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Patients Douleurs chroniques
Les antalgiques pour soulager la douleur
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isabella13
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isabella13
Dernière activité le 13/11/2024 à 15:42
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67 commentaires postés | 49 dans le forum Douleurs chroniques
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@daysinette Bonjour je lis votre message et il est certain que le Ketoprofene détruit l'estomac et ne soulage en rien !!
J'en ai eu pour une hernie discale L5S1 et une scoliose récente
Sortie aussi du Centre Anti Douleurs qui ne propose que des antidépresseurs ou Tramadol, voire Lyrica, que je prends toujours
Avec la panoplie d'anti douleurs je ne comprends pas pourquoi on ne peut pas en profiter !! Nous prendrais t'ils pour des gamins ???!!! C'est pathétique et pendant ce temps là on souffre...
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IC
daysinette
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daysinette
Dernière activité le 01/06/2024 à 12:08
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164 commentaires postés | 54 dans le forum Douleurs chroniques
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Je suis bien de votre avis . Mais depuis le temps que j'essaie un peu tous les médicaments , j'en suis toujours au même point ........... Une fois de plus j'espère que le prochain ( la capsaïne ) sera efficace .....????????????
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Daisynette
Wolff192
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Wolff192
Dernière activité le 10/12/2023 à 09:29
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61 commentaires postés | 3 dans le forum Douleurs chroniques
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@Resiliencia
bonjour, oui le rhumatologue, oui l’acupuncteur, oui l’ostéopathe, oui la cryothérapie.
courage
isabella13
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isabella13
Dernière activité le 13/11/2024 à 15:42
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67 commentaires postés | 49 dans le forum Douleurs chroniques
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@daysinette Bonjour
Ha ce medicament là je ne le connais pas, juste de nom, j'espère qu'il vous soulagera celui ci...!!! Donnez moi de vos nouvelles si vous le désirez Merci à vous la douleur je connais, hélas....
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IC
Resiliencia
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Resiliencia
Dernière activité le 04/05/2024 à 12:11
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Ami
Mon medecin traitant m'a ajoute de la codeine. Donc, je prends codeine + paracetamol, 3heures apres, tramadol avec paracetamol, et tout comme ça chaque 3 heures.
Et le matin ça ne soulage pas. Il soulage au niveau plus tolerable des fois l'apres midi.
Et mon medecin traitant va remplir le formulaire de la nouvelle unite de douleur.
Mais j'ai commence à me sentir plus faible. En fait hier je ne pouvais meme sortir du lit sans aide. Je dois amener ma fille à l'école, elle n'est pu y aller.
Je ne sais pas si les opiaces font ça... Maitenant je suis mieux que hier mais j'ai cette fatigue extreme plus forte..
C'es bizarre comme le corps reagit avec cette maladie. Et sans aucun cause idientifiable qui declenche ces reactions. Apres 8 ans je suis encore confuse.
Celsius
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Celsius
Dernière activité le 15/12/2024 à 20:52
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355 commentaires postés | 52 dans le forum Douleurs chroniques
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@Resiliencia Bonjour
La codéine, je connais pour avoir pris régulièrement des comprimés Dafalgan codéine longtemps . J’en prends pratiquement plus depuis que je prends 15 gouttes journalières de Bourgeon de vigne Vierge. Essayez. L’effet de somnolence disparaîtra.
Cordialement Celsius
Mini423
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Mini423
Dernière activité le 22/12/2024 à 12:45
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douleur chronique lombalgie et discophatie et constpation opioides et retention urinaire autosondage et infction urinaire
et etait sous xprim arret doliprane cause constpation
antalox et galbapentin
j'ai demande masque anesthesant pour douleur refuse comme aide des equipe soignant hopital
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Jdavid
niala65
niala65
Dernière activité le 15/10/2023 à 09:06
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Le C.B.D a l'air de bien soulager
Mirabelle95
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Mirabelle95
Dernière activité le 22/12/2024 à 12:40
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Bonjour,
Attention aux antalgiques !! Si vous pouvez éviter ce serait bien. Prenez plutôt des anti-douleurs naturels. Il en existe quelques-uns. Méfiez vous de prendre trop de médocs car c’est le foie qui en pâti . Le foie récupère tous les déchets de médicaments le gras aussi et le sucré. Évitez ! Sinon vous aurez un foie « gros et gras » qui peut amener à une « séatose » ou maladie du soda. Certains médicaments peuvent faire double emploi. ATTENTION !
