- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forums généraux
- Revue de presse
- La sédation jusqu'à la mort plus encadrée et plus critiquée
La sédation jusqu'à la mort plus encadrée et plus critiquée
- 1 522 vues
- 142 soutiens
- 84 commentaires
Tous les commentaires
Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
le plus terrible est que ce pauvre homme n'est pas mort , imaginez la suite .
Utilisateur désinscrit
je m'imagine tres bien,j'ai un ancien voisin qui a fait ca,il a tué sa femme en fin de vie a coupé les tuyau de gaz et le pavillon a explosé,lui a été projetté au mur mais le vaillier la protéger du feu,3 heures apres quand les pompiers ont pu rentrer dans le lpavillon.ils l'ont sorti grievement brulé,mais en vie ,maintenant c'est lui qui est un légume,et personne pour venir le voir
haiva42
Bon conseiller
haiva42
Dernière activité le 29/01/2021 à 20:10
Inscrit en 2014
145 commentaires postés | 36 dans le groupe Revue de presse
3 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
@peterpanpan mais c'est pas possible des situations comme celle-ci voila le résultat des lois hypocrite de la France je plein ce Monsieur de tout mon cœur
Voir la signature
haiva42
Utilisateur désinscrit
Ma maman a eu un cancer des ovaires pendant 7 ans et 6 opérations en tout , elle a eu une poche sur l’intestin ainsi que pour la vessie. Elle s’est battue contre ce crabe qui l’a rongeait , nous sommes une famille de 8 enfants et nous l’avnos soutenues énormément, mon père aussi .Puis elle a été en service Paliatif d’Angers . Une équipe formidable qui nous a beaucoup aidé tant par leur professionnalisme que leurs sourires.Nous savions bien que maman allait mourir et elle avait donné des directives précises. Ce centre de soins palliatifs a été une aide précieuse et maman a pu partir après toutes ces souffrances, seraine . Alors je suis d’accord avec vos témoignages sur la fin de vie dans la dignité et de choisir comment on va partir pour le dernier voyage et pas finir dans des souffrances atroces . Mais je défends aussi nombre de personnels de santé qui ont un vrai sens humain, et savent garder le sourire, la joie de vivre tout en sachant que leurs patients vont mourir..... Mais ils sont aussi des personnes vraiment adorables et je ne voudrais pas que l’on fasse une généralité de tout les centres de soins palliatifs. Je connais quelqu’un qui travaille dans un centre de soins palliatifs et il dit pas que c’est facile ou difficile ; il donne le meilleur de lui-même pour que les patients partent avec dignité même s’il sait que la France a beaucoup de choses à mettre en place pour moins de souffrance. La maladie est une souffrance et la mort aussi quoiqu’on dise ... Dans ma famille et amis nous avons hélas eu beaucoup de décès et moi- même j’ai accompagné une femme en fin de vie ! .... aucune mort n’est pareil comme d’une maladie à une autre , les patients réagissent différemment aux traitements. Alors ayons de la bienveillance envers les médecins, le personnel hospitalier, et nous pouvons agir auss aux niveau des politiques pour qu’ils changent les lois car cela on peut le faire.
pomme123
Bon conseiller
pomme123
Dernière activité le 23/11/2024 à 12:34
Inscrit en 2014
6 258 commentaires postés | 49 dans le groupe Revue de presse
347 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
et si la famille demande au corps médical de l'endormir en 2 à 3 jours est ce que la demande va être prise en compte!!!je l'ai vu faire à l'hôpital juste hydrater le patient et soins de confort, bon courage bridget 22
Voir la signature
pomme123
pomme123
Bon conseiller
pomme123
Dernière activité le 23/11/2024 à 12:34
Inscrit en 2014
6 258 commentaires postés | 49 dans le groupe Revue de presse
347 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
bonjour, j'ai accompagné plusieurs fin de vie et leur famille , c'est différent pour chacun, je les mettais dans une chambre seule et j'autorisais un membre de la famille à rester la nuit pour l'accompagner, je mettais un lit d'appoint, maintenant on ne reste pratiquement plus à la maison pour mourir c'est plutôt à l'hôpital, la mort fait peur ,je comprends mais elle fait partie de la vie c'est la dernière étape de la vie ,ce qui fait peur c'est de voir souffrir les siens et d'être impuissant face à cette situation, on peut mieux sédater les patients maintenant, pratiquer des soins d'hydratation, de confort et laisser partir sans acharnement thérapeutique, être à l'écoute de la famille; et quand on sait qu'il n'y a plus rien à faire ,laisser partir; c'est pour cela qu'il faut écrire ses dernières volontés et l'avoir sur soi pour qu'il n'y ai pas d'ambiguité
Voir la signature
pomme123
anniev
anniev
Dernière activité le 03/01/2021 à 17:27
Inscrit en 2013
15 commentaires postés | 2 dans le groupe Revue de presse
Récompenses
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
CHACUN doit choisir ce qu'il désire pour partir. Mais en aucun cas , nous devons décider pour les autres.
