accepter sa souffrance

Je crois qu'il y a une incompréhension sur le fait d'accepter la maladie et celui d'accepter la douleur. Vous me direz la douleur fait partie de la maladie. Bien sûr ! On ne demande à personne d'accepter la douleur. Simplement, lorsqu'on dit accepter la maladie, c'est faire le deuil de ce que l'on était avant, c'est accepter de s'adapter, de gérer sa vie différemment. Bien sûr que la douleur c'est inacceptable. Personne ne peut accepter cela et dire merci. Il faut faire le deuil de ce qu'on était avant pour mieux avancer. Mais cela prend du temps et il faut souvent du recul pour y arriver. Mais ce n'est que mon avis. J'espère n'avoir blessé personne car ce n'est pas mon but. Je sais le sujet sensible. Bonne et douce journée à tous.

C'est tout à fait ça EPIDAVRA

Tout à fait d'accord Epidavra. Merci de clarifier tout ça!

epidavra tout a fait d accord avec toi!on est obligee d accepter la maladie car le diagnostique est posee comme toute autre maladie,hors pour la douleur c est plus dur!avoir mal 24h/24h ,cela n est pas acceptable,on doit apprendre a vivre avec et c est tout mais personne ne peut accepter cela!! 

Bonsoir à tous et toutes,

EPIDAVRA ton message est bien clair et je partage ton avis mais que c'est difficile....

Très bonne nuit à tout le monde.

Coucou

Bonjours à tous,

Je me retrouve de jour comme de nuit (ce jour réveillée à 1h30) avec des douleurs plus ou moins importante, très difficile à vivre. Prendre des médocs tout le temps m'énerve, en sachant que mes douleurs ne sont jamais calmées en totalité. En ce moment je fais des tas d'examens pour poser un diagnostic (IRM ce jour et samedi), mais mon doc pense déjà très fortement à la fibromyalgie. J'ai aussi droit à 3 séances par semaine de kiné.

Comme je dit les jours se suivent et ne se ressemblent pas du tout. Mais physiquement et surtout psychologiquement c'est difficile à accepter. Et certains jour quand j'en ai vraiment marre j'ai même certaines idées qui me viennent en tête, car marre de tout ça, marre d'avoir mal, marre de pouvoir rien faire, et marre que tout le monde pense que s'est dans ma tête (à part mon généraliste, mon conjoint, ma kiné et belle maman). Donc je suis loin d'accepter cette souffrance constante et le diagnostic (qui sera bientôt posé) encore moins. Et je ne pense pas qu'un jour je l'accepterai.

Bonne journée à tous.

Accepter sa souffrance.  Un jour nous sommes confrontés à des situations complexes et difficiles Nous avons besoin de nous croire forts, indestructibles. Nous savons toujours trouver les mots de réconfort pour celui-qui en a besoin, mais qu’en est-il pour nous-même ?
En ce qui me concerne, je pensais avoir surmonté pas mal d’épreuves difficiles. Il y a d’abord eu cette sensation de malaise récurrente. Vous savez, celle qui vous fait vous demander pourquoi vous êtes si fatigué, pourquoi chaque action anodine vous demande tant d’effort. Puis sont arrivées les douleurs sournoises, celles qui s’insinuent à l’intérieur de vous, qui prennent possession de vous. On veut se reprendre, métriser, mais tout s’amplifie, la fatigue, les douleurs, les angoisses… Vous sentez bien que tout vous échappe, que toutes vos certitudes volent en éclat, la vie vous rattrape.

Mais il faut accepter, s’adapter. Il faut en parler

S’obliger d’exister c’est se donner le droit de vivre, d’être heureux. Dire ce que l’on ressent à des personnes de confiance quand on va mal est un conseil valable pour tout le monde, à tout moment de la vie. Revenir sur une expérience douloureuse, la partager avec un proche, pleurer si l’on en a envie… tout cela fait partie d’un processus naturel qui permet d’aller mieux. Exprimer sa souffrance c’est aussi se déculpabiliser, s’est ôter ce sentiment d’inutilité, s’est aussi accepter d’être différent, d’être malade, d’être seul, d’être rejeter. Accepter sa souffrance s’est se battre contre le qu’en dira-t-on des voisins, des amis… 

moi j ai beaucoups de mal a parler de ma maladie comment arriver a parler de se mal qui nous ronge je ne trouve pas les mots je panique et bafouille 

Accepter la maladie, c 'est bien , l' oublier, c 'est mieux , si on peut.....l' essentiel, n' est 'il pas de diminuer l'intensité de la douleur et de penser que nous aussi nous avons un avenir, 

oublier pour moi pas souvent possible  elle nous rappele toujours a l ordre  des que nous en faisons un peu plus elle se ramene a coeur joie