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Le plan de Leclerc pour vendre des médicaments malgré l'interdiction
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Utilisateur désinscrit
je vais vous faire part d'une de mes expériences...
durant ma carrière , j'ai eu des remises en question...puis j'ai eu une période (courte mais très" instructive" ) de chômage et j'avais plus de 50 ans...
il faut savoir que le salaire d'un pharmacien assistant....ne vous ferait pas du tout rêver / à la somme de travail effectuée non rémunérée et la responsabilité ( vous ne pouvez pas dire à un client "c'est 19 h je me barre...et si vous avez en plus le bol de tomber sur une ordonnance un peu , beaucoup compliquée....vous ne partez pas avant 19 h 45 , la fermeture 20 h si les comptes sont bons ...etc...) tout ca pour le même salaire et loin très loin de ce que vous pouvez imaginez....
dc au chômage, j'ai fait les démarches nécessaires et de plus je me suis mise en quête de chercher du boulot de mon coté...
j'ai donc eu une proposition d'une enseigne de grande surface à environ 200 kms (autoroutes) de chez moi pour un salaire exhorbitant ....
ayant des enfants , j'ai refusé la proposition...ce centre m'a relancé en me proposant en plus un logement à leur charge pour m'éviter des AR dans la semaine....et des heures groupées.
voilà les grandes surfaces...et leur façon d'appater les diplômés....
pour moi ces challenges sont terminés ( le pharmacien à 100 m de chez moi est venu me proposer du travail ) mais un jeune, libre de toute contraintes familiales ...pourquoi refuserait t il ??
clau347
clau347
Dernière activité le 22/03/2020 à 16:09
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25 commentaires postés | 3 dans le groupe Revue de presse
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Ami
Comme le disait ma chère grand' mère : "A chacun son métier et les vaches seront bien gardées" Si Leclerc ou autre se met à vendre des médicaments on peut imaginer l'inverse :Un pharmacien vendant des pommes de terre ou de la lessive !
Vendre un médicament est, selon moi un acte grave qui doit être raisonné et s'appuyer sur de solides connaissances en la matière. on m'opposera sans doute que la présence d'un pharmacien diplômé dans le supermarché,placé bien sûr à un endroit stratégique sera garante à elle seule du respect des critères obligatoires de cet acte ; ce à quoi je répondrai de la façon suivante : par définition un supermarché est un endroit où la plupart d'entre nous souhaitent passer le moins de temps possible bien que leurs dirigeants réussissent très bien à trouver des stratégies comme par exemple :changer constamment les produits de place pour nous obliger à changer nos circuits habituels dans les rayons et donc à y passer plus de temps et dépenser davantage (je ne connais pas de commerçants philanthrope),donc imaginons un instant un pharmacien dans cet endroit, pensez-vous sincèrement qu'il n'ait pas reçu le même mot d'ordre que ses collègues vendeurs,à savoir : plus vous vendrez mieux vous serez payé (intéressement aux bénéfices de l'entreprise tout bêtement).Il y a un autre point qui me gêne dans cette affaire,mon pharmacien de quartier prend le temps de m'écouter puis il me guide et me conseille du mieux qu'il peut,souvent il ne me vent rien et me dit de consulter mon médecin.Je doute fortement qu'une telle façon de procéder soit transposable dans le cadre d'un supermarché pour les raisons que je viens d'exposer!
Si quelqu'un est convaincu du contraire,je ne demande pas mieux d'établir le dialogue.
clau 347
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Tout est bénédiction de Dieu
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Utilisateur désinscrit
Allons dire après à un enfant qu'un médicament n'est pas un bonbon, mais que pourtant on en trouve dans la même enseigne..
A chacun son métier. Après on va parler de désert médical, de commune morte car inanimée puisque pas accueillante pour de nouveaux habitants... les commerces meurent et pourtant une commune sans commerce c'est une commune qui meure à petit feu souvent.
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Utilisateur désinscrit
bonjour
je pense que cela existe déjà des pharmacies DANS LES GALERIES marhandes, il y en a une dans le super u à 8 km de chez moi et le connaissant un petit peu, je sais qu'il est totalement indépendant . Ce qui ne m'empêche nullement d'aller (certainement par habitude) voir celui qui est dans ma commune .
bien à vous
scoobidoo
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scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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J'ajoute mon petit grain de sel. Les pharmaciens vendent aussi des bonbons !
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
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Utilisateur désinscrit
C'est différent Scoobidoo t'y trouve pas les bonbons que mangent les enfants et d'ailleurs ce ne sont pas de simples bonbons.
