Comment concilier maladie chronique et vie professionnelle ?

@Papou21 là c est un syndicat bien connu, ils defendent tant qu ils peuvent, font leur possible et accompagne au commission de reforme, ils ont un de leur representant en defence ce jour la a la commission, donc je me suis syndiqée, car avant les 2 premieres annes j avais un syndicat ou ma secretaire generale etait arivée dedans pas etonnant que je n avais pas de reponse a mes questions ! pour le cdg45 et bien je pensais avoir une aide au debut, car une assistante sociale de la medecine du travail m avait conseillé de le faire (mais cette medecine a arreté le contrat avec la mairie fin 2021 et m a retourné mon dossier et je n ai a ce jour pas entendu qu il y avait autre medecine du travail bref) et alors au cdg je peux vous dire qu ils vont coté employeurs, et le syndicat a du les avertir que si ils n etaient pas corrects ça irait plus haut du cup le cdg a refait les papiers et a dit a la mairie de refaire aussi (en attendant a commission) c est tres compliqué, je n aurais pas eu le syndicat, ça aurait tout été contre moi sans que je m en rendre compte

@Caro45 pourquoi n etes vous pas passée en commission de reforme pour le AT ou comité médical pour la maladie ? j espère ne pas etre mise en AM car c est 3 mois a plein traitement moins la prime isfe, et ensuite 9 mois a mi traitement puis plus rien, car je n ai pas eu l idée a temps de souscrire une complementaire maladie maintien de salaire.... pour le cardiologue rhumatologue et tous les examens a faire comme les irm, scanners, électroencéphalogramme etc, c est mon medecin generaliste qui en a eu l idée et m a prescrit tout cela dés le début puis au fur et a mesure.... je n ai que 56 ans alors mise en invalidité je risque de ne pas toucher grand chose? je vis seule. j ai 31 ans de service mairie. la récompense d avoir fait un max au travail va etre minime, mais voilà, nous ne sommes qu un pion ou numéro

Bonjour, je viens vers vous pour avoir des conseils par rapport à la mise invalidité par la CPAM.

Je suis malade depuis de nombreuses années mais le diagnostic de RP à été fait il n'y a que quelques années, auparavant on m'avait classé en fibromyalgie et comme bon nombre de patients, à part me proposer des antidépresseurs, je n'ai pas eu de prise en charge...

Je suis donc reconnu en ALD aujourd'hui pour le RP et traité par injection mensuelle de Cosentyx.

Je suis éducatrice de jeunes enfants et j'ai toujours travaillé en crèche même si avec les années les douleurs ont rendu de plus en plus difficile mon activité, je me suis toujours accrochée et j'allais travaillé quelque soit les douleurs puisque aux dires des médecins les douleurs étaient dans ma tête. Je me suis épuisée pendant près de 10 ans en renonçant à tout le reste : plus d'activités ou de vie sociale, seulement le travail.

Puis j'ai fait deux chutes consécutives avec tassement de vertèbres et après m'avoir diagnostiqué une ostéoporose, on m'a diagnostiqué un rhumatisme psoriasique ; mon employeur et la médecine du travail ont donc commencé à se poser des questions et les douleurs sont devenus de plus invalidantes.

J'ai donc eu un arrêt de travail début janvier 2020 car je n'arrivais plus à marcher et là dessus j'ai débuté les injections de cosentyx puis avec la covid, je n'ai pas pu reprendre mon activité car j'étais classé comme personne à risque. J'ai fini par reprendre mon activité fin mai 2021 en mi-temps thérapeutique, malheureusement même à 50 pour cent je n'ai pas réussi à retrouver ma place auprès des enfants... Ayant la chance d'être contractuelle en CDI auprès d'une communauté de communes, on m'a donc fait intégrer au relais petite enfance de la commune toujours à mi-temps. Aujourd'hui j'arrive à la fin de mes droits (1an) en mi-temps thérapeutique et même si je rencontre moins de difficulté dans ma nouvelle activité professionnelle, les douleurs sont encore là même si elles minorées mais en revanche la fatigue, elle ne fait que s'accroître...

Je ne peux donc pas envisager de reprendre à plein temps, sans parler de ma prise en charge médicale avec tous les rendez-vous...

Mes employeurs m'ont fait faire un bilan de compétences, malheureusement je suis incapable de suivre une formation à plein temps et en plus mon statut à cheval sur la fonction publique et le droit général me ferme pas mal de portes.

Ayant envisagé toutes les solutions à ma portée avec la référente handicap qui me suit, j'ai fait une demande de reconnaissance en invalidité pour me permettre d'avoir une activité professionnelle à temps partiel qui n'a pas abouti car j'ai encore droit aux indemnités journalières jusqu'en janvier 2023.

Aujourd'hui je ne sais donc plus quelles démarches entreprendre car à part me conseiller de me remettre en maladie jusqu'en janvier 2023, on ne me propose pas grand chose d'autres. Pour ma part, je veux à tous prix garder une acticité car psychologiquement et financièrement, j'en ai vraiment besoin mais je me heurte sans cesses à des portes fermées.

