre ce cas extrème pour dire que les bipolaires peuvent travailler .
Un autre problème peut agir contre nous . Quel type de travail ? Quel type de bipolarité ?
Bipolarité à cycles courts sans période "blanche" , à cycles lents avec de longues périodes de stabilisation ....L'anxièté généralisée que nous connaissons tous à peu près à divers degrés , est elle exogène , provoquée par le type de travail ou endogène aggravée éventuellement par le type de travail .Si nous sommes tous bipolaires , nous ne sommes pas tous les mêmes , la bipolarité est mouvante , les degrés différents et la façon de la vivre ou de la mater forcément propre à chacun .
D'où la difficulté à la stabiliser , les cycleurs courts sont les plus difficiles à soigner , plus facile avec des cycleurs lents avec phase de stabilité plus ou moins longues .
Rien n'est simple dans cette maladie , il ne suffit pas de poser un diagnostique " bipolaire" pour trouver le remède miracle ou au moins apaisant , et rien n'est simple dans le monde du travail dans lequel nous devons nous fondre et essayer de rogner nos "différences" pour rentrer dans le cadre .Etre transparent pour expliquer tes bourdes et ta fatigabilité ne trouvera pas forcément la réponse que tu attends , et le monde professionnel n'en fera pas une excuse SUFFISANTE et ne sera pas forcément bienveillante à ton égard .
Bref je n'ai aucun conseil à te donner , si je dois résumer ma longue contribution matinale .
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Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Je me demande si tous les bipolaires qui sont stabilisés éprouve ce sentiment d'ennui, d'être blasé, désabusé je ne sais pas trop comment définir cet état d'esprit.
Voilà si des bipolaires (ou amis de bipolaires) connaissent Cela ou ont une idée, ou si stabilisés ils sont dans ce cas ou l'ont été. Je pense que ces témoignages pourraient être utiles.