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Les pharmaciens veulent toucher un euro par ordonnance
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kikoulo
Bon conseiller
kikoulo
Dernière activité le 02/09/2024 à 01:58
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c'est le mal francais!!il faut voir le revers de la medaille pour se rendre compte du travail fournit par nos medicaux
hors de leur heures remunerées
je dirais plus que 3 heures??? alors ne les critiquons pas nous avons tellement besoin d'eux
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YLES56
Utilisateur désinscrit
J'ai séjourné à plusieurs reprises dans les pays de l'est à l'époque où il y avait encore le communisme... A mon retour définitif en France, bien après la chute du communisme généralisée, j'ai été atterrée de constater que notre société était encore bien plus "paperassière" que celle des pays du bloc soviétique...
Utilisateur désinscrit
ah là là ces pharmacies j'ai hésité pour le choix du sujet pour vous faire part :
Se faire vacciner à la pharmacie de son quartier sera bientôt possible grâce à la création d'un nouveau statut d' « infirmier clinicien » qui permettra désormais aux pharmaciens et aux sages-femmes de pratiquer des actes médicaux.
Dans le cadre du projet de Loi santé proposé par Marisol Touraine est voté, la création du nouveau métier d'« infirmier clinicien » permettra aux infirmiers d'aller plus loin dans leur métier en assurant des soins aux malades chroniques tout en ayant la possibilité de poser un diagnostic, faire une analyse clinique, des prescriptions, et même de la prévention.
Quant aux sages-femmes, elles pourront désormais, vacciner les bébés et leur entourage, pratiquer l'interruptions volontaire de grossesse médicamenteuses et même prescrire des substituts nicotiniques.
Pour finir, les pharmaciens pourront désormais réaliser des actes de vaccination mais, toujours en lien avec le médecin traitant.
Les médecins ne voient pas cette nouvelle loi sous un bon oeil. Interrogé à ce sujet, le président du Syndicat des Médecins Libéraux (SML), Roger Rua déclare ne pas s'opposer à la création du métier d'infirmier clinicien, permettant au « médecin de se concentrer sur son diagnostic en le déchargeant de la réalisation de mesures »
mais, ce qui est inacceptable en revanche, c'est la vaccination par des non-médecins : elle ne servirait qu'à « faire exploser les inimitiés entre professionnels » a-t-il déclaré avant de poursuivre en disant : « le gouvernement veut prendre à Pierre pour donner à Paul, qui sera moins cher.
Cette approche descendante n'est pas la bonne : nous souhaitons que Paul puisse mettre en application des compétences supplémentaires afin que Pierre se consacre à sa propre tâche »,
(même si aujourd'hui, certains ophtalmologistes s'appuient sur des optométristes pour assurer les soins de leurs patients).
fadada
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fadada
Dernière activité le 21/11/2024 à 22:26
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Bonjour
C'est dit
bonne journée
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fadada
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bonjour arnica,je suis contente de vous revoir.jadhère à vos propos.c qui est dit est dit.amicalement.
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Verlap, le message d'Arnica date du mois d'octobre....
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J’adore fadada lol. Photo sympa hi hi
Maria12
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Maria12
Dernière activité le 17/11/2024 à 21:48
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Une personne de ma famille est actuellement hospitalisée dans un service où les infirmiers cliniciens existent ( c'est à titre d'expérience). C'est absolument catastrophique pour le patient: la parole du médecin n'est pas relayée correctement, le patient n'est pas appréhendé dans sa globalité car l'infirmier clinicien ne connait que le domaine dans lequel il travaille, il se permet des décisions arbitraires (par exemple limiter drastiquement la boisson sans justification) ce qui est ensuite contredit par le médecin.
C'est un intermédiaire qui brouille les cartes et sa présence est extrêmement anxiogène pour le patient.
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Maria12.
Utilisateur désinscrit
"Tout être qui juge dans l'ignorance est dans l'erreur". C'est la raison pour laquelle je prie les personnes, qui nous crachent les arguments de M6 et BFM TV, de se renseigner sur la profession de pharmacien avant de nous sortir les vieux stéréotypes du pharmacien au golf.
ayla55
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ayla55
Dernière activité le 06/10/2024 à 18:15
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pas mal la photo de fadada. pour ma part je crois que l'on paye déjà trop de choses ..... il faut arrêter de mettre des taxe partout .
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la vie est belle
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Première piste : rémunérer les 550 millions d'ordonnances annuelles, à l'aide d’un forfait d'un euro. Aujourd’hui, les pharmaciens perçoivent une marge dégressive sur chaque boîte de médicaments, à laquelle s’ajoute un forfait de 53 centimes par boîte (qui doit passer à 80 centimes en janvier, puis à 1 euro en 2016). Ce modèle est « inapproprié, contreproductif et délétère pour l’économie de l’officine », estime l’UNPF, qui reprend la recommandation de la Cour des comptes visant à « sortir d’une logique prix/quantité ». « Le cœur de notre métier, c’est l’ordonnance », souligne Michel Caillaud, le président sortant de l’UNPF. Autrement dit, c’est la mission de santé publique, et non la vente de boîtes de médicaments.
Intérêt pour le suivi des traitements récents
Mais les pharmaciens sont surtout motivés par la contrainte économique. Ils ont peur de perdre la manne des génériques, qui leur procure aujourd’hui 30 % de leurs marges via une incitation financière à la délivrance de ces médicaments. « Cette rémunération est aléatoire. Le jour où il n’y aura plus de génériques à substituer, notre rémunération s’effondrera », redoute Michel Caillaud, qui voudrait se servir de cet argent pour financer le forfait de 1 euro par ordonnance. Du coup, les pharmaciens ne seraient plus le fer de lance de la politique du générique. Il faudrait donc compter sur les médecins pour remplir cette tâche.
Deuxième piste: faire payer les fabricants de médicaments plutôt que l’Assurance-maladie. L’UNPF demande l’instauration d’un « honoraire de responsabilité » sur les produits chers et innovants. Il leur serait versé par les laboratoires sous le contrôle des autorités (ANSM et HAS), « en échange de retours d’informations sur l’observance et le suivi des traitements ». Cela concernerait par exemple les traitements contre le cancer ou contre l’hépatite, qui sont récents et dont le prix dépasse 150 euros la boîte. D’ Abbott à GFK, plusieurs grands laboratoires auraient déjà exprimé leur intérêt. La marge du pharmacien n’est que de 6 % sur ces produits contre 26 % pour les médicaments les moins chers. Or les pharmaciens craignent que leurs revenus ne dépendent trop de cette catégorie haut de gamme, puisque les déremboursements portent plutôt sur l’entrée de gamme, du fait d’un service médical rendu plus faible. « Aujourd’hui, la marge est en moyenne de 22 % sur les médicaments, mais si on tombe en dessous de 15 %, le modèle s’écroule », plaide Michel Caillaux.
Source : LesÉchos.fr