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Remèdes naturels
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Saule blanc : propriétés
L’écorce du saule blanc possède des propriétés :
- Antalgique ;
- Anti-inflammatoire ;
- Fébrifuge (fait baisser la fièvre) ;
- Antiseptique
- Tonique général.
- Anaphrodisiaque (réduit la libido) ;
- Antisudorales ;
Le saule blanc permet donc de :
- Soulager les douleurs lombaires chroniques ;
- Soulager les douleurs arthritiques ;
- Soulager les rhumatismes articulaires des genoux et des hanches ;
- Soulager les maux de tête ;
- Soulager les cystites ;
- Soulager les douleurs dentaires ;
- Diminuer les manifestations fébriles dans un état grippal ;
- Prévenir les sueurs nocturnes et les bouffées de chaleur ;
Les chatons de saule ont, quant à eux, des propriétés :
- Antispasmodique ;
- Sédative nerveuse ;
Pour résumer, les propriétés du saule sont quasiment les mêmes que celles de l'aspirine. Certes, moins puissantes, mais à la différence de l’aspirine, il ne fluidifie pas le sang et n’irrite pas la muqueuse gastrique, ce qui n’est pas négligeable.
Il existe sous forme de gélules, compter pour un flacon de 200 gélules un peu moins de 8 euros
La posologie est d'environ 3 à 6 gélules par jour
Utilisateur désinscrit
L' Acerola :
L’acérola, dont le nom botanique est Malpighia punicifolia, est un arbre de la famille des Malpighiaceae.
A noter : le nom d’"acérola" a été donné à cette plante par les conquistadores espagnols.
Cet arbre pousse dans les régions tropicales d'Amérique du Sud (notamment au Pérou et dans les forêts amazoniennes du Brésil et du Venezuela) mais aussi aux Antilles où il est appelé "cerisier-pays".
Il produit un fruit comestible, au goût acidulé et agréable, qui est appelé "cerise acérole", "cerise des Barbades" ou "cerise des Antilles".
Une source naturelle de vitamine C
Le fruit de l’acérola est l’un des fruits les plus riches en vitamine C après le fruit du Terminalia ferdinandiana et le Camu.
Il en contient 1000mg à 2000mg/100g, soit 20 à 30 fois plus que l'orange !
Mais les vertus de la cerise acérole ne se limitent pas à sa teneur exceptionnelle en vitamine C : ce fruit est également riche en vitamine B6, en vitamine B1 et en vitamine A, en flavonoïdes Antioxydants et en minéraux divers (fer, calcium, phosphore, Magnésium et potassium).
Les bienfaits de l'acérola
En tant que source exceptionnelle de vitamine C, l’acérola est utilisé sous forme d’extraits pour ses propriétés tonifiantes et anti-infectieuses.
Il agit comme un immuno-stimulant qui renforce les défenses de l'organisme et peut donc être pris à titre préventif en cas d'épidémie de grippe.
De façon plus générale, il est indiqué pour traiter la Fatigue et les baisses de tonus, pour soigner le Rhume et pour faciliter la reprise de poids après un amaigrissement.
Grâce à sa richesse en minéraux, il peut aussi être utilisé sous forme de cure en cas de surmenage, de stress ou d’angoisse.
Voilà un site comparatif des ventes à base d'acerola
Utilisateur désinscrit
La Sauge :
Noms communs : sauge des jardins, sauge officinale.
Nom botanique : Salvia officinalis, famille des labiées ou lamiacées.
Nom anglais : sage.
Partie utilisée: feuilles
Habitat et origine : originaire des pourtours de la Méditerranée, la sauge est un sous-arbuste qui fut introduit en Europe de l'Est et du Nord au Moyen Âge, puis en Amérique au XVIIe siècle. On la cultive commercialement en Albanie, dans l'ex-Yougoslavie, en Turquie, en Grèce, en Italie, en France, en Angleterre et en Amérique. Elle affectionne les sites bien ensoleillés et les sols bien drainés.
Ne pas confondre la sauge dont on traite dans cette fiche (Salvia. officinalis) avec la sauge chinoise (Dan Shen - Salvia miltiorrhiza), ni avec la sauge de prairie (Artemisia ludoviciana) dont les propriétés diffèrent. En Médecine traditionnelle chinoise, la racine de S. miltiorrhiza est notamment employée pour traiter les troubles hépatiques et circulatoires.
Indications
Améliorer la mémoire (usage interne). Traiter la pharyngite (usage externe).
Traiter l'herpès labial en association avec la rhubarbe (usage externe).
Traiter les troubles digestifs, la transpiration excessive, l'inflammation des muqueuses de la bouche, du nez, du pharynx et de la gorge (usage externe).
Traiter les infections du système respiratoire et les inflammations de la muqueuse buccale, réduire les bouffées de chaleur de la ménopause.
Posologie de la sauge
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Troubles digestifs, transpiration excessive, bouffées de chaleur
Feuilles séchées. Infuser pendant 5 à 10 minutes de 1 g à 3 g de feuilles séchées dans 150 ml d'eau bouillante. Boire 3 fois par jour.
Teinture (1:10). Prendre 25 gouttes, 3 fois par jour.
Extrait liquide (1:1). Prendre de 1 ml à 3 ml, 3 fois par jour.
Extrait sec (5,5:1). Prendre de 180 mg à 360 mg, 3 fois par jour.
