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Chirurgie sans hospitalisation : les raisons du retard français
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Merci Oranne
le pote d'Héliott
Bon conseiller
le pote d'Héliott
Dernière activité le 02/05/2023 à 14:50
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3 667 commentaires postés | 310 dans le groupe Bon à savoir (pour tous)
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Pour revenir à cette dernière discussion, j'aurais aimé préciser, qu'il est difficile et regrettable de faire des généralités, comme partout et dans tout, il y a de tout.
Des personnes qui ne vivent que pour leur travail, d'autres qui ne travaillent que pour vivre, celles qui ont un tiroir caisse à la place du cerveau, celles qui travaillent avec une telle passion et qui donnent tout y compris ce qu'elles n'ont pas, qu'elles en oublient que c'était leur seul gagne pain à la base.
J'en oublie très certainement.
Physalis, je trouve que tu as été bien radicale dans tes propos.
C'est chaud!!!
Le pote au feu et d'Héliott
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«Il y a deux jours dans une année où l’on ne peut rien faire. Ils s’appellent hier et demain. Pour le moment, aujourd’hui est le jour idéal pour aimer, croire, faire et principalement vivre»
Utilisateur désinscrit
Et oui...
En mm temps , je ne suis mm pas surprise ...
naldjorpa
Bon conseiller
naldjorpa
Dernière activité le 21/11/2024 à 21:36
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103 commentaires postés | 17 dans le groupe Bon à savoir (pour tous)
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Ami
Bonjour, je renvoie chacun dos a dos, il existe du bon et du mauvais dans toute chose, je ne jetterais pas l'opprobre sur le corps des infirmieres. mais bon a l'hôpital les infirmieres au moins une bonne partie se décharge sur les aides soignantes, ces personnes se prenant toutes ou presque pour des cadres.
Pour le privé les infirmieres sont tés dévouées plus que dans le public, je ne pense pas que ces dernieres ne devraient pas se charger des toilettes des malades, elles ont bien d'autres taches a effectuer !les soins etc....laissons ces toilettes aux auxilliaires de vies en les formant mieux qu'actuellement.
En outre je trouve qu'en France actuellement l'on s'occupe plus de gros sous que des patients, la chirurgie ambulatoire est juste un moyen pratique de faire le ménage le vendredi et de n'avoir plus qu'à garder qu'un quota de malades le week-end.J'ai moi-même en tant que malade été a deux reprises victimes de ce "mettons le maximun dehors le WE" pour etre tranquille
le système de sante Français dont nous étions un exemple pour le monde est en train de mourir, je ne citerais par exemple que la suppression des maternités, des "petits hôpitaux " etc..
En plus meme les médecins s'y mettent aussi, j'ai plus de 60 ans et j'ai vu évoluer la medecine, pratiquement jamais un médecin ne vous diagnostiquera maintenant un probleme de santé grave sans vous avoir envoyer voir un ou plusieurs spécialistes et préscrit un tas d'examens qui asphyxie la sécu....
Entrée dans le 3me age, je souhaite bonne chance aux générations a venir, mais je crois qu'ils vont en "baver"
Bon dimanche tous.
Naldjorpa
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vulrante omnes, ultima necate
scoobidoo
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scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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2 713 commentaires postés | 874 dans le groupe Bon à savoir (pour tous)
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Oui, ça, des examens inutiles, pas de problèmes ça y va !
Une amie, la semaine dernière a passé une radio des cervicales. A la clinique de radiologie, on lui a dit. Mon dieu, il va falloir passer une IRM. En fait, il s'agit d'arthrose, qu'aura-t-on de plus avec une IRM ? Juste un peu plus (bien plus vu le prix) de sous dans la caisse de la clinique !
Les radios étaient destinées à savoir ce que pouvait ou ne pouvait pas faire l'ostéopathe !
Accessoirement, ça lui a fait bien peur !
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
Fanny en une phrase tu as tout dit.. des métiers mal connus et des théories dénuées de bon sens. Pas étonnée comme tu dis..
Du coup, il faudrait m'expliquer quelle est, pour vous, la différence entre une aide soignante et une auxiliaire de vie ...?
Utilisateur désinscrit
toujours est il que l on a besoin de tous ces corps de metiers,qui plus est sont des metiers difficles au quotidien,mais ca beaucoup de s en rendent pas compte!de tout facon,des patients mecontents de tout ,j en vois tous les jours,il faudrait tout leur faire,a l heure qui leur convient,mais ca c est sans se demander si les personnes du corp medicales n ont que ca a faire;pour ma part,mes infirmieres qui s occupent de moi qd j ai besoin,passent leur temp a courir,tot le matin a tard le soir,et ce par tous les temps,mais il y en a toujours qui ralent pour une demi-heure de retard!!
quoi que l on fasse,les francais sont des raleurs ds leurs genes,mais eux ne feraient meme pas le quart de ce que font toutes ses personnes qui se devouent,que cela soit a domicile,ds les centrs ou ds les hopitaux!il ne faut pas oublier qu en france on a tout pour etre soigne,ce qui est loin d etre le cas ds de nombreux pays!!
alors il faut arreter de critiquer le monde medical,car sans lui,on est rien!!!
copinegateaux
Bon conseiller
copinegateaux
Dernière activité le 09/11/2024 à 23:44
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Ami
moi je ne rale pas apres les auxilliaires je rale apres celles qui ont leurs cul dans une chaise et qui ne sont pas capable de prendre le telephone pour nous prevenir des changements ce matin cela fait 1 h que j attend
Utilisateur désinscrit
copine,ca je te comprens car avec les facilites d aujourd hui,le tel portable,c est facile de joindre ses patients,pour prevenir d un retard!dis leur qd tu les verras qu il faut qu elle te previenne,car tu fais d autre choses et ds ce cas la,tu peus faire ce que tu a a faire en attendant,plutot que de rester a les attendre!
pour ce qui est de ton papa,pense aux moments presents,a ceux que tu passes a ses cotes;moi,je profites de chaque moment que je passe avec maman,car qd mon apa est parti,j ai eu l impression de ne pas avoir pu en profiter au maximum,donc tous les moments de joie et de bonheur avec ceux qu on aime sont bons a prendre!!
profites en et prends soin de toi;car tu t occupes de beaucoup de choses ,mais ne t oublis pas!
bisoux
Utilisateur désinscrit
sujet pour lequel il y a beaucoup à commenter mais à prendre avec des pincettes...