Si la personne n'a pas exprimé son désir avant d'être très mal, laissons la nature ...
VJPierre
VJPierre
Dernière activité le 20/02/2022 à 10:14
Inscrit en 2017
4 commentaires postés | 1 dans le groupe Revue de presse
Récompenses
-
Engagé
-
Explorateur
La sedation profonde me semble un bon compromis en cas de fin de vie proche afin d'abréger des souffrances.
Voir la signature
Vjp
mariebleu
Bon conseiller
mariebleu
Dernière activité le 20/05/2020 à 17:00
Inscrit en 2016
730 commentaires postés | 7 dans le groupe Revue de presse
4 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
Mon mari et moi abordons souvent le sujet de notre mort. Nous ne souhaitons, ni l'un, ni l'autre, devenir de difficiles malades à la charge de nos enfants. Mais il est compliqué d'envisager une solution possible. Mon mari à toujours été déterminé à disparaître, s'il est conscient. Moi, je voudrais avoir le courage de dire que ça suffit, au moment où mes pathologies auront envahi tout mon espace vital. J'aimerais que mon entourage soit prêt à mon départ et le vive comme la fin de mon chemin, tout simplement. En fait, ce que je redoute, ce n'est pas de mourir, mais de cesser de vivre.
Je sais que des médecins , en France, dans l'intimité des familles ou les services hospitaliers, acceptent de faire un geste déterminant. Ce serait plus simple que tout le monde y ait droit, en toute dignité et que chacun ait un représentant pour le décider, en cas d'inconscience.
J'ai lu que le document rédigé Directives Anticipées n'était valable que trois ans, quelqu'un peut-il me le confirmer ?
Je pense à vous tous dont le quotidien est une épreuve si lourde, moi qui me sens souvent si démunie, alors que j'ai encore une relative autonomie. Que mes pensées viennent vous accompagner avec chaleur et que chacun puisse décider de ce que sera son lendemain.
Très sincèrement.
Marie-Sylvie
Voir la signature
Marie 🎵
patty33
Bon conseiller
patty33
Dernière activité le 06/08/2024 à 09:47
Inscrit en 2017
7 commentaires postés | 2 dans le groupe Revue de presse
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
@mariebleu oui Madame je confirme que c est valable trois ans apres vous refaire les papiers
J ai les papiers dans une enveloppe fermée et mon mari en a aussi;a chaque fois que je suis hospitalisée je donne mon enveloppe a la visite de l anesthesie et je la recupere apres l operation dans ma chambre
Donnez votre avis
Articles à découvrir...
23/11/2024 | Actualités
18/11/2024 | Actualités
Médicaments et libido : les traitements qui peuvent affecter votre désir sexuel ?
16/11/2024 | Actualités
Troubles de l’attachement : quelles conséquences sur nos relations interpersonnelles ?
08/11/2024 | Conseils
La procrastination : mauvaise habitude ou stratégie secrète pour prendre soin de soi ?
09/01/2019 | Nutrition
14/02/2019 | Conseils
La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
15/04/2019 | Conseils
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Louise
Animatrice de communautéBon conseiller
Louise
Animatrice de communauté
Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
Inscrit en 2017
1 216 commentaires postés | 118 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
Bon conseiller
Contributeur
Engagé
Explorateur
Evaluateur
Ami
Encadrer strictement le protocole pour endormir jusqu'à la mort les malades incurables en très grande souffrance : à peine publiées, les recommandations sont déjà contestées, notamment par les partisans de l'euthanasie.