Stimulation de la mémoire
Le dosage optimal n’est pas établi, car il a varié au cours des essais, de même que le type de traitement (capsules de feuilles séchées, extrait de feuilles, huile essentielle). Au cours d’un de ces essais, on a utilisé des capsules fournissant de 300 mg à 600 mg de sauge séchée par jour
Attention. La prise continue d’huile essentielle de sauge par voie interne doit se faire sous la supervision d’un aromathérapeute dûment formé.
Inflammation des gencives, des muqueuses de la bouche, du nez, du pharynx et de la gorge
Se gargariser ou badigeonner les parties atteintes avec une infusion : 2 ou 3 gouttes d'huile essentielle dans 100 ml d'eau ou 5 ml d'extrait liquide dans 100 ml d'eau, 3 fois par jour. On peut aussi utiliser cette infusion lorsque le port d'une prothèse dentaire cause des douleurs aux gencives.
Historique de la sauge
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Déjà connue à l'époque des pharaons, la sauge a traversé les siècles et les continents aussi bien comme aliment que comme médicament. Ses propriétés souveraines pour favoriser la digestion et traiter les infections des muqueuses étaient déjà connues des Grecs de l'Antiquité. Ce même usage médicinal fait aussi partie de la médecine ayurvédique (Inde) qui utilise à cet effet quelques espèces locales de sauge. Pline l’Ancien (antiquité grecque) rapportait qu’elle pouvait améliorer la mémoire.
À l'époque des grandes épidémies de peste en Europe, la sauge était l'un des composants du célèbre « vinaigre des quatre voleurs » réputé protéger contre cette maladie. Elle est, encore de nos jours, souvent associée à d'autres plantes pour la préparation de divers remèdes : sirops, décoctions, infusions et pommades.
Recherches sur la sauge
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Mémoire. Au cours d’un essai à double insu avec placebo, un extrait de sauge (teinture) équivalant à environ 1 g de sauge par jour a légèrement amélioré les performances cognitives de patients souffrant de la maladie d’Alzheimer1. Cette étude de 4 mois a été effectuée en Iran auprès de 49 sujets souffrant de déficit cognitif léger à modéré. Les auteurs ont également observé que la sauge pouvait réduire l’agitation des patients.
Quatre autres essais menés par une équipe de chercheurs britanniques ont porté sur des sujets en bonne santé (120 sujets au total) : les résultats indiquent que la sauge, sous forme de capsule de plante séchée, d’extrait de feuilles ou d’huile essentielle, peut stimuler certains aspects de la mémoire à court terme lorsqu’elle est prise avant de passer un test2-5. Elle a aussi réduit le stress et amélioré l’humeur des participants3,4. Au cours de ces essais, les effets de la plante ont varié selon le dosage.
Pharyngite. Au cours d’un essai à double insu avec placebo mené auprès de 286 patients, la sauge a soulagé efficacement la douleur causée par une pharyngite (inflammation du pharynx et de la gorge) d’origine virale6. Les chercheurs ont utilisé un extrait liquide aqueux (15 %) appliqué à l’aide d’un vaporisateur. Dans une étude comparative récente sur 154 sujets souffrant de pharyngite aigüe, une combinaison d’échinacée et de sauge a été aussi efficace qu’un traitement classique (vaporisateur contenant de la chlorhexidine et de la lidocaïne) pour soulager la douleur12. Par contre, la sauge s’est révélée moins efficace qu’un anti-inflammatoire non stéroïdien (chlorydrate de benzydamine) pour soulager la douleur postopératoire causée par une ablation des amygdales ou des végétations adénoïdes13.
Herpès labial. Au cours d’une étude comparative sur 149 sujets, une pommade associant des extraits de sauge et de rhubarbe s'est révélée aussi efficace qu'une pommade à base d'acyclovir (médicament classique) pour guérir des lésions causées par l'herpès labial. La pommade renfermant seulement un extrait de sauge a été un peu moins efficace que les 2 autres produits (la guérison a pris en moyenne une journée de plus)7.
La Commission E d'Allemagne reconnaît l'usage de la sauge pour soulager les troubles digestifs fonctionnels et la transpiration excessive (voie interne) ainsi que pour traiter l'inflammation des muqueuses du nez et de la gorge (voie externe). L’ESCOP lui reconnaît en plus des indications spécifiques pour les inflammations du pharynx, des gencives et des muqueuses de la bouche. En Allemagne, l'efficacité de l'infusion de sauge est aussi reconnue pour traiter les inflammations causées par le port de prothèses dentaires et comme traitement de soutien en cas d'inflammation des muqueuses gastro-intestinales.
Au cours des années 1930, on a mené une série d'études démontrant l'action antisudorifique de la sauge. Une étude allemande au su, menée en 1989 auprès de 80 personnes souffrant de transpiration excessive, indique qu'un extrait aqueux sec (440 mg/jour) était aussi efficace qu'une infusion (4,5 g/jour) pour atténuer la sudation8. Au cours d’une étude au su publiée en 1998 et portant sur 30 femmes, des chercheurs italiens ont conclu qu'un extrait contenant de la sauge et de la luzerne pouvait soulager les bouffées de chaleur attribuables à la ménopause9.
L'acide rosmarinique que renferme la plante contribuerait à son action anti-inflammatoire et neuroprotectrice5,10. Ses composés polyphénoliques, dont les dérivés de l’acide caféique, lui conféreraient une action antioxydante, tandis que les polysaccharides que renferment ses feuilles auraient un effet régulateur sur le système immunitaire11.
Précautions
Attention
L'usage prolongé de l’huile essentielle de sauge ou de l’extrait alcoolique pourrait être toxique pour le système nerveux en raison de sa teneur en thujone : risque de convulsions.
Contre-indications :
Femmes enceintes ou qui allaitent.