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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La chirurgie ambulatoire est devenue une priorité. En effet, Marisol Touraine a annoncé que dès 2016 la moitié des patients devront sortir de l'hôpital ou de la clinique le jour même de l'opération. Mais même en atteignant ce taux, la France restera encore à la traîne par rapport aux pays scandinaves, où 70 % des opérations sont réalisées en chirurgie ambulatoire.
Malgré une certaine mobilisation depuis les années 1990, la France n'arrive pas à combler son retard. «En 2013, 42,3 % des interventions chirurgicales se sont pratiquées en ambulatoire», déclare au Figaro le Pr Corinne Vons, présidente de l'Association française de chirurgie ambulatoire (Afca). Pourtant, cette chirurgie, qui se pratique dans la journée, sans hébergement à l'hôpital, présente bien des avantages par rapport à l'hospitalisation traditionnelle. «La chirurgie ambulatoire diminue le risque d'infections nosocomiales, de phlébites et d'états confusionnels des personnes âgées, conséquence fréquente lors d'une hospitalisation», explique le Dr Gilles Cuvelier, chirurgien urologue à Quimper. Pour le malade, elle présente surtout l'avantage de rentrer chez soi, dans un environnement familier, le soir même de l'intervention. Des bénéfices qui n'échappent pas aux Français puisque, dès 2007, huit sur dix se disaient prêts à recourir personnellement à la chirurgie ambulatoire, selon une enquête de l'Assurance-maladie.
Une révolution culturelle
Alors pourquoi, malgré ce plébiscite, cette pratique a-t-elle autant de mal à s'imposer? C'est que l'avènement de la chirurgie ambulatoire bouleverse l'hôpital traditionnel. C'est une véritable révolution culturelle. Depuis des années, nous raisonnons en capacité d'hébergement, c'est-à-dire en nombre de lits, véritable mètre étalon du milieu hospitalier. Résultat: nos hôpitaux et cliniques sont d'immenses réservoirs de lits, ruineux lorsqu'ils sont vides. «Un lit, c'est en moyenne 100 mètres carrés. Or un mètre carré représente pour l'établissement une dépense de 1 000 euros par an. Un lit vide coûte donc de l'argent à l'hôpital», analyse le Dr Gilles Bontemps, directeur associé de l'Anap, agence publique dont l'objectif est d'améliorer l'organisation et la performance des hôpitaux. C'est aussi au nombre de lits que se mesure le pouvoir d'un chef de service…
Mais au-delà de ces considérations d'argent et de pouvoir, ne plus héberger le malade signifie aussi un chambardement organisationnel. «Vous devez vous centrer sur le patient plutôt que sur le médecin et sur le système d'hébergement», explique le Dr Jean-Patrick Sales, chirurgien et directeur de l'évaluation médicale et économique à la Haute Autorité de santé (HAS). Lorsque le malade est hébergé à l'hôpital, le médecin et l'ensemble de l'équipe soignante l'ont «sous la main». Ils passent le voir après l'opération, le font attendre en fonction des aléas du service, le transportent en salle d'opération sur un brancard…
«Une chirurgie de l'excellence»
La même opération en chirurgie sans hébergement va imposer une organisation parfaitement cadencée pour éviter tout retard. «Il s'agit de prendre en charge, dans un temps limité à douze heures maximum, un patient pour une intervention chirurgicale tout en s'assurant qu'il a toutes les conditions requises en postopératoire pour le rendre “apte à la rue”», explique le Dr Gilles Bontemps. Ce qui signifie que l'équipe soignante doit avoir envisagé tous les risques postopératoires, veillé à une bonne prise en charge de la douleur et fait en sorte que le patient soit autonome très rapidement. «La chirurgie ambulatoire est un processus de soins centré sur l'organisation et la gestion des risques», insiste le Dr Didier Sciard, anesthésiste à l'hôpital de Dreux.
Peut-on néanmoins renvoyer tous les patients chez eux après une opération? «Il y a peu de limites du côté des patients. Par exemple, si un centenaire doit être opéré d'une cataracte, il vaut mieux pour lui qu'il ne passe que quelques heures à l'hôpital», explique le Dr Sales. «La seule limite, c'est l'isolement. Mais cela concerne moins de 10 % des patients», ajoute le Pr Jean-Pierre Triboulet, ancien président de l'Afca. Parallèlement, les progrès technologiques repoussent les limites des opérations réalisables en ambulatoire. Des opérations de plus en plus lourdes sont pratiquées selon cette méthode: ablation de la vésicule sous cœlioscopie, prothèse totale de la hanche et du genou, chirurgie de l'obésité, appendicectomie… Demain, rien n'empêchera de réaliser 80 % des opérations en chirurgie ambulatoire.«Qui n'est surtout pas une chirurgie low-cost, mais bien une chirurgie de l'excellence», insiste le Pr Corinne Vons.
http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/05/09/22327-chirurgie-sans-hospitalisation-raisons-retard-francais