Vous pouvez prendre des médicaments que si cela est vraiment nécessaire…,,
Bonne journée aux membres de Carenity
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mirabelle95
Mixou89
Mixou89
Dernière activité le 26/05/2023 à 12:21
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1 commentaire posté | 1 dans le forum Douleurs chroniques
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Bonjour, je me permets de rajouter mon grain de sel pour vous faire part de ma propre experience avec les antalgiques.
SPA avec une "forme primaire" comme dirait mon rhumato, diagnostiquée à 17 ans ( on a mis 2 ans à trouver ce que c'était alors que toute ma famille en souffre, et j'ai 30 ans aujourd'hui )
J'ai accédé aux premiers anti-TNF au bout de 5 ans, et pendant ces 5 années là, je n'avais que du voltarene et du Tramadol comme traitement.
Ca m'a tout simplement ravagé. Le tramadol agit comme de l'héroïne puisque dérivé morphinique. il n'agit pas sur les inflammations articulaires et ne fait que "apaiser" notre cerveau pour mieux supporter la douleur.
Je suis tombé sévèrement accro sans m'en rendre compte au fil des années, Il s'avère que j'avais un profil très addict, et une sensibilité élevée aux psychotropes et opioïdes. Mes journées sont vites devenues des rituels UNIQUEMENT tournés vers le Tramadol, la prise, les horaires, la façon de les utiliser... toujours la même chose.
Avec l'arrivée de l'humira les douleurs se sont calmées, moins de crises, déverrouillage plus rapide le matin... j'allais bien mieux physiquement mais ça ne m'a absolument pas fait arrêter le Tramadol. Au contraire j'en prenais encore plus qu'avant puisque l'effet restait puissant et que j'étais seul à gérer mes prises de médoc.
Aucun accompagnement + rhumato "trop" sympa et peu renseigné sur les ravages du tramadol + profil addict et spondy ultra aggressive = CALVAIRE.
Ca m'a dicté ma vie, j'ai arrêté les études, j'ai sombré dans d'autres produits jusqu'à l'héroïne 10 ans plus tard.
L'humira est devenu inefficace au bout de quelques années et ça n'a fait qu'empirer mon problème.
Je devenais agressif avec mes proches, ça m'a isolé, perte d'envie, pensées UNIQUEMENT tournées vers les produits et rien d'autre. Je mentais de plus en plus, pour couvrir mon addiction. Jusqu'à voler des médocs chez des proches ou pendant les réunions familiales.
Le pire, et j'en ai encore des frissons de honte aujourd'hui, fut d'avoir arrêté pendant un temps les anti-TNF, pour retrouver mes douleurs que je considérait comme la partie principale de mon identité, et aussi et surtout pour justifier la prise phénoménale d'opiacés et soulager ma conscience.
Des années, et des années à vivre comme ça. Quotidiennement.
La prise de conscience du problème est arrivée extrêmement tard ( il n'est cependant jamais trop tard. ) et j'ai essayé plusieurs fois de stopper, par différentes méthodes, sans succès. Très souvent un sevrage beaucoup trop violent, me plongeant dans une dépression brutale et systématiquement je baissais les bras et replongeait dedans.
Au lieu de trouver d'autres solutions je me suis encore plus renfermé sur moi même. et avec des mauvaises fréquentations j'ai plongé dans l'héroïne, sans même arrêter le tramadol. L'accumulation des deux a failli me faire perdre la raison. Je devais mentir en permanence pour aller sniffer de l'héroïne dans le dos de ma femme, de ma famille, à qui je minimisais systématiquement mon état déplorable. Ca a duré 6 mois.
En me retrouvant un jour sans possibilités d'en trouver, J'ai vécu un sevrage qui fut la pire semaine de toute ma vie, et je pèse mes mots. 7 jours à pleurer d'angoisse sans pouvoir m'arrêter, de désespoir, impossible de me calmer, des sueurs à n'en plus finir, des vomissements qui m'empêchaient de m'alimenter... Des douleurs dans tout le corps, sans même parler de celles de la Spondy. Cela m'a donné un comportement dangereux, ou je n'avais plus aucune barrière sur la prise d'autres produits( MDMA, Cocaïne, alcool et j'en passe ). N'importe quel produit qui pouvait me permettre de "souffler" l'espace de 5 minutes, mais ça ne faisait qu'aggraver mon problème. J'ai encore une boule dans le ventre des années plus tard quand je repense à cette période. La seule issue que je voyais était de me suicider, je ne voyais aucune autre solution.
Le déclic est venu à la fin de ces 7 jours en enfer. J'ai réussi à en parler à un parent proche, qui m'a immédiatement mis en contact avec une addictologue le jour même et ça m'a tout simplement sauvé la vie.
