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Patients Cancer de la prostate
Cancer : une perte de revenus pour 60 % des malades
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fadada
Bon conseiller
fadada
Dernière activité le 02/11/2024 à 22:10
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Pour moi ,pas de perte de salaire car je suis un jeune retraite de 57 ans 1/2. ayant travaillé sur un site d'amiante
toutes et tous qui ont ou ont eu un cancer ,dîtes le à vos proches et dîtes leur d' aller passer un test pour détecter au plus tôt cette vacherie de maladie.N'ayez pas honte car cela peut arriver à tout le monde.Même ma doctoresse m'a conseillé de dire à mes 2 fils de faire le test de la prostate vers 45 ans en disant bien que mon père a été touché par cette maladie.J'ai répondu à toutes leur questions et cela n'est pas évident de raconter sa vie sexuelle.Heureusement que nous sommes pas pudique.
Bon courage à tous
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fadada
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Recherche et liens utiles - Cancer de la prostate
Traitements du cancer de la prostate : des conséquences sexuelles variables
chqyahoo
@Claudia.L
Les conséquences post-opératoire d'une ablation totale de la prostate sont décrites par le chirurgien comme "potentielles" et "différentes" d'un individu à l'autre. Au début, on s'accroche à ce postulat pour garder l'espoir d'un retour à la normale. Dans les faits, me concernant et j'ai 54 ans, plus de 6 mois après l'opération, je n'ai plus d'érection naturelle. Avant l'opération j'avais une libido plutôt active et des relations sexuelles soutenues et régulières avec ma compagne.
Il s'agit pour moi de le gérer à deux niveaux : psychologiquement j'ai du mal avec des phases de "down" limite dépressives alors que ma compagne est très compréhensive et me soutient beaucoup. Techniquement j'ai recours à des injections d'Edex . C'est assez compliqué à doser et avec un résultat et des douleurs d'intensités assez inégales.
Le désir reste intact ce qui rend d'autant plus compliqué la gestion des relations sexuelles avec la perte de la spontanéité et la gestion du temps puisque qu'une érection sous Edex peut durer plusieurs heures. La crainte de la douleur liée à l'injection rend également la démarche compliquée et il faut réussir à passer outre pour le plaisir de l'un et de l'autre.
A ce stade, je fais avec et je prends beaucoup sur moi.
Mon chirurgien m'a parlé de l'implant qui est certes plus intrusif mais qui permet de retrouver la spontanéité qui accompagne le désir et n'occasionne aucune douleur. On verra ça dans 1 an si aucun retour à la normale ne se présente et si Edex ne réussit pas à me convenir à l'usage.
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Unilabran
@Reno62 Bonjour Je pense qu'il faut vivre normalement sans se poser de question et accepter que comme chacun un jour nous partirons. Mais il faut profiter de la vie. Perso je marche beaucoup, je jardine, je m'occupe..
Et cela aide bien.
Vivons tant que nous pouvons.
Espoir deux personnes comme nous sont maintenant guéries. Arret de traitement et psa à o.o1.
Pourquoi pas pareil pour nous...
Espoir qui vivre.
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@Claudia.L
Les conséquences post-opératoire d'une ablation totale de la prostate sont décrites par le chirurgien comme "potentielles" et "différentes" d'un individu à l'autre. Au début, on s'accroche à ce postulat pour garder l'espoir d'un retour à la normale. Dans les faits, me concernant et j'ai 54 ans, plus de 6 mois après l'opération, je n'ai plus d'érection naturelle. Avant l'opération j'avais une libido plutôt active et des relations sexuelles soutenues et régulières avec ma compagne.
Il s'agit pour moi de le gérer à deux niveaux : psychologiquement j'ai du mal avec des phases de "down" limite dépressives alors que ma compagne est très compréhensive et me soutient beaucoup. Techniquement j'ai recours à des injections d'Edex . C'est assez compliqué à doser et avec un résultat et des douleurs d'intensités assez inégales.
Le désir reste intact ce qui rend d'autant plus compliqué la gestion des relations sexuelles avec la perte de la spontanéité et la gestion du temps puisque qu'une érection sous Edex peut durer plusieurs heures. La crainte de la douleur liée à l'injection rend également la démarche compliquée et il faut réussir à passer outre pour le plaisir de l'un et de l'autre.
A ce stade, je fais avec et je prends beaucoup sur moi.
Mon chirurgien m'a parlé de l'implant qui est certes plus intrusif mais qui permet de retrouver la spontanéité qui accompagne le désir et n'occasionne aucune douleur. On verra ça dans 1 an si aucun retour à la normale ne se présente et si Edex ne réussit pas à me convenir à l'usage.
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Unilabran
@Reno62 Bonjour Je pense qu'il faut vivre normalement sans se poser de question et accepter que comme chacun un jour nous partirons. Mais il faut profiter de la vie. Perso je marche beaucoup, je jardine, je m'occupe..
Et cela aide bien.
Vivons tant que nous pouvons.
Espoir deux personnes comme nous sont maintenant guéries. Arret de traitement et psa à o.o1.
Pourquoi pas pareil pour nous...
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Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
Inscrit en 2012
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Selon une étude diffusée par La Ligue contre le cancer, 60 % des malades affirment subir une baisse de revenus. Une perte qui s'explique notamment par les frais médicaux et la réduction du temps de travail. La Ligue contre le cancer met en avant un problème peu abordé à propos de la maladie : la perte de revenus subie par les patients.
Selon son enquête publiée à l'occasion d'une semaine nationale de sensibilisation, 60 % des malades seraient confrontés à une baisse comprise entre 4 000 et 14 000 euros sur dix-huit mois. Dans 44 % des cas, leur foyer serait économiquement en péril. 3 malades sur 4 contraints de réduire ses dépenses quotidiennes Pour tenter de « mieux connaître les conditions de vie » des personnes atteintes d'un cancer ainsi que les « conséquences sociales et familiales » de la maladie, la Ligue contre le cancer a interrogé 2 153 personnes de manière volontaire et anonyme au cours de l'année 2013.
La baisse de revenus constatée par les patients s'explique « par les frais non remboursés », note Agnès Lecas, responsable de l'association (AFP). Les séances chez un psychologue et les crèmes utilisées dans le cadre de radiothérapies ne sont, par exemple, pas prises en charge. Autre facteur cité dans l'enquête : les arrêts de travail, qui ne sont pas couverts à 100 % par l'Assurance maladie et les mutuelles.
Dans trois cas sur quatre, les personnes interrogées assurent devoir diminuer leurs dépenses quotidiennes, y compris alimentaires et énergétiques. Afin de soutenir financièrement les malades, la Ligue contre le cancer délivre ponctuellement des aides. L'an dernier, elle a versé 6,2 millions d'euros, un budget qui « ne cesse d'augmenter d'année en année » en raison de la crise économique et de l'important coût du cancer, précise l'association.
http://www.reponseatout.com/pratique/sante-bien-etre/cancerperte-revenus-60-malades-a1012436