Personnes souffrant d’épilepsie.
Effets indésirables :
Aucun aux dosages recommandés.
Interactions :
Avec des plantes ou des suppléments
Aucune connue.
Avec des médicaments
Aucune connue.
GIGI
Bon conseiller
GIGI
Dernière activité le 22/12/2024 à 14:58
Inscrit en 2011
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Ami
Merci Maya !
Debout à l'aube ?
J'utilise beaucoup la sauge (j'en ai dans mon jardin) pour faciliter la digestion. Avant le repas, j'en mange quelques
feuilles et celà agit également sur la vésicule en la stimulant !
Bon dimanche et encore merci
Utilisateur désinscrit
L Tyrosine :
La tyrosine intervient dans la synthèse de la mélanine, le pigment naturel de la peau et des cheveux.
Elle a une action sur la dépression ou l’anxiété et intervient dans la formation du neurotransmetteur épinéphrine à partir de la phénylalanine8. Elle est aussi considérée comme un antioxydant.
Trouble du déficit de l'attention
L'administration de tyrosine par voie orale, en conjonction avec le 5-HTP (précurseur immédiat de la sérotonine) et un certain nombre de cofacteurs et d'adjuvants5, a causé une amélioration significative chez 67 % des 85 participants dans un essai clinique sur le trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité. Suite à un ajustement de la dose basé sur l'excrétion de métabolites urinaires chez ceux qui ne répondaient pas au traitement, le taux de succès s'élevait à 77 %. Il a été fréquemment observé que l'administration de tyrosine n'était pas suffisante, et que la DOPA, sous forme d'extrait standardisé à 40% de la plante mucuna pruniens (pois mascate) était nécessaire pour atteindre les hausses de catécholamines souhaitées (telles qu'évaluées par la mesure de métabolites urinaires)6. Les auteurs de l'étude font remarquer que le degré d'innocuité de ce protocole se compare avantageusement aux méthodes pharmacologiques couramment employées (par exemple, la ritaline)7.
Aliments sources de tyrosine
Comme tous les acides aminés, la tyrosine est présente là où il y a des protéines.
On trouve notamment de la tyrosine dans les aliments suivants :
amande
avocat
banane
produit laitier
fève lima
graine de citrouille
graine de sésame
Cependant, la quantité de tyrosine ingérée ne dépendra pas seulement de ses concentrations dans un aliment donné, mais aussi de la quantité totale consommée. Par exemple, il est plus rare que l'on consomme autant de protéines en mangeant des graines de sésame ou de citrouille que l'on en consomme en mangeant des fèves.
On peut observer de petites étoiles blanches visibles sur la tranche de section de certains fromages. Ce sont des cristaux de tyrosine, qui attestent de la protéolyse qui a eu lieu lors de la maturation du fromage. Cette tyrosine peu soluble dans l'eau se rassemble en fines cristallisations.
La taurine, le guarana et le ginseng sont trois suppléments à base de plantes communément utilisées pour stimuler l'énergie. Les boissons énergisantes contiennent généralement ces trois herbes, le long de la caféine. En dépit des affirmations de ces produits au sujet de leur capacité à vous donner un regain d'énergie, peu de recherches scientifiques ont prouvé que ces boissons peuvent améliorer votre performance mentale ou physique, ou même aider à combattre la fatigue, selon l'Université de la Division de la Californie de l'Agriculture et des ressources naturelles. Bien que la taurine, de guarana et de ginseng sont tous considérés comme sûrs lorsqu'ils sont pris comme dirigé, certains effets secondaires sont possibles, en particulier lorsqu'ils sont pris à fortes doses.
S'il vous plaît consulter votre médecin avant d'essayer des remèdes à base de plantes à la maison.
Taurine
Pas d'effets secondaires graves ont été liés à l'utilisation des suppléments de taurine, selon l'Université du Michigan du système de santé. Toutefois, les produits à base de taurine peut abaisser le taux de sucre sanguin, de sorte qu'ils doivent être utilisés avec prudence chez les personnes atteintes de diabète ou d'hypoglycémie. Les interactions médicamenteuses sont également possibles, y compris avec certains médicaments utilisés en chimiothérapie. Toujours aller sur votre histoire médicale complète avec un praticien de la santé avant d'utiliser des suppléments à base de taurine.
Guarana
Guarana agit de manière similaire dans le corps à la caféine, un si grand nombre des effets secondaires sont similaires à ceux de la caféine. Lors de l'utilisation des produits contenant du guarana, vous pouvez rencontrer des brûlures d'estomac, des gastrites ou des maux d'estomac. L'insomnie et l'anxiété sont également possibles, en particulier avec des doses plus élevées, selon Langone Medical Center à New York University. Rarement, le guarana peut causer des anomalies du rythme cardiaque, y compris l'arythmie grave nécessitant une attention médicale immédiate. Les personnes atteintes de maladies cardiaques, les femmes qui sont enceintes ou qui allaitent et les jeunes enfants ne devraient pas prendre du guarana, en raison de ses effets dans le corps. En outre, l'herbe peut affecter certains médicaments, y compris les inhibiteurs de la MAO, les médicaments contre l'anxiété, des somnifères, des stimulants et les médicaments utilisés pour régulariser le rythme cardiaque. Discutez de vos antécédents médicaux à un professionnel compétent médical avant d'utiliser les produits de guarana.