Je vous passe quelques détails, mais aujourd'hui cela fait 4 ans depuis la dernière prise d'opiacé. Certes, ma vie reste très compliquée. Je suis sous Subutex depuis 4 ans à dose maximale, le tramadol me hante encore mais j'ai réussi à fonder une famille et me marier. Mon fils à 1 an et 3 mois aujourd'hui, il est la raison pour laquelle je ne replongerai jamais dans les opiacés.
Je ne sais pas qu'elle conclusion donner à ce témoignage, ni s'il servira à qui que ce soit ici, mais s'il fallait résumer tout ça en une phrase je dirais ceci :
soyez TOUJOURS vigilants avec les antalgiques et notamment les dérivés morphiniques, Soyez toujours bien accompagnés par vos médecins et gardez à l'esprit que ce n'est pas ces produits qui vous soigneront ou arrangeront votre vie à moyen-long terme. Au contraire...
Je ne raconte pas tout ça pour diaboliser les opioïdes, attention. Nous qui connaissons très bien la douleur c'est tout à fait normal de passer par là, personne ne mérite d'avoir aussi mal. Mais n'oubliez jamais la dangerosité de ces médicaments.
Désolé pour le pavé, bonne journée et surtout prenez soins de vous.
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Estebane
Bon conseiller
Estebane
Dernière activité le 22/12/2024 à 22:01
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@Mixou89
Bravo à vous ! Du courage qu'il faut pour témoigner de cet enfer que vous avez vécu, et partagé quant aux souffrances que ce sevrage vous a fait endurer. Et je comprends vos mises en garde quant aux pièges que peuvent devenir les opioïdes. Bonne route à vous et votre pavé est peut-être un garde-fou pour des souffrants pas très informés.
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Estebane
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Ric.spa
Compte tenu des différents symptômes de la maladie, j’ai essayé de catégoriser les traitements possibles selon les atteintes.
💊 Médicaments sur ordonnance : en cas de poussée, et peu importe la localisation, il existe plusieurs type de médicaments pour soulager la douleur :
- Antalgiques : du type paracétamol ou paracétamol codéiné (selon l’intensité de la crise)
- Anti-inflammatoires + oméprazole : afin de soulager ponctuellement à l’inflammation
- Anti-dépresseurs : certains médicaments comme l’amitriptyline (Laroxyl) sont prescrits pour rendre la douleur « plus supportable » psychologiquement.
Pour tous ces médicaments, il convient de consulter votre rhumatologue et d’adapter le traitement selon votre sensibilité et vos besoins.
🏊🏻♂️ Physiothérapie : le sport est d’importance primordiale pour réduire les douleurs axiales. Encore faut-il choisir prudemment l’activité pour ne pas créer l’effet inverse. A ce stade, je recommande deux sports :
- La natation : deux nages idéales dans ce cas, le crawl et le dos crawlé.
- La kinésithérapie : je vous conseille de consulter un kinésithérapeute du sport qui saura vous construire un programme adapté à vos besoins et à l’état actuel de votre spondylarthrite.
La maladie étant imprévisible, la pratique du sport peut donner lieu à des scénarios très différents : vous pouvez avoir mal durant l’entraînement et ne plus avoir mal après, ne pas avoir mal avant mais avoir mal pendant, avoir mal avant mais ne pas avoir mal pendant etc… Il est donc essentiel d’écouter son corps. Si une légère douleur pendant l’entraînement peut être acceptable, vous devez cependant mettre une limite et cesser votre séance si la douleur est insupportable.
🧴 Crèmes : plusieurs crèmes sans ordonnance peuvent être pertinentes pour remédier aux douleurs, notamment périphériques (genoux, talons etc…) :
- Baume du tigre rouge : naturel et agréable avec son effet chauffant, il a cependant l’inconvénient de tâcher vos vêtements à cause de sa couleur.
- Voltaren Actigo.
🧊 Douches froides : certes peu agréables sur le moment, elles peuvent cependant casser la douleur inflammatoire. Pour maximiser les effets, je vous recommande d’en prendre une par jour pendant 1 mois. Pour qu’elles soient plus supportables, il est préférable de les prendre l’après-midi ou le soir et de privilégier les mois chauds.
💡 Mon conseil ultime : créer une fiche avec chaque douleur répertoriée, et les traitements associés pour y remédier. Cela vous aidera vous, mais également vos proches s’ils doivent vous aider.
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Vivre avec des douleurs chroniques
Incompréhension de l'entourage, se sentir seule face à la douleur
Dadou67
Bonjour à toutes
Il faut souvent du temps pour que les proches acceptent la maladie. Il nous en faut d'ailleurs aussi quand le diagnostic tombe.
