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Le cancer colorectal touche plus de jeunes adultes
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Utilisateur désinscrit
bonjour
je voudrais savoir si je vais guerir suite a un cancer du rectum
dot j'ai ete operée en novembre 2013et suite a cela je fais de la chimio
car on m'a decele des nodules aux poumons j'ai fait une serie de 6 seances cela a diminué de 50 pour cent ensuite une nouvelle serie de 6 e cela a rdiminué de 10 pour cent et j'en refait une nouvelle serie de 6 je vais faire la 4 eme lundi 3 decembbre mais mon radiologue m'a dit que j'etais en bonne voie ,puije -le croire ,je vous remerçie de me repondre ,je voulais vous demander autre chose y a t'il des personnes que suite a la chimio ont des fourmillements dans les mains ce qu'elle font pour les diminuer j'ai mon medecin qui m'a donné du lyrica est-ce efficace ,je vous remerçie infiniment de me renseigner
Simba45
Simba45
Dernière activité le 19/06/2021 à 12:54
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5 commentaires postés | 1 dans le groupe Vivre avec le cancer colorectal
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Bien que nombre de ces cancers a baissé depuis 35 ans chez les patients âgés, la tendance a été inverse chez les patients de 20 à 34 ans. L'immense majorité des cancers colorectaux contineunt malgré tout à survenir dans la deuxième moitié de la vie.
Les cancers colorectaux chez les jeunes adultes sont-ils en augmentation? La tendance, suspectée depuis plusieurs années outre-Atlantique et dans certains pays, vient d'être confirmée par les chercheurs du prestigieux Anderson Cancer Center de l'université du Texas, à Houston.
Ils ont repris les données nationales couvrant la période 1975-2010, soit plus de 390.000 malades chez lesquels avait été diagnostiqué un cancer du côlon ou du rectum. Les résultats, publiés dans JAMA Surgery, montrent «un déclin régulier de l'incidence du cancer colorectal chez les patients âgés de 50 ans et plus, mais la tendance opposée est observée chez les patients de 20 à 34 ans».
En France, l'incidence globale, qui avait augmenté jusqu'en 2000, s'est stabilisée à partir de 2005 et diminue depuis. Mais qu'en est-il pour les jeunes adultes?
Pour le Dr Anne-Marie Bouvier, chercheur Inserm (faculté de médecine de Dijon) et responsable du Registre bourguignon des cancers digestifs, «ces données américaines sont surprenantes: l'augmentation d'incidence observée chez les 20-49 ans, et surtout les 20-34, n'est pas connue dans les registres français».
L'arbre qui cache la forêt
«Il faut toutefois garder en tête, précise-t-elle, que parmi l'ensemble des cancers colorectaux diagnostiqués en France en 2012, 4,79 % l'étaient chez les 20-49 ans et seulement 0,56 % chez les 20-34 ans (données Francim).» Soit environ 2000 nouveaux cancers colorectaux survenant chaque année dans la tranche 20-49 ans (2 019 sur 42 152 en 2012). Des variations modestes peuvent donc passer inaperçues.
Enfin, il ne faudrait pas que cette nouvelle tendance, si elle se confirme, soit l'arbre qui cache la forêt. L'immense majorité des cancers colorectaux surviennent dans la deuxième moitié de la vie et c'est bien le dépistage, à partir de 50 ans en l'absence de facteurs de risques particuliers, qui peut permettre de déceler et traiter simplement un cancer débutant en l'absence de tout symptôme.
En France, l'Institut national du cancer estime que ceux qui participent au dépistage organisé réduisent d'un tiers leur risque de mourir de ce cancer. Un bénéfice non négligeable sachant qu'une personne sur vingt aura un cancer colorectal au cours de sa vie.
Source : Le Figaro santé