Ginseng
Lorsqu'il est utilisé selon les instructions aux doses recommandées, le ginseng est généralement considéré comme sûr. Les effets indésirables les plus fréquemment signalés comprennent des maux de tête, troubles du sommeil et troubles gastro-intestinaux, selon le Centre national pour la médecine complémentaire et alternative. D'autres effets secondaires possibles comprennent l'hypertension artérielle, les irrégularités menstruelles et la sensibilité des seins. Toutefois, ces effets secondaires n'ont pas encore été pleinement étudiés et n'ont pas été définitivement lié au ginseng. Produits contenant du ginseng peut également abaisser le taux de sucre dans le sang, surtout chez les personnes qui souffrent de diabète. En raison de ce risque, les personnes atteintes de diabète devraient faire preuve de prudence extrême lors de la prise de produits contenant du ginseng, surtout si elles sont de l'insuline ou d'autres drogues ou suppléments pour contrôler les niveaux de glucose. Il est préférable de parler d'une santé digne de confiance professionnel avant d'utiliser le ginseng pour améliorer votre santé ou le niveau d'énergie.
Juvamine propose une boite de 30 ampoules pour moins de 8 euros à base de taurine, guarana, ginseng, vitamine C
On le trouve dans les parapharmacies
Utilisateur désinscrit
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Aubepine
Noms communs : aubépine, cenellier ou senellier, bois de mai, bonne de nuit, épine de mai, poire d'oiseau, valériane du coeur.
Noms botaniques : Crataegus laevigata (syn. C. oxyacantha), C. monogyna, famille des rosacées.
Noms anglais : hawthorn, cheese tree, mayblossom.
Parties utilisées : les rameaux fleuris (feuilles et fleurs) et, dans une moindre mesure, les fruits.
Habitat et origine : originaire d’Europe et d’Asie, cet arbuste buissonnant muni de longues et solides épines est maintenant répandu dans toutes les régions tempérées de l’hémisphère Nord où il s’installe volontiers à la lisière des boisés. On récolte les rameaux fleuris à la fin du printemps et les fruits mûrs (cenelles ou senelles) au début de l’automne.
Indications
Traiter l'insuffisance cardiaque congestive légère à modérée (classes I et II selon le barème de la New York Heart Association).
Réduire l’anxiété.
Traiter l’insuffisance cardiaque congestive (classe II), soutenir la fonction cardiovasculaire.
Passiflore :
Fleur de la passion, fruit de la passion, grenadille, maracuya, selon que l'on parle de la fleur ou du fruit de cette plante grimpante, la passiflore a suscité, c'est le cas de le dire, une véritable passion chez les jardiniers et les conservateurs d'espèces botaniques. Pourquoi? Parce que, d'une part, c'est une fabuleuse plante aux nombreuses espèces tout aussi spectaculaires les unes que les autres et, d'autre part, étant pour la plupart originaires de la forêt humide de l'Amérique du Sud, plusieurs de ces espèces sont menacées de disparition à cause de la déforestation à grande échelle qu'on y pratique.
Dans les années 1990, on a même créé une société internationale de la passiflore et plusieurs chapitres nationaux existent aujourd'hui de par le monde.
À ce jour, on a répertorié plus de 400 espèces, provenant à 95 % de l'Amérique du Sud. Quelques rares espèces proviennent d'Asie, d'Australie et d'Amérique du Nord, la Passiflora incarnata, notamment, dont il est question ici, et qui est originaire des États-Unis. Elle se différencie de toutes les autres espèces par le fait qu'elle est décidue (elle perd ses feuilles à la saison froide) et qu'elle peut survivre aux froids de l'hiver, relativement tout de même. L'Arctique, « ce n'est pas sa tasse de thé ».
Son nom
haut
Le nom de « passiflore » vient de ce que la fleur est supposée rappeler la Passion du Christ. Les filaments au centre sont censés représenter la couronne d'épines, d'autant plus qu'ils seraient au nombre de 72, précisément le nombre d'épines, à ce qu'il paraît, qui ornaient la couronne du Christ. De son côté, avec ses trois styles, le pistil représenterait les trois clous utilisés pour sa crucifixion tandis que les cinq étamines teintées de rouge à la base symboliseraient les cinq plaies. Enfin, la feuille à la pointe aiguë représenterait la lance et sa face inférieure, marquée de taches rondes foncées, les 30 pièces d'argent que le perfide Judas reçut pour avoir trahi son maître.
On attribue cette légende ainsi que l'origine du nom de la plante, à Jacomo Bosio, moine scolastique italien qui, en 1609, alors qu'il piochait dur, mais sans grands résultats, sur son traité consacré à la croix et au calvaire du Christ, eut la chance inouïe de rencontrer Emmanuel de Villegas, moine mexicain en voyage à Rome qui avait en sa possession des illustrations d'une fabuleuse fleur, alors parfaitement inconnue en Europe.
D'abord sceptique quant à l'existence d'une telle merveille, Jacomo Bosio dut se rendre à l'évidence, car d'autres personnes ayant voyagé dans ce qu'on appelait encore à l'époque la nouvelle Espagne, confirmèrent les dires du moine mexicain. Absolument ravi, le moine érudit trouva là l'occasion unique non seulement d'enjoliver son traité et, par là, de lui donner un petit coup de pouce publicitaire, mais également d'apporter la preuve absolue de l'existence du Christ et de sa Passion, car Dieu son Père n'avait-il pas justement mis volontairement sur le chemin de l'Homo désespérément incredulus cette fabuleuse fleur arborant les symboles du calvaire réunis?
La foi du moine a de quoi édifier parce que, pour nous simples mortels encore attachés aux plaisirs de ce monde, la fleur de la plante rappelle tout sauf la Passion du Christ. Avec ses organes de reproduction démesurés qu'elle expose sans la moindre pudeur et le parfum capiteux qu'elle dégage, on tomberait plutôt ici dans le domaine de la passion humaine.