Ces recommandations ont été publiées jeudi par la Haute Autorité de santé (HAS), autorité indépendante qui définit les bonnes pratiques. Mais certains les jugent trop détaillées pour être applicables. La loi Claeys-Leonetti de 2016 avait formalisé le droit à la "sédation profonde et continue". Elle dit que ce traitement provoque "une altération de la conscience maintenue jusqu'au décès, associée à une analgésie et à l'arrêt de l'ensemble des traitements de maintien en vie". Aux patients dans un état désespéré et douloureux, et à leur médecin, le législateur donnait une issue : être sous sédatifs "jusqu'au décès dû à l'évolution naturelle de la maladie", explique la Haute Autorité de santé.
La France interdit l'euthanasie et le suicide assisté, contrairement à trois de ses voisins, Belgique, Luxembourg et Suisse. Le gouvernement d'Emmanuel Macron semble, comme ses prédécesseurs, vouloir en rester là. Même si la fin de vie fait partie des sujets débattus aux États généraux de la bioéthique qu'il a lancés en janvier.
Les médecins pas demandeurs
Pour les partisans de l'euthanasie, la HAS va dans le mauvais sens. "On a eu trois lois sur la fin de vie, en 2005, 2010 et 2016, toujours plus restrictives. Aucune n'a mis fin à un débat qui dure depuis l'affaire Vincent Humbert, et toutes étaient à contre-courant de ce qu'attendent les Français", estime le président de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité,
Jean-Luc Romero. Vincent Humbert est un jeune homme devenu tétraplégique après un accident à 19 ans en 2000, qui réclamait le droit de mourir et avait été euthanasié par sa mère en 2003.
"Les recommandations sont le fait de mandarins, déconnectés d'une certaine réalité. Ils ne font que reprendre la loi en l'exagérant encore", a accusé M. Romero. La HAS souligne la différence entre la sédation profonde, qui aboutit à la mort dans un délai indéterminé, et des actes destinés à la provoquer immédiatement.
Et cette autorité, qui établit les "recommandations de bonnes pratiques" pour les professionnels de santé, précise dans quels cas et comment administrer l'ultime traitement. Les praticiens n'étaient pas forcément demandeurs, d'après Jean-Paul Hamon, président de la Fédération des médecins de France. "Moins on encadrera ces fins de vie, moins on légifèrera, plus ce sera simple à prendre en charge, déclare-t-il. En tant que généraliste installé depuis 45 ans, qui comme tous les autres, ai dû gérer des fins de vie, je vais le dire franchement: face à un patient sur le point de mourir, je ne regarderai jamais un protocole sur la fin de vie."
Un hypnotique sédatif
La HAS distingue deux possibilités: le patient peut encore exprimer sa volonté, ou ne le peut plus. Dans la première hypothèse, la sédation profonde et continue peut s'envisager si un patient "présente une souffrance réfractaire aux traitements", ou "s'il décide d'arrêter un traitement et que cette décision [...] est susceptible d'entraîner une souffrance insupportable". Chez une personne qui ne peut exprimer sa volonté, la sédation est envisageable "si à l'issue d'une procédure collégiale, le médecin arrête un traitement de maintien en vie au titre du refus de l'obstination déraisonnable". "Le médecin en charge du patient prend seul la décision de réaliser ou non la sédation", à l'issue d'une "concertation" obligatoire avec "tous les professionnels impliqués", recommande la HAS.
Cette manière de soulager la douleur concerne uniquement les patients dont "le pronostic vital est engagé à court terme", à savoir si le décès est "attendu dans les quelques heures ou quelques jours qui viennent". Le médicament "le plus utilisé" est le midazolam, un puissant hypnotique sédatif, "en privilégiant la voie intraveineuse", indique la HAS. Elle ne conseille les opioïdes que comme complément.
(AFP)
Et vous, quel est votre position sur la fin de vie ?