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Accepter ses handicaps.
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kelily
Bon conseiller
kelily
Dernière activité le 22/04/2025 à 08:30
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9 504 commentaires postés | 58 dans le groupe La parole des patients - Témoignages
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Bonjour , je vous souhaite une très bonne année 2015 , et aussi a tous ce qui on travailler pour donner leur temps a des personnes qui on besoins eux , BONNE ET HEUREUSE ANNÉE , SANTE , BONHEUR , AMOUR
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KELILY

Utilisateur désinscrit
Bonne année 2015,
On les oublie trop souvent. Des personnes travaillent les WE, fériés... non pour des personnes qui en ont réellement bésoin mais pour satisfaire un bien-être autre, restaurants, cinémas, théâtres, concerts, bars....

Utilisateur désinscrit
Cathy c'est pas parce que je souhaite continuer à bosser que j'ai choisi ma maladie. Elle est présente depuis 3 générations dans ma famille alors j'ai appris à vivre avec et j'ai compris que c'est pas en arrêtant de faire un travail que j'aime qui me fait rencontrer du monde tous les jours et grâce auquel je me sens utile que j'irai mieux moralement. Bref je ne comprends pas le pourquoi de ton commentaire, peux-tu me l'expliquer ?

Utilisateur désinscrit
Merci Kelily mais l'astreinte a été assez calme (une chute transfert et quelques soins) et certains patients m'ont envoyés leurs vœux par texto c'est sympa

Utilisateur désinscrit
@mocouk,
ce n'est pas le jr pour alimenter les dissensions...
Cependant en vous lisant, ok personne ne choisit sa maladie. Vous continuez de bosser parce que vous le pouvez.
Nous sommes nombreux à regretter que la maladie nous empêche de travailler et ce n'est pas un choix mais une obligation;
Séréna
cathy974
Bon conseiller
cathy974
Dernière activité le 04/03/2025 à 12:02
Inscrit en 2013
810 commentaires postés | 56 dans le groupe La parole des patients - Témoignages
13 de ses réponses ont été utiles pour les membres
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Ami
Pour Mocouk,
Je pensais d'après ton écrit que tu étais côté soignant et non malade. Aussi il faut avouer que nos maladies chroniques ne connaissent pas de répis , ni de jours fériés, et qu'en plus on est obligé de travailler moins voire d'arréter. Si tu as la possibilité de pouvoir continuer le travail que tu aimes malgré la maladie alors fonce et prend le plus de plaisir que tu peux. Je te souhaite une bonne année 2015.

Utilisateur désinscrit
Je suis malade et soignante auprès de personnes handicapées de tous âges et de tout handicap. Ce qui m'aide fortement à garder le moral car je vois bien plus lourd handicap au quotidien et ça m'a fortement aidée à accepter la maladie j'en suis persuadée. C'est bien pour cela que je donne beaucoup à mon travail (pas tout, car je sais que du jour au lendemain ça peut changer) et le jour ou peut être je ne pourrais plus faire ce travail, je continuerai à donner bénévolement aux autres, pour garder ce sentiment d'utilité, de fierté (car être fière ce n'est pas une tare bien au contraire). Le bénévolat est très recherché et on peut y donner de son temps quand on veut et quand on peut, donc on ne peut y trouver de prétexte et ça booste.
Donc oui tant que je peux bosser je le fais, et quand je ne le pourrais plus, comme c'est le cas pour mon oncle (fibro et spondy + maladie de Crohn) je ferai comme lui, je consacrerai mon temps aux autres pour me sentir bien et être utile.
Très bonne année, remplie de belles choses positives pour toi et tes proches.

Utilisateur désinscrit
On ne peut plus bosser donc pour "être utile et se sentir bien"....
La modération dans les propos n'est pas votre principale qualité.

Utilisateur désinscrit
Si même les patients dont je m'occupe dont certains ne peuvent même plus bouger un doigt suite à une tétraplégie complète, arrive à donner de leur temps aux autres, je pense qu'il n'y a pas que par le travail que l'on peut être utile et se sentir bien. Eux le font grâce au bénévolat, ça leur apporte beaucoup et il donne aussi beaucoup aux autres.
L'acceptation du handicap comme c'est le sujet ici, c'est aussi accepter qu'il ne prenne pas toute l'importance dans notre vie et ne devienne pas prétexte à ne pas vivre sa vie.

Utilisateur désinscrit
détermination, mental, moral .. la vie est un défi, son handicap et ses douleurs sont des complications à son rêve mais ça ne l'empêche pas de vivre sa vie et ses rêves
http://videos.tf1.fr/jt-13h/2015/les-exploits-sportifs-de-theo-malgre-un-lourd-handicap-8541090.html
Perso, ce sont ces genres de choses que moi j'ai la chance de vivre quasi quotidiennement qui me boostent, me font relativiser et me font avancer en m'amenant à réfléchir sur moi même.
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Utilisateur désinscrit
Parfois j'ai du mal à accepter mes limites. Celles que m’imposent la polyarthrite dont je souffre. J'essaie de me dire que rien n'est grave, qu'il y a une solution à tout. Mais parfois, en crise, le moral flanche. Ne pas pouvoir ouvrir une simple bouteille d'eau m'irrite. Avoir mal, sournoisement, en permanence m'agace, pire, m'épuise surtout. Et parfois je suis vraiment limite... mais bon ma soeur lutte contre son second cancer alors je n'ose me plaindre. Pouvez-vous me donner des tuyaux afin de remédier à mes manques. Partager fait déjà un bien fou ! Il m'arrive de rester deux jours enfermée parce que je ne suis plus capable de me lever. Non pas physiquement mais moralement. Et bien sûr c'est encore pire car mes articulations n'étant pas chaudes, je me lève courbaturee avec à chaque fois un début de lumbago. .. je m'en veux mais je suis un peu fatiguée de toutes ses luttes. Même si mon combat social arrive enfin ...à sa fin. J’estime que je ne suis plus rien dans la société mais comme j'ai 59 ans, je me dis que cela n'est pas grave. Néanmoins, la méthode couet à ses limites lol