Et ça se mange?
haut
Le fruit de nombreuses espèces se consomme. Vous avez d'ailleurs certainement goûté au jus de passiflore puisque quelques entreprises de l'industrie agro-alimentaire en offrent sur le marché, généralement en mélange avec d'autres jus de fruits exotiques.
Et ça soigne quoi?
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Dans le sud, les Amérindiens se servaient des feuilles en cataplasmes pour soigner les blessures et les ecchymoses.
Quant au jus du fruit, ils s'en servaient pour soigner les douleurs oculaires. Les feuilles broyées avaient la réputation de soulager les hémorroïdes, les brûlures et les éruptions cutanées.
Absente de plusieurs traités traditionnels de matière médicale, la passiflore est restée relativement peu connue malgré ses propriétés sédatives et calmantes bien réelles et son innocuité pour la majorité des gens. À cet égard, on connaît beaucoup mieux la valériane et le houblon, qu'elle accompagne pourtant fréquemment dans les préparations d'herboristerie. Utile contre l'insomnie, les états nerveux (angoisse, hystérie, palpitations), la neurasthénie, l'excitation cérébrale, voire l'épilepsie, elle a également servi à soigner les troubles de la ménopause. Antispasmodique et anodine, elle soulage les névralgies et l'asthme spasmodique.
La passiflore a tout de même fait l'objet de quelques études récentes; ses propriétés anxiolytiques semblent sur la voie d'être confirmées. Elle serait notamment utile pour soigner l'extrême anxiété causée par le sevrage du cannabis, des opiacées ou de l'alcool. On croit aussi qu'elle peut soigner l'azoospermie, c'est-à-dire l'absence de spermatozoïdes dans le sperme, ainsi que la stérilité et la baisse de libido dont souffrent bien souvent les grands consommateurs d'alcool ou les fumeurs invétérés...
Enfin, la passiflore aurait récemment montré des propriétés antitussives qui confirmeraient son usage traditionnel dans l'asthme.
On la prend sous la forme d'une infusion des feuilles à raison d'une cuillerée à dessert par tasse d'eau bouillante, à infuser dix minutes. Prendre deux ou trois tasses par jour entre les repas, dont une au coucher. Les fleurs sont également efficaces, mais comme elles sont plus rares, on se contente généralement des feuilles. À noter que si vous ramassez les fleurs sur vos plants, vous n'aurez pas de fruits. Désolée, c'est comme ça!
Valeriane :
Noms communs : guérit-tout, herbe aux chats, herbe à la femme meurtrie, herbe à la menstrue et, plus récemment, valium végétal.
Nom botanique : Valeriana officinalis, famille des valérianacées.
Nom anglais : valerian.
Parties utilisées : racine et rhizome.
Habitat et origine : originaire d'Europe et d'Asie du Nord, elle s'est rapidement naturalisée un peu partout, y compris en Amérique du Nord. Elle aime les sols humides et riches en minéraux.
Indications :
Traiter les troubles du sommeil, l'anxiété et l'agitation nerveuse.
Posologie de la valériane
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Par voie interne
Troubles du sommeil
Racine séchée : infuser de 2 g à 3 g, pendant 5 à 10 min, dans 150 ml d'eau bouillante. Prendre de 30 à 60 minutes avant de se coucher.
Teinture (1:5) : prendre de 4 ml à 6 ml, 30 à 60 minutes avant de se coucher.
Extrait normalisé (0,8 % d'acide valérinique ou valérique, 1-1,5 % de valtrates) : prendre de 400 mg à 600 mg, 30 à 60 minutes avant de se coucher.
Agitation nerveuse, anxiété
Racine séchée : infuser de 2 g à 3 g, pendant 5 à 10 min, dans 150 ml d'eau bouillante. Prendre jusqu’à 5 fois par jour.
Teinture (1:5) : prendre de 1 ml à 3 ml, jusqu’à 5 fois par jour.
Extrait normalisé (0,8 % d'acide valérinique ou valérique, 1-1,5 % de valtrates) : prendre de 250 mg à 400 mg, 3 fois par jour.
Notes. Certaines sources mentionnent qu'il faut parfois prendre la plante pendant 2 à 4 semaines avant d'en ressentir pleinement les bienfaits, notamment en cas d'insomnie chronique.
Contrairement à ce qui se produit souvent avec les somnifères de synthèse, la prise de valériane au coucher et aux doses recommandées ne procure habituellement pas de sensation de « lendemain de veille » au lever21,22.
Par voie externe
Bain calmant : Infuser 100 g de racines séchées dans 2 litres d'eau bouillante et ajouter à l'eau bien chaude de la baignoire.
Historique de la valériane
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Les médecins de la Grèce antique, Hippocrate, Dioscoride et Galen, prescrivaient la valériane pour traiter l'insomnie. En grec ancien, le nom de la plante était « Phu », une allusion à l'odeur désagréable qui se dégage des racines séchées et des fleurs fanées. Les anciens Romains l'employaient pour combattre les palpitations et l'arythmie. Au Moyen Âge, la célèbre abbesse et herboriste allemande Hildegarde de Bingen recommandait la valériane comme tranquillisant et somnifère.
