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Le plan de Leclerc pour vendre des médicaments malgré l'interdiction
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Chris31
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Chris31
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Bonjour,
Après avoir lu le post de Juju et la 1ère réponse d'Arnica que je suis à 100% pour ce projet , je dirai donc me concernant qu'Emile Leclerc en choisissant finalement de proposer un "partenariat" aux pharmaciens a une très bonne idée ... maintenant il faut voir ! Côté Pharmaciens comme l'expose Arnica je ne pense pas que les "vieux de la vieille" lol ne seront pas intéressés car ils auraient une baisse bien trop forte à tout point de vue (qui fixerait les prix au final ? que se passerait t 'il au niveau des marges, etc etc ... ) mon avis non compensée par la fréquentation et donc baisse de leur chiffre d'affaire et de leurs revenus ! Par contre , les jeunes diplômés le verront sûrement d'une autre manière étant donné le coût exorbitant engendré lors d'une création d'officine , ou d'un transfert qui plus est dans un lieu qui n'est pas forcément celui qu'il imaginait ( en effet , ça dépend du nbre d'habitants , de plus créer une new officine devient rarissime , c'est plutôt un transfert ou un regroupement) .
Donc E.Lelerc a à mon avis une très bonne idée ... maintenant...les mentalités en règle générale n'évoluent pas assez vite , pour le ph . c'est une sorte de challenge et prise de risques , mais si on pèse le pour et le contre à l'heure actuelle je suis POUR ! Précisons bien que le Ph . restera le seul à dispenser ses médicaments prescrits sur ordonnance , et ce même son officine porte l'enseigne Lelcerc ( et à mon avis si ce projet est adopté , le nom du pharmacien apparaîttra aussi sur l'enseigne
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
clau347
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JE PERSISTE ET SIGNE : Les commerçants ne sont pas des philanthropes. Qui dit commerce dit bénéfices ou bien ils sont masos.Si les bénéfices sont raisonnables,il n'y a rien à redire car il y a des charges à payer le quotidien à assurer,ainsi que des loisirs (personne ne pense qu'il s'agit d'esclaves!).Mais hélas,c'est là que le bât blesse lorsqu'on regarde d'un peu plus près les dits bénéfices il est alors difficile de les qualifier de raisonnables (sinon , pour quelle raison les grandes surfaces pousseraient elles comme des champignons dès qu'une zone du territoire devient une agglomération.Si des petits commerces s'installent de préférence en ville,quel sera leur sort ?
Je veux bien concéder que les pharmaciens d'officine ne le sont pas non plus(des philanthropes ) dans la mesure où une étude a démontré que la plupart réussissaient à se maintenir à flot grâce à la vente de produits issus de la parapharmacie ainsi que des médicaments vendus sans ordonnance!(Celui qui les achète en assume les risques ).
La vocation d'un pharmacien est complémentaire de celle du médecin, il est donc tenu lui aussi à une déontologie.Sans trop m'avancer car je n'ai pas suffisamment de connaissances en la matière,guidée par le bon sens,je pense qu'il doit y être question du respect dû à tout être humain ce qui entraîne entre autres,une relation d'égal à égal avec en corollaire spécifique à la profession de pharmacien la prise en compte de la souffrance de l'autre.Question : comment concilier ceci avec la "philosophie" des directeurs des hypermarchés laquelle peut se résumer ainsi : gagner le plus d'argent possible en considérant le consommateur comme une source de bénéfices substantiels,pratiquer des "prix planchers" ne change rien à l'affaire,car de cette façon on attire de plus en plus de consommateurs.Conséquence logique : augmentation des bénéfices non compensée par une augmentation substantielle du salaire des employés (en particulier les "hôtesses de caisse") qui voient leur charge de travail s'alourdir ; de cela découlent en cascade : augmentation du stress,maladies professionnelles : dos, poignets etc),arrêts maladies en nette progression...
Pour mémoire : le directeur D' AUCHAN possède l'une des premières fortunes de France,curieusement,je n'ai vu nulle part qu'il se tuait au travail ni que ses employés étaient mieux rémunérés que les autres !
