La difficulté d'emprunter après une maladie
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mistikelfe, je ne suis pas du style à attiser le feu et je ne suis pas non plus un adepte des joutes verbales.
J'ai simplement dit que nous n'avions pas à donner de noms (CGU). Reprends le premier commentaire en question et tu verras que le nom de la société d'assurance est bien cité. (je ne le renommerai pas et tu comprendras très bien pourquoi)
Par ailleurs je suis resté poli et je n'ai dit que ce que je pensais en ce qui concerne ces pubs faites involontairement ou non. Je n'avais donc en aucun cas, à me faire agresser de la sorte, c'est facile derrière un écran!
Il suffit de voir, la façon dont mon pseudo a été déformé. Je persiste et signe en disant qu'il y a un manque de sang-froid flagrant, voir de la provocation.
En ce qui concerne les MP, je disais que l'on peut y donner toutes les informations que l'on veut, puisque ce n'est pas sur la façade.
le pote d'Hélliott et non d'héliogravure et encore moins d'eliott (question de respect)
NB: quand à toi, je te remercie de ne pas l'avoir écorché 
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«Il y a deux jours dans une année où l’on ne peut rien faire. Ils s’appellent hier et demain. Pour le moment, aujourd’hui est le jour idéal pour aimer, croire, faire et principalement vivre»
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Ouf!!!
Qu'est-ce que ces histoires de crédits auront pu me prendre la tête!!!
Deux nuits que je n'en dormais plus, je vais pouvoir aller me recoucher en toute sérénité. 
Merci...je m'en vais de ce pas emprunter... mais un lit avant toutes chose! 
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«Il y a deux jours dans une année où l’on ne peut rien faire. Ils s’appellent hier et demain. Pour le moment, aujourd’hui est le jour idéal pour aimer, croire, faire et principalement vivre»
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Le pote, serait-il un bébé oiseau nocturne, donc un oisillon de la nuit?
Et non... il est là!
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«Il y a deux jours dans une année où l’on ne peut rien faire. Ils s’appellent hier et demain. Pour le moment, aujourd’hui est le jour idéal pour aimer, croire, faire et principalement vivre»
Julien
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Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Dans son dernier plan sur le cancer annoncé en février 2014, le président de la République a déclaré vouloir mettre un terme aux discriminations dont sont victimes les anciens malades pour contracter un prêt. Car en matière de prêt bancaire, la maladie vous colle à la peau. Cela s'appelle un "risque aggravé de santé" et il peut vous empêcher de trouver une assurance de prêt à un prix abordable.
"Fumez-vous ? Avez-vous effectué une mammographie au cours des cinq dernières années ? Prenez-vous des médicaments régulièrement ?" Les questions peuvent paraître indiscrètes, mais les assureurs sont pourtant en droit de les poser lors de la contraction d'un prêt. Ils cherchent à évaluer "le risque aggravé de santé", c'est-à-dire le risque de ne plus être en capacité de rembourser un emprunt après un arrêt de travail ou une perte d'autonomie. Il peut entraîner des surprimes importantes, ou tout simplement engendrer un refus de prêt.
Les pouvoirs publics cherchent à limiter les discriminations liées à la maladie en matière de prêt bancaire. Ils ont signé en 2006 et 2011 la convention Aeras avec les principaux acteurs du secteur. Avec des principes comme l'examen systématique des demandes, la mutualisation d'une partie des surprimes ou la prise en compte des avancées médicales, Aeras a amélioré l'accès à l'emprunt des malades.
En 2012, 97% des demandes présentant "un risque aggravé de santé" ont reçu une proposition d'assurance. Mais ce chiffre ne montre pas les conditions exactes de l'offre ou le nombre de demandeurs qui ne sont pas allés jusqu'au bout de leurs démarches.
http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-la-difficulte-d-emprunter-apres-une-maladie-13179.asp?1=1