Dès la fin du XVIe siècle, les Européens ont commencé à l'employer pour soigner l'épilepsie. De leur côté, les Amérindiens calmaient les convulsions épileptiques en prisant de la poudre de racines de valériane et l'utilisaient également pour soigner les blessures. Durant la Première Guerre mondiale, les Européens ont pris de grandes quantités de valériane pour calmer la nervosité causée par les bombardements. De nos jours, la réputation de la valériane n’a pas faibli et elle est encore très utilisée. Aux États-Unis, par exemple, un sondage réalisé en 2002 par l’organisme Centers for Disease control and Prevention auprès de 31 000 personnes a révélé que 5,9 % des répondants avaient utilisé de la valériane et que 30 % d’entre eux l’avaient fait pour combattre l’insomnie1.
Recherches sur la valériane
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Troubles du sommeil. Jusqu’à présent, la recherche clinique n’a pas réussi à démontrer l’efficacité de la valériane pour traiter l’insomnie. Les résultats obtenus sont contradictoires et peu concluants dans l’ensemble. Dans le meilleur des cas, les personnes ayant pris des extraits de valériane ressentent une amélioration de leur sommeil2,4 et une diminution de la fatigue3. Toutefois, cette perception n’est validée par aucun critère objectif comme le temps d’endormissement, la durée du sommeil ou le nombre de réveils au cours de la nuit 2,5,7,8. Cela fait dire à certains chercheurs que la valériane ne serait pas plus efficace qu’un placebo6.
La seule chose sur laquelle les chercheurs s’entendent, c’est l’innocuité de la plante et la nécessité de mener des études mieux contrôlées2,9. En effet, la disparité des protocoles (dosage des extraits, durée du traitement) pourrait expliquer à elle-seule la variabilité des résultats obtenus. À cela s’ajoute l’hétérogénéité des extraits utilisés. Il faut savoir que la racine de valériane contient plus de 150 composés chimiques dont les proportions varient selon les conditions de culture et de récolte16 et selon les procédés de fabrication. Enfin, l’analyse des résultats est compliquée par la nature même de l’insomnie, un trouble du sommeil multifactoriel, difficile à évaluer et dans le traitement duquel l’effet placebo joue un rôle non négligeable.
La valériane est rarement utilisée seule. Traditionnellement, elle est souvent associée à d’autres plantes ayant des propriétés calmantes, telles que la mélisse ou le houblon. Quelques essais avec ce type de préparation ont donné des résultats positifs9-11.
Récemment, un essai clinique auprès d’une quarantaine de personnes a rapporté un effet bénéfique de la valériane (800 mg par jour pendant 8 semaines) chez des victimes du syndrome des jambes sans repos12. Les chercheurs ont observé une réduction des symptômes, une amélioration du sommeil et une diminution de la somnolence pendant la journée.
Anxiété et agitation nerveuse. Des études menées sur les animaux suggèrent que la valériane pourrait agir sur certains messagers chimiques du cerveau de manière à réduire le stress et l’anxiété13. Quelques essais cliniques ont été menés auprès de personnes souffrant de stress19,20 ou de trouble anxieux généralisé18, mais les résultats sont insuffisants et ne permettent pas, pour l’instant, de valider ces effets sur l’humain14,15,17,25.
La Commission E, l’ESCOP et l'Organisation mondiale de la Santé reconnaissent l'usage de la valériane pour traiter l'agitation nerveuse et l'anxiété ainsi que les troubles du sommeil qui en découlent.
Précautions
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Attention
Éviter de conduire un véhicule ou de manipuler des outils dangereux dans les heures qui suivent la prise de valériane, en raison de son effet sédatif.
Contre-indications
L’innocuité de la valériane n’est pas établie hors de tout doute chez les enfants, les femmes enceintes et celles qui allaitent.
Effets indésirables
Presque inexistants aux doses recommandées, les quelques effets indésirables liés à la prise de valériane se limitent généralement à des malaises gastro-intestinaux légers et passagers.
Prise à hautes doses, la valériane peut causer de la somnolence.
Interactions
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Avec des plantes ou des suppléments
Les effets de la valériane pourraient s'additionner à ceux d'autres plantes sédatives telles que le houblon, la camomille, la mélisse, la passiflore, etc.
Avec des médicaments
Les effets de la valériane pourraient s'additionner à ceux des benzodiazépines, des barbituriques et de tous les hypnotiques, sédatifs et calmants.
Des données cliniques sur des sujets en bonne santé indiquent que la valériane a peu d’effet sur les enzymes qui interviennent dans le métabolisme des médicaments23,24, ce qui implique une absence d’interaction.
Utilisateur désinscrit
Yeux secs
DESCRIPTIF : Avoir des larmes peu abondantes provoquant ainsi une sécheresse des yeux.
Remèdes naturels pour soigner Yeux secs :
Phytothérapie
Camomille (fleurs)
Hamamélis (feuilles)
Vitamines
vitamine A (Rétinol)
vitamine B3 (Niacine)
Autres remèdes
Divers :
Diminuer (ou modifier) le chauffage ou la climatisation
Salive
DESCRIPTIF : Pour éviter la bouche sèche, le manque de salive, par exemple en cas de stress
Remèdes naturels pour soigner Salive :
Phytothérapie
Citron
Autres remèdes
Remèdes de grand-mère :
prendre une gorgée d’eau et la garder quelques secondes en bouche pour réactiver la production de salive ;
manger une tranche de citron
Extinction de voix
Remèdes naturels pour soigner Extinction de voix :
Phytothérapie
Alchémille
Mauve (fleurs)
Romarin (fleurs, feuilles)
Thym (plante en fleurs)
Vélar
Violette odorante (fleurs)
Autres traitements
Argile verte
Miel
Propolis
Autres remèdes
En extérieur, prendre l’habitude de toujours inspirer par le nez ; l’air passant par le nez est filtré et réchauffé.
