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Cancer de la prostate : un traitement pour limiter les effets secondaires
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jobibi
jobibi
Dernière activité le 02/12/2020 à 23:44
Inscrit en 2013
12 commentaires postés | 1 dans le forum Cancer de la prostate
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J'ai été opéré de la prostate, je cherche la solution pour la continence. Merci de me faire une proposition
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Traitements du cancer de la prostate : des conséquences sexuelles variables
chqyahoo
@Claudia.L
Les conséquences post-opératoire d'une ablation totale de la prostate sont décrites par le chirurgien comme "potentielles" et "différentes" d'un individu à l'autre. Au début, on s'accroche à ce postulat pour garder l'espoir d'un retour à la normale. Dans les faits, me concernant et j'ai 54 ans, plus de 6 mois après l'opération, je n'ai plus d'érection naturelle. Avant l'opération j'avais une libido plutôt active et des relations sexuelles soutenues et régulières avec ma compagne.
Il s'agit pour moi de le gérer à deux niveaux : psychologiquement j'ai du mal avec des phases de "down" limite dépressives alors que ma compagne est très compréhensive et me soutient beaucoup. Techniquement j'ai recours à des injections d'Edex . C'est assez compliqué à doser et avec un résultat et des douleurs d'intensités assez inégales.
Le désir reste intact ce qui rend d'autant plus compliqué la gestion des relations sexuelles avec la perte de la spontanéité et la gestion du temps puisque qu'une érection sous Edex peut durer plusieurs heures. La crainte de la douleur liée à l'injection rend également la démarche compliquée et il faut réussir à passer outre pour le plaisir de l'un et de l'autre.
A ce stade, je fais avec et je prends beaucoup sur moi.
Mon chirurgien m'a parlé de l'implant qui est certes plus intrusif mais qui permet de retrouver la spontanéité qui accompagne le désir et n'occasionne aucune douleur. On verra ça dans 1 an si aucun retour à la normale ne se présente et si Edex ne réussit pas à me convenir à l'usage.
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Unilabran
@Reno62 Bonjour Je pense qu'il faut vivre normalement sans se poser de question et accepter que comme chacun un jour nous partirons. Mais il faut profiter de la vie. Perso je marche beaucoup, je jardine, je m'occupe..
Et cela aide bien.
Vivons tant que nous pouvons.
Espoir deux personnes comme nous sont maintenant guéries. Arret de traitement et psa à o.o1.
Pourquoi pas pareil pour nous...
Espoir qui vivre.
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chqyahoo
@Claudia.L
Les conséquences post-opératoire d'une ablation totale de la prostate sont décrites par le chirurgien comme "potentielles" et "différentes" d'un individu à l'autre. Au début, on s'accroche à ce postulat pour garder l'espoir d'un retour à la normale. Dans les faits, me concernant et j'ai 54 ans, plus de 6 mois après l'opération, je n'ai plus d'érection naturelle. Avant l'opération j'avais une libido plutôt active et des relations sexuelles soutenues et régulières avec ma compagne.
Il s'agit pour moi de le gérer à deux niveaux : psychologiquement j'ai du mal avec des phases de "down" limite dépressives alors que ma compagne est très compréhensive et me soutient beaucoup. Techniquement j'ai recours à des injections d'Edex . C'est assez compliqué à doser et avec un résultat et des douleurs d'intensités assez inégales.
Le désir reste intact ce qui rend d'autant plus compliqué la gestion des relations sexuelles avec la perte de la spontanéité et la gestion du temps puisque qu'une érection sous Edex peut durer plusieurs heures. La crainte de la douleur liée à l'injection rend également la démarche compliquée et il faut réussir à passer outre pour le plaisir de l'un et de l'autre.
A ce stade, je fais avec et je prends beaucoup sur moi.
Mon chirurgien m'a parlé de l'implant qui est certes plus intrusif mais qui permet de retrouver la spontanéité qui accompagne le désir et n'occasionne aucune douleur. On verra ça dans 1 an si aucun retour à la normale ne se présente et si Edex ne réussit pas à me convenir à l'usage.
