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Les pharmaciens veulent toucher un euro par ordonnance
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Grande question? Il restera et on y va de plus en plus , les livraisons a domicile via Internet
Utilisateur désinscrit
D'accord avec toi hobit, et j'utilise déjà souvent ce moyen. Pour les vivres frais ce sera quand même un peu coton...
rickurz
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rickurz
Dernière activité le 04/01/2021 à 18:50
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bonjour
avec amazon le drone de servie taperas à votre vitre pour vous apporter vos croissants du matin
Utilisateur désinscrit
Il risque d'y avoir un de ces encombrements dans les airs !!!!!
rickurz
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Dernière activité le 04/01/2021 à 18:50
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ben il feront la tournée, comme dans le temps la camionnette du boulanger, qui klaxonnait et tout le monde sortait c'était cool certains en pyjama d'autres en chemise de nuits, en plus on payait par semaine...
BABARD
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En général les effets d'annonces " d'une vie meilleure ".... ne sont pas fiables, mais permettent de faire rêver les gens ! Ils annoncaient la disparition des maladies, de la misère, de .... Mais qu'en est il à présent ! Les nations sont détruites dans une indifférence, presque générale ..... Mais ils vous disent TOUT va bien ...... Mme la marquise, et le peuple y croit !
Utilisateur désinscrit
Mais non ! le peuple n'y croit pas ! Mais il se sent tellement grugé qu'il n'a plus de réaction et c'est précisément le stratagème des politiques : faire que les gens ne réagissent plus !
Utilisateur désinscrit
Jojo, tu nous imagines, nous ici de Carenity, tous dans la rue, avec cannes, déambulateurs, chaise roulante, oxygène et toutes ces joyeusetés, dans la rue en train de taper sur des casseroles pour faire du bruit... rien que d'y penser j'en rigole et ça me fait du bien !
Le rire, on ne le dit jamais assez, est salutaire !
BABARD
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BABARD
Dernière activité le 21/11/2024 à 16:47
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Je ris de vous voir aussi heureux ! Les progrès (?) informatiques, avec leur Iphone etc. font qu'ils ont tous le nez dans ces appareils et vivent dans le virtuel ! Le réveil va être très dur ... mais comme vous dites " on ne peut rien changer " ! Alors.... comme dit mon diabétologue = " laissez pisser le méronos " ! Mais rions .....
Utilisateur désinscrit
oh.... BABAR(D) : très amicalement...
Laisser courir, laisser aller les choses, laisser faire.
Qu'est-ce qu'un mérinos ?
Il se dit dans les milieux autorisés qu'il s'agit d'un ovidé* et, plus précisément, d'une race particulière de mouton dont la laine était très appréciée (en fait, deux races, puisqu'on trouve en France les mérinos d'Arles et ceux de Rambouillet ).
Mais est-ce que le mérinos urine de manière particulièrement importante, suffisamment pour avoir marqué les esprits ? Il semblerait que oui, mais pas plus que les autres ovidés, et que, par conséquent, l'origine de l'expression ne soit pas vraiment liée à ça.
Au début, il y avait "laisser pisser la bête", locution venue, au XIXe siècle (et peut-être avant), des gens qui menaient des attelages et qui choisissaient de s'arrêter pour laisser leurs animaux faire leur petit besoin car, si l'on sait que ces bestiaux, qu'il s'agisse de chevaux ou de bœufs, défèquent volontiers en marchant, il semblerait qu'il leur soit beaucoup plus inconfortable d'uriner en avançant, avec des risques de retenue pouvant provoquer des troubles. Il y avait donc d'obligatoires pauses pipi au cours des longs trajets.
Entre l'avance lente des animaux et les arrêts nécessaires, il fallait que les cochers ou conducteurs d'attelages et les éventuels passagers soient détendus, peu pressés, zen, état d'esprit qui est sous-entendu dans la signification de l'expression qui est ensuite passée dans le langage commun pour signifier "laisser faire".
A la même époque, le mérinos, ou du moins sa laine, était en vogue, le mot étant donc souvent sur les lèvres des gens.
De là, des plaisanteries (la locution ne paraît-elle pas absurde, donc amusante ?), ont provoqué la substitution de la simple bête par notre animal à poils laineux.
* Et non pas, pour ceux du fond près du radiateur, d'une marque de literie.
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Première piste : rémunérer les 550 millions d'ordonnances annuelles, à l'aide d’un forfait d'un euro. Aujourd’hui, les pharmaciens perçoivent une marge dégressive sur chaque boîte de médicaments, à laquelle s’ajoute un forfait de 53 centimes par boîte (qui doit passer à 80 centimes en janvier, puis à 1 euro en 2016). Ce modèle est « inapproprié, contreproductif et délétère pour l’économie de l’officine », estime l’UNPF, qui reprend la recommandation de la Cour des comptes visant à « sortir d’une logique prix/quantité ». « Le cœur de notre métier, c’est l’ordonnance », souligne Michel Caillaud, le président sortant de l’UNPF. Autrement dit, c’est la mission de santé publique, et non la vente de boîtes de médicaments.
Intérêt pour le suivi des traitements récents
Mais les pharmaciens sont surtout motivés par la contrainte économique. Ils ont peur de perdre la manne des génériques, qui leur procure aujourd’hui 30 % de leurs marges via une incitation financière à la délivrance de ces médicaments. « Cette rémunération est aléatoire. Le jour où il n’y aura plus de génériques à substituer, notre rémunération s’effondrera », redoute Michel Caillaud, qui voudrait se servir de cet argent pour financer le forfait de 1 euro par ordonnance. Du coup, les pharmaciens ne seraient plus le fer de lance de la politique du générique. Il faudrait donc compter sur les médecins pour remplir cette tâche.
Deuxième piste: faire payer les fabricants de médicaments plutôt que l’Assurance-maladie. L’UNPF demande l’instauration d’un « honoraire de responsabilité » sur les produits chers et innovants. Il leur serait versé par les laboratoires sous le contrôle des autorités (ANSM et HAS), « en échange de retours d’informations sur l’observance et le suivi des traitements ». Cela concernerait par exemple les traitements contre le cancer ou contre l’hépatite, qui sont récents et dont le prix dépasse 150 euros la boîte. D’ Abbott à GFK, plusieurs grands laboratoires auraient déjà exprimé leur intérêt. La marge du pharmacien n’est que de 6 % sur ces produits contre 26 % pour les médicaments les moins chers. Or les pharmaciens craignent que leurs revenus ne dépendent trop de cette catégorie haut de gamme, puisque les déremboursements portent plutôt sur l’entrée de gamme, du fait d’un service médical rendu plus faible. « Aujourd’hui, la marge est en moyenne de 22 % sur les médicaments, mais si on tombe en dessous de 15 %, le modèle s’écroule », plaide Michel Caillaux.
Source : LesÉchos.fr