Le sage, mon frère travaille dans un Leclerc et ce qu'ils ont envie de faire ce n'est pas une simple pharmacie de galerie commerciale. D'ailleurs dans quasiment toutes les galeries commerciales il y a déjà une pharmacie.
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Utilisateur désinscrit
@mocouk,
il me semble bien que c'est ce qui est écrit dans le texte que juju nous à mis .
je vais le relire pour être sur
clt
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Utilisateur désinscrit
à moins qu'il y est plusieurs façons de lire le texte c'est bien dans les galeries marchandes
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Utilisateur désinscrit
Possible, mais en tous cas ce n'est pas cela qui traine dans les notes de service du magasin ou travaille mon frère. Cela dépend peut être des implantations Leclerc, car il faut encore qu'il y ai un local de libre dans la galerie marchande..
Enfin, perso je continuerai à aller à ma pharmacie communale.
![avatar exit](/static/themes-v3/default/images/default/user_quit.png?1720004028)
Utilisateur désinscrit
D'ailleurs même si la pharmacie Leclerc est dans la galerie, elle s'appellera quand même Leclerc sinon il n'y a aucun intérêt pour la marque. Donc ça revient au même pour un enfant.
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Julien
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Julien
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«La guerre n'est pas perdue.» , qui se bat depuis des années pour obtenir l'autorisation de vendre des médicaments dans ses hyper et supermarchés, ne baisse pas les bras. Vaincu sur les terrains politique et juridique, il riposte sur ceux qu'il maîtrise le mieux: médiatique et commercial. Le gouvernement a annoncé mi-octobre que les pharmacies conserveraient leur monopole sur les médicaments sans ordonnance. Humex, Nurofen et Doliprane ne seront donc pas vendus dans les 207 espaces parapharmacies des centres E.Leclerc. Autre échec: les docteurs en pharmacie resteront les seuls autorisés à détenir le capital d'une officine.
Qu'à cela ne tienne. «Nous pourrions nous associer avec des pharmaciens», a annoncé lundi sur France Inter Michel-Édouard Leclerc, qui souhaite installer des pharmacies à l'intérieur des galeries commerciales hébergeant ses grandes surfaces. Selon lui, de nombreux propriétaires d'officine sont intéressés. Le distributeur vise aussi les candidats à l'installation qui trouvent trop élevées les sommes exigées par les pharmaciens proches de la retraite pour leur céder leur fonds de commerce. Chez Leclerc, ils trouveraient une alternative leur permettant de s'installer à moindre coût. Pour les attirer, Michel-Édouard Leclerc serait même prêt à leur concéder des loyers peu élevés pour qu'ils vendent des médicaments à prix doux.
Attirer de nouveaux clients
Pour les pharmaciens, ce système offre le triple avantage de faire baisser les loyers, de bénéficier de l'image prix de l'enseigne, mais aussi et surtout profiter de son importante fréquentation. Le système a déjà fait ses preuves auprès des enseignes d'optique (Krys, Optic 2000, Atol…), qui se pressent pour s'installer dans les galeries des centres Leclerc, malgré les 75 magasins d'optique E.Leclerc présents dans l'Hexagone.
Cette diversification permettrait aux adhérents de Leclerc, propriétaire des galeries commerciales, de capitaliser sur l'image de prix bas de l'enseigne en engrangeant des loyers supplémentaires, voire en attirant de nouveaux clients. Dans sa nouvelle offensive, Michel-Édouard Leclerc a la bénédiction du ministre de l'Économie. «Rien n'empêche à Michel-Édouard Leclerc d'avoir une officine de pharmacien dans ou devant son Leclerc, mais ce pharmacien aura l'indépendance d'un professionnel de santé», assurait Emmanuel Macron mi-octobre.
En s'associant avec des docteurs en pharmacie, à qui il pourrait aussi proposer un partenariat d'enseigne, Leclerc ferait coup double. Il pourra proposer des médicaments sur son site Internet ou sur un site dédié, privilège réservé aux propriétaires d'officine. En attendant de déployer sa nouvelle stratégie, Michel-Édouard Leclerc, qui rencontre vendredi Emmanuel Macron à ce sujet, poursuit son combat pour vendre des médicaments sans ordonnance dans ses propres parapharmacies, «la meilleure option pour faire baisser leurs prix», assure-t-il. Une telle autorisation ferait, selon lui, baisser de 20 à 25 % les étiquettes, en offrant l'avantage de rester sous le contrôle de pharmaciens salariés.
LeFigaro.fr