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Unilabran
@Reno62 Bonjour Je pense qu'il faut vivre normalement sans se poser de question et accepter que comme chacun un jour nous partirons. Mais il faut profiter de la vie. Perso je marche beaucoup, je jardine, je m'occupe..
Et cela aide bien.
Vivons tant que nous pouvons.
Espoir deux personnes comme nous sont maintenant guéries. Arret de traitement et psa à o.o1.
Pourquoi pas pareil pour nous...
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Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Alternative à la chirurgie ou à la radiothérapie, Focal One, un nouveau traitement par ultrasons du cancer de la prostate, associant pour la première fois imagerie IRM et échographie 3D, est proposé à l'hôpital Edouard Herriot de Lyon pour cibler la tumeur et réduire les effets secondaires. Ce procédé encore en stade d'évaluation est testé depuis début avril 2014 dans les hôpitaux de Bordeaux, Toulouse, Lille et Paris.
Conçue et fabriqué par la société EDAP TMS à Vaulx-en-Velin près de Lyon, Focal One est le premier dispositif au monde associant l'imagerie par IRM pour localiser la tumeur, sa fusion sur une échographie 3D et les ultrasons focalisés à haute densité.
Cibler les ultrasons sur la tumeur et délimiter la zone à détruire
Près de 80% des "cancers localisés" de la prostate sont considérés comme "curables" mais aujourd'hui le traitement de référence du cancer de la prostate par chirurgie, radiothérapie ou ultrasons, consistant à traiter la prostate dans sa totalité, entraîne "des risques élevés d'incontinence urinaire ou de séquelles sexuelles", souligne le Dr Albert Gelet, du service d'urologie et de transplantation.
Une fois la tumeur suspecte détectée sur l'IRM, puis confirmée par biopsie, les images sont chargées sur Focal One qui les superpose sur l'échographie 3D, prise par la sonde introduite dans le rectum au cours de l'intervention, a expliqué le Dr Sébastien Crouzet au cours d'une conférence de presse.
"La fusion de l'IRM et de l'échographie permet aux chirurgiens de cibler les ultrasons plus précisément sur la tumeur et de délimiter la zone à détruire, tout en pouvant ajuster en temps réel", a-t-il dit soulignant que cette technique diminuait ainsi "les risques d'effets secondaires".
Une intervention sans cicatrice en une seule séance de 30 minutes
Le chirurgien va ensuite contrôler par IRM la zone traitée pour éventuellement ajuster le tir d'ultrasons. Les patients seront ensuite soumis à des biopsies de contrôle.
Cette intervention, sans cicatrices, est réalisée en une seule séance de 30 minutes à deux heures, en ambulatoire, sous anesthésie locorégionale, a souligné le Dr Crouzet. Toutefois, il précise que cette technique, qui a obtenu de très bons résultats, n'a pas encore été validée comme standard thérapeutique. Elle est encore au stade d'évaluation, un processus qui pourrait durer une dizaine d'années.
La technique des ultrasons focalisés a été expérimentée pour la première fois il y a trois ans sur un prototype de Focal One.
Depuis juin 2013, l'appareil définitif a été utilisé sur une soixantaine de patients de l'hôpital Edouard Herriot atteints de cancers de la prostate considérés comme risque faible ou intermédiaire. Depuis le début du mois d'avril 2014, une autre machine circule dans les hôpitaux de Bordeaux, Toulouse, Lille et Paris.
En France, le cancer de la prostate fait encore 8.000 morts par an - contre 10.000 pour le cancer du sein -, un chiffre en baisse de 2% chaque année grâce à la détection précoce par le dosage de PSA. Toutefois, on recense 71.000 nouveaux cas par an.
http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-cancer-de-la-prostate-un-traitement-pour-limiter-les-effets-secondaires-13133.asp?1=1&utm_source=hootsuite&utm_campaign=hootsuite