Pour ma part j'ai 42 ans et j'ai une polyarthrite rhumatoïde étendue à toutes les articulations et le déclic chez mon mari c'est fait au passage du traitement par injection. Je pense que l'effet seringue me rend plus malade à ses yeux.
La maladie m'a appris à penser plus à moi, à m'occuper de moi et les laisser se débrouiller pour les tâches du quotidien, à profiter de la vie car ma vie de maman m'a relégué au second plan pendant 15 ans.
Je n'attends plus de la compassion, de l'aide de mon mari et mes enfants par contre dès qu'une crise survient je deviens égoïste, je me soigne, me repose et étonnamment tout ce petit monde se réveil et vient prendre soin de moi.
Alors peut être que c'est ça le secret....penser à soi!E n tout cas chez moi ça a marché.
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Ric.spa
Compte tenu des différents symptômes de la maladie, j’ai essayé de catégoriser les traitements possibles selon les atteintes.
💊 Médicaments sur ordonnance : en cas de poussée, et peu importe la localisation, il existe plusieurs type de médicaments pour soulager la douleur :
- Antalgiques : du type paracétamol ou paracétamol codéiné (selon l’intensité de la crise)
- Anti-inflammatoires + oméprazole : afin de soulager ponctuellement à l’inflammation
- Anti-dépresseurs : certains médicaments comme l’amitriptyline (Laroxyl) sont prescrits pour rendre la douleur « plus supportable » psychologiquement.
Pour tous ces médicaments, il convient de consulter votre rhumatologue et d’adapter le traitement selon votre sensibilité et vos besoins.
🏊🏻♂️ Physiothérapie : le sport est d’importance primordiale pour réduire les douleurs axiales. Encore faut-il choisir prudemment l’activité pour ne pas créer l’effet inverse. A ce stade, je recommande deux sports :
- La natation : deux nages idéales dans ce cas, le crawl et le dos crawlé.
- La kinésithérapie : je vous conseille de consulter un kinésithérapeute du sport qui saura vous construire un programme adapté à vos besoins et à l’état actuel de votre spondylarthrite.
La maladie étant imprévisible, la pratique du sport peut donner lieu à des scénarios très différents : vous pouvez avoir mal durant l’entraînement et ne plus avoir mal après, ne pas avoir mal avant mais avoir mal pendant, avoir mal avant mais ne pas avoir mal pendant etc… Il est donc essentiel d’écouter son corps. Si une légère douleur pendant l’entraînement peut être acceptable, vous devez cependant mettre une limite et cesser votre séance si la douleur est insupportable.
🧴 Crèmes : plusieurs crèmes sans ordonnance peuvent être pertinentes pour remédier aux douleurs, notamment périphériques (genoux, talons etc…) :
- Baume du tigre rouge : naturel et agréable avec son effet chauffant, il a cependant l’inconvénient de tâcher vos vêtements à cause de sa couleur.
- Voltaren Actigo.
🧊 Douches froides : certes peu agréables sur le moment, elles peuvent cependant casser la douleur inflammatoire. Pour maximiser les effets, je vous recommande d’en prendre une par jour pendant 1 mois. Pour qu’elles soient plus supportables, il est préférable de les prendre l’après-midi ou le soir et de privilégier les mois chauds.
💡 Mon conseil ultime : créer une fiche avec chaque douleur répertoriée, et les traitements associés pour y remédier. Cela vous aidera vous, mais également vos proches s’ils doivent vous aider.
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Dadou67
Bonjour à toutes
Il faut souvent du temps pour que les proches acceptent la maladie. Il nous en faut d'ailleurs aussi quand le diagnostic tombe.
Pour ma part j'ai 42 ans et j'ai une polyarthrite rhumatoïde étendue à toutes les articulations et le déclic chez mon mari c'est fait au passage du traitement par injection. Je pense que l'effet seringue me rend plus malade à ses yeux.
La maladie m'a appris à penser plus à moi, à m'occuper de moi et les laisser se débrouiller pour les tâches du quotidien, à profiter de la vie car ma vie de maman m'a relégué au second plan pendant 15 ans.
Je n'attends plus de la compassion, de l'aide de mon mari et mes enfants par contre dès qu'une crise survient je deviens égoïste, je me soigne, me repose et étonnamment tout ce petit monde se réveil et vient prendre soin de moi.
Alors peut être que c'est ça le secret....penser à soi!E n tout cas chez moi ça a marché.
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
Inscrit en 2012
10 075 commentaires postés | 58 dans le forum Douleurs chroniques
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Les antalgiques (aspirine, tramadol, morphine..) sont les médicaments les plus utilisés dans le traitement de la douleur. Votre médecin vous en a t-il déjà prescrit ? Ont-ils été efficaces ?