Coronavirus : doit-on craindre une seconde vague ?

Bonjour,   

Depuis quelques semaines la pandémie,  bien que toujours très présente, montre un certain ralentissement.  Si on ne peut que se réjouir de cette évolution,  nous devons rester vigilants car la saison hivernale est plus favorable aux risques de contamination. 

Va donc se poser l’éventualité d’une troisième dose de vaccin pour la plupart d’entre nous. Nous sommes début Octobre,  et chaque année certains se font vacciner contre la grippe.  Cette année, du fait de la faible exposition au virus grippal l’hiver dernier, le système immunitaire des non-vaccinés n’ayant pas été stimulé la probabilité de faire une grippe plus marquée doit être envisagée. 

La possibilité d’associer une 3ème dose de vaccins anti-coronavirus avec un vaccin grippe est envisagée. 

Ci-dessous un lien sur ce sujet  :

https://www.capital.fr/economie-politique/covid-19-pas-de-risque-a-faire-le-vaccin-contre-la-grippe-et-la-dose-de-rappel-concomitamment-1415489

Mais on peut comprendre que ce sujet nous pose un certain nombre de questions. 

Et si nous les partagions ?

Au plaisir de vous lire. 

Bon week-end!

@chatdoc Une dose de plus, bonne question, oui, et surtout pourquoi des injection répétées ?

On observe que la première dose n'assure pas la protection contre le COVID. Très vite une deuxième injection a été décidée et généralisée. Mais celle-ci n'assure pas plus la protection, alors une troisième injection a été décidée et injectée. Mais cette troisième n'assure pas plus et une quatrième injection va être pratiquée, d'ou la nouvelle question : combien faudra-t'il d'injections pour être protégé.e contre ce virus ?

"Les vaccins par eux même ne sont pas la solution" a déclaré Benett dans le Times of Israél du 16 juillet 2021,

"un rappel tous les cinq mois" ont déclaré Biden et Fauci, rapporte le New York Post du 27 aout 2021,

"le rêve perdu d’une immunité collective" titrait un article du Monde du 22 aout 2021,

"plus d'un million de personnes vaccinées perdent leur pass" rapportait le Times of Israel du 28 septembre, vu que le pass n'est valide que six mois après la dernière injection, cette perte de validité entraine immanquablement une quatrième injection, puis une cinquième six mois plus tard, puis... et personne ne se prononce sur la suite.

La question peut être posée différemment : "y aurait-il d'autres façons de faire face à ce virus", j'ai bien ma petite idée mais ce n'est pas le débat ici.

@Alain08 

Pour votre petite idée,  s’il s’agit de vos traitements,  avez-vous lu l’article du Guardian sur le Brésil.

Depuis le début,  on savait qu'il y aurait 2 injections au départ et , si l’on tenait compte des connaissances obtenues chez l’animal avec les vaccins anti-coronavirus,  on pouvait penser que l’immunité serait de durée assez faible et que le risque de variants était élevé dans ce groupe virale et pouvait donc impliquer soit des rappels plus fréquents soit (et) des modifications de leur composition. Quant à la durée du pass,  elle va’ en partie dépendre de l’immunité cellulaire qui est explorée actuellement,  et non seulement à partir de l’immunité humorale (anticorps)

Pour rappel,  l’article sur les vaccins anti-coronavirus chez l’animal à été publié tout début 2020, ce qui implique qu’il a été soumis au plus tard pendant l’été  2019. Mais comme souvent vous prenez connaissance que de ce qui vous conforte, avez-vous remarqué que le lien à été donné sur ce forum. 

De plus, d’emblèe,  beaucoup de médecins ont dit que le vaccin était un part de la solution, et qu’une autre part serait remplie par des traitements véritablement efficaces,  comme,  on peut l’espérer,  le traitement par voie orale mis en avant par Merck ces jours ci.  De plus dans les mois qui viennent d’autres essais en cours doivent publier leurs résultats,  comme le clofoctol. 

quelle bonheur de vous lire,celà prouve que vous réfléchissez au lieux d'insulter !

Il y a du progrès 

De vraies nouvelles positives:

BILAN COVID. Moins de 5600 nouveaux cas et un taux d'incidence qui s'éloigne désormais de la barre critique des 50 cas pour 100 000 habitants. Les derniers chiffres du Covid en France restent sur leur tendance à la baisse ce mardi soir 5 octobre.

A noter: Les nombres de cas, de tests, d’hospitalisations et de décès sont les principaux indicateurs de suivi de l’épidémie à l’échelle nationale. Pour éviter les biais liés aux variations journalières, des moyennes glissantes sur sept jours sont calculées.

@bibimet75 

Coronavirus en Pays-de-la-Loire : La circulation du virus repart à la hausse dans deux départements
COVID-19 Le taux d’incidence est repassé au-dessus de 50 cas pour 100.000 habitants en Maine-et-Loire et en Mayenne

@nicolas2   Curieux de me faire remarquer cela, parce que c'est bien vous qui avez écrit aujourd'hui-même à 14h22 dans la discussion " Que penser du vaccin AstraZeneca" ceci:  tout va bien, l'épidémie est finie chez nous"   

Covid-19. Faut-il craindre une cinquième vague de l’épidémie en France ?    O.F dimanche 10/10/21 

Les quatre points qui permettent d’être optimistes

1. Une situation épidémique bien moins inquiétante qu’à l’automne 2020
2. Une campagne de vaccination très avancée
3. Les modélisations optimistes de l’Institut Pasteur
4. Une cinquième vague forcément moins intense, contenue grâce au vaccin

Les quatre éléments qui incitent à la prudence

1. Des premiers frémissements de reprise de l’épidémie sur certains territoires
2. L’approche de l’hiver, une période à risque
3. La baisse de l’immunité apportée par le vaccin
4. Un relâchement observé des gestes barrières

Bonjour Milione 

Vous aviez une glosdodynie? Parce que ça m’intéresse vraiment merci