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Patients Cancer de la prostate
Lille : une sorte de GPS pour tracer les cellules cancéreuses
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leparigo
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leparigo
Membre Ambassadeur
Dernière activité le 12/11/2024 à 14:29
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Bonjour. Je ne veux surtout pas passer pour monsieur je sais tout. Depuis les années 1980 immulogiste Seiglalet avait découvert que le calcium contenu dans le lait de "vache" et sans oublier le sucre en excès renforcé par les metaux lourd lourds d eau de robinet sont les causes des cellules cancéreuses. Prostate .Seins et autres. Je l ai decouvert seulement il y a 6ans. Cette recherche ne fait que confirmer cet etat de faits. Bien caché pourquoi ?
Bonne journée
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Leparigo Delaciotat
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Recherche et liens utiles - Cancer de la prostate
Traitements du cancer de la prostate : des conséquences sexuelles variables
chqyahoo
@Claudia.L
Les conséquences post-opératoire d'une ablation totale de la prostate sont décrites par le chirurgien comme "potentielles" et "différentes" d'un individu à l'autre. Au début, on s'accroche à ce postulat pour garder l'espoir d'un retour à la normale. Dans les faits, me concernant et j'ai 54 ans, plus de 6 mois après l'opération, je n'ai plus d'érection naturelle. Avant l'opération j'avais une libido plutôt active et des relations sexuelles soutenues et régulières avec ma compagne.
Il s'agit pour moi de le gérer à deux niveaux : psychologiquement j'ai du mal avec des phases de "down" limite dépressives alors que ma compagne est très compréhensive et me soutient beaucoup. Techniquement j'ai recours à des injections d'Edex . C'est assez compliqué à doser et avec un résultat et des douleurs d'intensités assez inégales.
Le désir reste intact ce qui rend d'autant plus compliqué la gestion des relations sexuelles avec la perte de la spontanéité et la gestion du temps puisque qu'une érection sous Edex peut durer plusieurs heures. La crainte de la douleur liée à l'injection rend également la démarche compliquée et il faut réussir à passer outre pour le plaisir de l'un et de l'autre.
A ce stade, je fais avec et je prends beaucoup sur moi.
Mon chirurgien m'a parlé de l'implant qui est certes plus intrusif mais qui permet de retrouver la spontanéité qui accompagne le désir et n'occasionne aucune douleur. On verra ça dans 1 an si aucun retour à la normale ne se présente et si Edex ne réussit pas à me convenir à l'usage.
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Unilabran
@Reno62 Bonjour Je pense qu'il faut vivre normalement sans se poser de question et accepter que comme chacun un jour nous partirons. Mais il faut profiter de la vie. Perso je marche beaucoup, je jardine, je m'occupe..
Et cela aide bien.
Vivons tant que nous pouvons.
Espoir deux personnes comme nous sont maintenant guéries. Arret de traitement et psa à o.o1.
Pourquoi pas pareil pour nous...
Espoir qui vivre.
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chqyahoo
@Claudia.L
Les conséquences post-opératoire d'une ablation totale de la prostate sont décrites par le chirurgien comme "potentielles" et "différentes" d'un individu à l'autre. Au début, on s'accroche à ce postulat pour garder l'espoir d'un retour à la normale. Dans les faits, me concernant et j'ai 54 ans, plus de 6 mois après l'opération, je n'ai plus d'érection naturelle. Avant l'opération j'avais une libido plutôt active et des relations sexuelles soutenues et régulières avec ma compagne.
Il s'agit pour moi de le gérer à deux niveaux : psychologiquement j'ai du mal avec des phases de "down" limite dépressives alors que ma compagne est très compréhensive et me soutient beaucoup. Techniquement j'ai recours à des injections d'Edex . C'est assez compliqué à doser et avec un résultat et des douleurs d'intensités assez inégales.
Le désir reste intact ce qui rend d'autant plus compliqué la gestion des relations sexuelles avec la perte de la spontanéité et la gestion du temps puisque qu'une érection sous Edex peut durer plusieurs heures. La crainte de la douleur liée à l'injection rend également la démarche compliquée et il faut réussir à passer outre pour le plaisir de l'un et de l'autre.
A ce stade, je fais avec et je prends beaucoup sur moi.
Mon chirurgien m'a parlé de l'implant qui est certes plus intrusif mais qui permet de retrouver la spontanéité qui accompagne le désir et n'occasionne aucune douleur. On verra ça dans 1 an si aucun retour à la normale ne se présente et si Edex ne réussit pas à me convenir à l'usage.
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Unilabran
@Reno62 Bonjour Je pense qu'il faut vivre normalement sans se poser de question et accepter que comme chacun un jour nous partirons. Mais il faut profiter de la vie. Perso je marche beaucoup, je jardine, je m'occupe..
Et cela aide bien.
Vivons tant que nous pouvons.
Espoir deux personnes comme nous sont maintenant guéries. Arret de traitement et psa à o.o1.
Pourquoi pas pareil pour nous...
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Louise
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Louise
Animatrice de communauté
Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
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Le docteur V'yacheslav Lehen'kyi, met au point un traitement ciblé du cancer de la prostate.
Un biologiste de l’université de Lille 1, à Villeneuve d’Ascq, travaille sur un projet de recherche qui, à court terme, doit déboucher sur un traitement ciblé des cancers agressifs de la prostate. Pour poursuivre son travail, il a d’ailleurs reçu une bourse de la fondation ARC.
« Plus de 8 800 décès » par an
V’yacheslav Lehen’Kyi préfère qu’on l’appelle Slava. A la tête d’une équipe de cinq scientifiques au sein du laboratoire de physiologie cellulaire de l’université de Lille 1, le chercheur ukrainien travaille sur un projet de traitement ciblé du cancer de la prostate. Cette maladie, il en a fait son cheval de bataille il y a 15 ans déjà : « En France, chaque année, il y a 56.000 nouveaux cas et plus de 8.800 décès. »
Au cours de ses recherches, le Dr. Slava a pu déterminer que la protéine appelée « canal TRPV6 », servant normalement à l’absorption du calcium dans les cellules, était directement liée à la prolifération des tumeurs de la prostate. « Les nombreuses expériences menées in vitro nous ont permis de déterminer que la présence de cette protéine dans la prostate était synonyme de cancer et de tumeurs agressives, mais aucune thérapie ciblée contre cette protéine n’existe à ce jour », explique le chercheur.
Un anticorps « programmé » comme un GPS
Son projet de thérapie consiste donc à développer un anticorps qui sera « programmé » comme un GPS pour se fixer sur le canal TRPV6. « L’anticorps diminue la viabilité des cellules cancéreuses avec des résultats visibles dès 24h », se réjouit le Dr. Slava, ajoutant que « cette thérapie permet de ne cibler que les cellules et qu’elle peut être combinée avec d’autres traitements ».
La bourse de la fondation ARC, d’un montant de 50.000 euros, va lui permettre de mener des expérimentations in vivo et de développer son anticorps. « Je me donne encore deux ans avant de présenter un dossier pour passer aux essais cliniques sur des volontaires humains », estime le biologiste. L’anticorps sur lequel il travaille, et pour lequel il va déposer un brevet, risque d’intéresser pas mal de monde. « Il pourra être utilisé pour tous les cancers dans lesquels est impliquée TRPV6, comme celui du côlon, du sein ou de la thyroïde », selon le chercheur.
Source : 20 Minutes