Contradicteurs de tout poil à vos plumes!
clau 347
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Chris31
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Chris31
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Coucou clau 347 , heu.... tu t'égares un peu lol ne suis plus trop
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
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clau347,tu as raison,avant le pharmacien,s en sortait grace a la para et aux produits conseils,hors,pour mon cas,sur un rayon de 1km,j ai 3 parapharmacie qui se sont ouvertes!du coup,chiffre de la para=00
mais tant que l on laissera mr Leclerc entrer ds tous les domaines,car apres les grandes surfaces,il y a eu les pompes funebres,et maintenant les pharmacies,et que beaucoup de personne seront "POUR" ca sera juste la mort des pharmacie de village,de quartier(la mienne parle de licenciements)mais ca,cela n a pas l air de deranger,du moment que certaines personnes peuvent tout regrouper d un coup"alimentaire,medicaments et essence"!!!d ou la mort des petits commerces,et surtout un grand manque d humanite!car je doute que ces jeunes pharmaciens recrutes chez LECLERC puissent appeller leurs clients par leur nom,connaitre leurs pathologies par coeur et prendre des nouvelles de la famille!!
je suis surement de la vieille ecole,mais je prefere arreter de de "jouer a la marchande"!!!!
pour les bonbons,on en a ,mais uniquement sans sucre,cela permet aux diabetiques de trouver du choix et aux enfants de se faire des petits plaisirs!
je sais que je vais m attirer les"foudres" de certians,mais je travaille en pharmacie depuis 1981,j aime mon metier,mais le vrai,pas celui propose chez LECLERC!!
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05/02/2025 | Témoignage
Handicap et parentalité : le combat de l’association Action Visible et Handicap
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Julien
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Julien
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«La guerre n'est pas perdue.» , qui se bat depuis des années pour obtenir l'autorisation de vendre des médicaments dans ses hyper et supermarchés, ne baisse pas les bras. Vaincu sur les terrains politique et juridique, il riposte sur ceux qu'il maîtrise le mieux: médiatique et commercial. Le gouvernement a annoncé mi-octobre que les pharmacies conserveraient leur monopole sur les médicaments sans ordonnance. Humex, Nurofen et Doliprane ne seront donc pas vendus dans les 207 espaces parapharmacies des centres E.Leclerc. Autre échec: les docteurs en pharmacie resteront les seuls autorisés à détenir le capital d'une officine.
Qu'à cela ne tienne. «Nous pourrions nous associer avec des pharmaciens», a annoncé lundi sur France Inter Michel-Édouard Leclerc, qui souhaite installer des pharmacies à l'intérieur des galeries commerciales hébergeant ses grandes surfaces. Selon lui, de nombreux propriétaires d'officine sont intéressés. Le distributeur vise aussi les candidats à l'installation qui trouvent trop élevées les sommes exigées par les pharmaciens proches de la retraite pour leur céder leur fonds de commerce. Chez Leclerc, ils trouveraient une alternative leur permettant de s'installer à moindre coût. Pour les attirer, Michel-Édouard Leclerc serait même prêt à leur concéder des loyers peu élevés pour qu'ils vendent des médicaments à prix doux.
Attirer de nouveaux clients
Pour les pharmaciens, ce système offre le triple avantage de faire baisser les loyers, de bénéficier de l'image prix de l'enseigne, mais aussi et surtout profiter de son importante fréquentation. Le système a déjà fait ses preuves auprès des enseignes d'optique (Krys, Optic 2000, Atol…), qui se pressent pour s'installer dans les galeries des centres Leclerc, malgré les 75 magasins d'optique E.Leclerc présents dans l'Hexagone.
Cette diversification permettrait aux adhérents de Leclerc, propriétaire des galeries commerciales, de capitaliser sur l'image de prix bas de l'enseigne en engrangeant des loyers supplémentaires, voire en attirant de nouveaux clients. Dans sa nouvelle offensive, Michel-Édouard Leclerc a la bénédiction du ministre de l'Économie. «Rien n'empêche à Michel-Édouard Leclerc d'avoir une officine de pharmacien dans ou devant son Leclerc, mais ce pharmacien aura l'indépendance d'un professionnel de santé», assurait Emmanuel Macron mi-octobre.
En s'associant avec des docteurs en pharmacie, à qui il pourrait aussi proposer un partenariat d'enseigne, Leclerc ferait coup double. Il pourra proposer des médicaments sur son site Internet ou sur un site dédié, privilège réservé aux propriétaires d'officine. En attendant de déployer sa nouvelle stratégie, Michel-Édouard Leclerc, qui rencontre vendredi Emmanuel Macron à ce sujet, poursuit son combat pour vendre des médicaments sans ordonnance dans ses propres parapharmacies, «la meilleure option pour faire baisser leurs prix», assure-t-il. Une telle autorisation ferait, selon lui, baisser de 20 à 25 % les étiquettes, en offrant l'avantage de rester sous le contrôle de pharmaciens salariés.
LeFigaro.fr