Certains (les chanteurs par exemple) évitent les produits laitiers, au minimum le temps de guérir.
Remèdes de grand-mère :
gargarismes à l’eau tiède avec du miel (si possible de thym ou romarin) plusieurs fois par jour ;
le soir humidifier la chambre à coucher en y mettant une lessive à sécher, une bassine d’eau sur le radiateur ou une casserole d’eau bouillante ;
gargarismes d’eau chaude à l’argile ;
infusions ou gargarismes de violette
Laryngite, pharyngite
Remèdes naturels pour soigner Laryngite, pharyngite :
Homéopathie
Apis mellifica
Belladonna
Mercurius solubilis
Oscillococcinum
Silicea
Phytothérapie
Argousier (baies)
Camomille (fleurs)
Citron
Mauve (fleurs)
Mélèze (résine)
Orme (écorce)
Plantain (feuilles)
Violette odorante (fleurs)
Aromathérapie (Huiles essentielles)
Eucalyptus
Oligo-éléments
Argent (Ag)
Bismuth
Cuivre (Cu)
Magnésium (Mg)
Soufre (S)
Vitamines
vitamine A (Rétinol)
vitamine B5 (Acide pantothénique)
vitamine C (Acide ascorbique)
vitamine D (Calciférol)
Autres traitements
Bleu de méthylène
Chlorure de magnésium
Miel
Propolis
Vinaigre de cidre
Autres remèdes
ne pas parler ;
ne pas chuchoter, cela nuit aux cordes vocales ;
boire beaucoup d’eau et de tisanes ;
respirer par le nez, en fermant la bouche : cela humidifie l’air que l’on inspire ;
faire une cure de chlorure de magnésium (en poudre ou en comprimés, à acheter en pharmacies ou boutiques bio).
Remèdes de grand-mère :
gargarismes d’infusion de violette, ou d’eau chaude très salée et citronnée ;
miel de romarin ;
propolis ;
gargarismes au Bleu de méthylène ;
inhalation de quelques gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus dans un bol d’eau bouillante ;
tisanes d’orme rouge
Audition
DESCRIPTIF : En cas de baisse de l’audition
Remèdes naturels pour soigner Audition :
Phytothérapie
Ginkgo (feuilles)
Vitamines
vitamine A (Rétinol)
vitamine B1 (Thiamine)
vitamine B2 (Riboflavine)
vitamine D (Calciférol)
vitamine E (Tocophérol)
Autres traitements
Levure de bière
Bourdonnements d’oreilles
DESCRIPTIF : Acouphènes. Bruits, bourdonnements ou sifflements perçus de façon chronique, en dehors de toute stimulation.
Remèdes naturels pour soigner Bourdonnements d’oreilles :
Homéopathie
Chininum sulfuricum
Phytothérapie
Artichaud (feuilles)
Cyclamen (rhizome)
Mélisse (feuilles)
Oligo-éléments
Iode (I)
Magnésium (Mg)
Manganèse (Mn)
Saignement de nez
Remèdes naturels pour soigner Saignement de nez :
Homéopathie
China
Millefolium
Phytothérapie
Chardon Marie (fruits)
Aromathérapie (Huiles essentielles)
Citron
Myrrhe
Autres remèdes
Pencher la tête en avant, moucher délicatement chaque narine pour évacuer les caillots de sang, presser les ailes du nez. Si les saignements de nez persistent au delà de 30 minutes, voir un médecin.
Remèdes de grand-mère :
poser sous la langue un coin de mouchoir qui absorbera la salive et provoquera un afflux de sang dans cette partie de la bouche au détriment du nez ; compter 10 minutes ;
Pour l’anecdote nos grands-mères faisaient porter une clé en fer au contact de la peau du dos, suspendue à un fil passé autour du cou ! A l’heure actuelle, on peut remplacer la clé par un glaçon, posé sur la nuque.
Fragilité vaisseaux sanguins
Remèdes naturels pour soigner Fragilité vaisseaux sanguins :
Homéopathie
Arnica montana
Phytothérapie
Hamamélis (feuilles)
Mélilot officinal (sommités fleuries)
Mauvaise circulation
Remèdes naturels pour soigner Mauvaise circulation :
Phytothérapie
Ail
Citron
Myrtille (feuilles)
Pervenche
Pourpier (plante entière)
Oligo-éléments
Cobalt (Co)
Autres remèdes
Remèdes de grand-mère :
manger de l’ail cru
boire du jus de citron
Fragilité vaisseaux sanguins
Remèdes naturels pour soigner Fragilité vaisseaux sanguins :
Homéopathie
Arnica montana
Phytothérapie
Hamamélis (feuilles)
Mélilot officinal (sommités fleuries)
Jambes lourdes
Remèdes naturels pour soigner Jambes lourdes :
Phytothérapie
Aubépine (fleur, fruit)
Bourrache (fleurs et feuilles)
Chrysanthellum (plante entière)
Cyprès (cône fructifère)
Epine-vinette
Fragon (souche radicante)
Hamamélis (feuilles)
Marronnier d’Inde (écorce)
Mélilot officinal (sommités fleuries)
Prunellier (fleurs, feuilles, fruits)
Vigne rouge (feuilles)
Oligo-éléments
Iode (I)
Lithium (Li)
Phosphore (P)
Potassium (K)
Sélénium (Se)
Autres remèdes
Remèdes de grand-mère :
massage au gros sel de mer humide ;
bain de pieds dans l’eau salée ;
tisane de feuilles d’aubépine, de bourrache et de vigne rouge ;
tisane d’acacia, d’épine vinette, d’aubépine et de prunellier, à prendre sur de très longues périodes (1 an au minimum)
Varices
DESCRIPTIF : Dilatation chronique des veines
Remèdes naturels pour soigner Varices :
Homéopathie
Bellis perennis
Hamamelis virginiana
Phytothérapie
Chou
Cyprès (cône fructifère)
Fragon (souche radicante)
Hamamélis (feuilles)
Lamier blanc (sommités fleuries)
Marronnier d’Inde (écorce)
Mélilot officinal (sommités fleuries)
Sapin
Vigne rouge (feuilles)
Oligo-éléments
Fluor (Fl)
Manganèse-cobalt
Soufre (S)
Vitamines
vitamine A (Rétinol)
vitamine B1 (Thiamine)
vitamine C (Acide ascorbique)
vitamine E (Tocophérol)
Autres remèdes
Remèdes de grand-mère :
douches des jambes à l’eau froide, en commençant par les pieds et en remontant petit à petit ; éviter les bains et l’eau trop chaude ;
cataplasmes tièdes de feuilles de chou de Milan crues ;
massages avec de l’huile essentelle de cyprès ou de sapin
GIGI
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GIGI
Dernière activité le 22/12/2024 à 14:58
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Ami
Enfin, je retrouve dans la liste, les gouttes de l'Abbé Chaupitre numéro 7 pour la nervosité et les troubles du sommeil !