Quelqu'un peut-il me conseiller ?

En vous remerciant, Brigitte

Bonjour

Vous êtes vous fait reconnaître travailleur handicapé ?

Si non commencez par la .faite une demande à la mdph qui vous signifira votre taux d invalidité.avec votre taux vous pourriez prétendre à un emploi plus adapté et peu être avoir un revenu complémentaire l aah

Bonne journee

Bonjour, oui j'ai fait ma demande à la mdph, il y a bien longtemps déjà mais on me refuse l'aah car on me dit que seules les personnes qui ne peuvent vraiment plus exercer peuvent en bénéficier.

Merci à vous

Bonsoir à tous,

Orchidée, pour moi les syndicats n'ont rien fait car ils sont du côté de la mairie, chaque fois ils trouvent quelque chose pour se défausser.

J'ai épuisé tous mes droits CLM et CLD suite à de longs arrêts, c'est pour cela aussi que je ne pouvais pas réintégrer mon poste (dont on m'a refusé l'adaptation) car mon état se dégradait et il était sûr que je ne pourrais pas tenir longtemps sans être arrêtée de nouveau.

C'est vrai que nous ne sommes que des pions malheureusement...

Bibi,

Votre situation est assez complexe, mais si j'ai bien compris vous touchez des indemnités journalières alors à votre place je prendrais un rdv à la CPAM pour savoir si vous avez droit un congé maladie longue durée.

Je viens de trouver un article intéressant sur planning-congés.com sur les droits auxquels les salariés et les fonctionnaires peuvent prétendre.

Concernant la suite de votre carrière, si vous êtes reconnue travailleur handicapé vous pouvez sûrement avoir accès aux formations de l'Agefiph réservées aux travailleurs handicapés.

C'est compliqué toutes ces démarches, j'en sais quelque chose mais il faut vous accrocher en tournant votre esprit vers les choses qui vous passionnent, surtout quand vous vous sentez mal. C'est le moyen que j'ai trouvé pour tenir bon. C'est vrai que le handicap, et surtout avec le covid, nous isole mais grâce à des activités qui nous permettent de nous évader, les forums de discussions (et même parfois les réseaux sociaux)... on arrive à composer à peu près avec notre "vilaine copine".

Courage à tous et bonne soirée.

Bibi l excuse est fausse

Même si vous travailler vous pouvez prétendre à l aah

Le mois d'avril a été éprouvante j'ai fait beaucoup de crises d'épilepsie .Suite à une grosse crise j'étais chez mon médecin après crise je bégayais je suis en arrêt 1 mois et je ne souhaite pas reprendre le travail je voudrais démissionner de mon poste actuel la restauration pour aller ailleurs . Je vais essayer de passer par la médecine du travail Mais sachant que je suis en arrêt je ne sais pas si ce sera bien accepter

Bonjour, merci à tous pour vos réponses.

J'ai en effet un statut un peu compliqué en sachant qu'en interne on à déjà aménagé mon poste par deux fois mais même un poste en secrétariat est compliqué car j'ai beaucoup de mal à rester en position assisse car après j'ai du mal à me remouvoir. J'ai en plus beaucoup de mal à rester concentrer et quand je suis très fatiguée j'ai du mal à rassembler mes idées, je perds mes mots comme si j'étais enveloppé dans un épais brouillard avec des troubles de la coordination.

Je viens également d'apprendre que j'avais des problèmes au niveau du nerf optique avec un champ de vision qui rétrécie...

j'ai rdv demain avec un agent de la CPAM, je vais effectivement lui demander pour le congé maladie longue durée mais que ce soit la CPAM ou la référente handicap qui me suit au CDG, mon statut semble assez compliqué et ils ont du mal à m'orienter pour mes droits.

Manifestement en ce qui concerne la MDPH, ça change beaucoup d'un département à l'autre...

Pour ma part, je souhaite juste rester en activité mais je réalise bien que je pourrais difficilement exercer à plus de 60 pour cent quelque soit le poste car je suis trop fatiguée et en travaillant plus, je reviendrais au point de départ : toute mon énergie au boulot puis retour à la maison et effondrement sur mon canapé. Plus d'énergie pour le kiné, la marche, le yoga ou le reste et les choses vont encore empirer au niveau des douleurs car l'inactivité est encore plus source de douleurs...

C'est difficile de se battre en permanence, on me dit souvent pourquoi vous ne restez pas gentiment en arrêt maladie jusqu'à vos 3 ans d' IJJ et là, la CPAM vous recevra pour faire une demande d'invalidité... Psychologiquement et financièrement, j'ai besoin de travailler et je pense que plus on reste longtemps loin du monde du travail, plus c'est difficile d'y retourner et de s'y refaire une place en étant en plus malade.

Il n'y a pas longtemps, on me disait être malade est un travail à plein temps et je commence à comprendre qu'il faut beaucoup d'énergie pour se battre contre sa pathologie mais aussi pour gérer tout l'aspect administratif et financier qui l'entoure.

Merci, brigitte

L accident de travail commence à votre porte et finit le soir au retour surtout si c pour aller au travail donc Ca reste en AT