J'en parle autour de moi, personne ne semble connaître ! Je les associe à des comprimés de Tranquital qui contiennent
de la valériane et de l'aubépine !
J'ai commencé en Novembre dernier. Je vous tiendrai au courant du résultat.
A bientôt.
lisou52
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lisou52
Dernière activité le 17/11/2024 à 12:30
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merci pour tous ses remedes de grand mere , il y en a que je ne connaissais pas
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lisou52
Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Bonjour,
Merci pour vos contributions. N'hésitez pas à y ajouter vos sources tant que vous pouvez.
Bien à vous.
Antoine.
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Julien
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Utilisateur désinscrit
Afin de ne pas chercher par la suite dans tout le forum et puisque cela va prendre un peu de temps, j'ouvre ici un nouveau sujet réservé uniquement aux solutions naturelles que je tâcherai de mettre à jour régulièrement
N'hésitez pas à y poster vos suggestions!
Merci!
Je récupère donc le début du sujet :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Glucosamine
http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=glucosamine_ps
voilà 2 liens sur la glucosamine que je découvre aussi
quelques trouvailles sur les plantes :
contre la douleur (saule blanc, aspirine végétale),
contre la fatigue (acérola, cerise des Barbades, vitamine C, ginseng blanc)
contre l’irritabilité du côlon (sauge, herbe sacrée des Latins, ginseng panax)
L-tyrosine, précurseur de la dopamine qui permet une meilleure gestion du stress.
valériane, pavot de Californie et passiflore contre les troubles du sommeil et le stress anxiogène,
l’écorce de saule blanc et du L-tryptophane, précurseur du 5-htp, lui-même messager du neuromédiateur clé de la douleur.
si tu as besoin d' explications plus précises gigi, je me ferai un plaisir de te chercher tout ça
LES TRAITEMENTS NON-MEDICAMENTEUX:
se basent pour une grande partie sur les bienfaits de
1) l’activité physique
Ces activités doivent être bien dosées à chaque étape de la progression et surtout être pratiquées régulièrement. Au départ, il est important de se faire aider par des physiothérapeutes ou autres thérapeutes de la santé formés à:
la relaxation musculaire progressive (méthode Jacobson)
l’aquathérapie (attention à la température de l’eau)
les massages doux (Méthode Trager, Rosen, cranio-sacrale, shiatsu, etc.)
le Qi gong ou le Tai-chi
la respiration profonde
Le rééquilibrage postural
L’acupuncture
L’hypnothérapie
…
Il est recommandé de n’introduire qu’une thérapie à la fois pour bien pouvoir définir si elle apporte l’amélioration escomptée ou non.
L’introduction ou la réintroduction de la marche selon les capacités du moment avec comme but l’augmentation progressive de la durée, même si l’on ne commence que par 5 mn par jour, pour arriver à des séquences de 20 mn, permet d’obtenir de bons résultats par la régularité de sa pratique (en moyenne 3x par semaine).
2) d’une psychothérapie de soutien indispensable, car la fibromyalgie induit un handicap difficile à accepter avec ses symptômes imprévisibles. En découlent des sentiments d’amertume, de frustration, d’insécurité, de découragement, de dévalorisation et de solitude bien compréhensibles, difficiles à surmonter. Ces sentiments deviennent des facteurs stressants supplémentaires aggravant les symptômes physiques. Sortir de ce cercle vicieux devient l’objectif incontournable de toute personne atteinte de fibromyalgie. Ce dernier implique un passage obligé par le développement personnel visant à trouver un nouvel équilibre physique et psychique dont la définition de ses besoins essentiels, l’affirmation de soi, la restauration de l’estime de soi et l’optimisme sont les pierres angulaires.
Parmi les psychothérapies, on peut citer la psychothérapie d’inspiration analytique, la psychothérapie comportementale, la gestalt, la psychothérapie à médiation artistique monomodale ou plurimodale. Cette dernière utilisant les arts plastiques ou la drama a un double effet, le premier la résolution des sentiments négatifs liés à toute maladie chronique et la diminution des douleurs par la focalisation sur l’acte créateur.