pour limiter les risques ?
- L’amélioration de l’hygiène de vie contribue à prévenir le risque de survenue d’un AVC et à éviter les récidives. Les principales règles hygiéno-diététiques suivantes peuvent éviter les complications vasculaires :
- - avoir un suivi médical régulier et prendre les traitements médicamenteux prescrits : respecter les conseils et les posologies des médicaments pour les éventuelles pathologies (hypertension artérielle, artériosclérose, hypercholestérolémie, diabète, antécédent d’AIT ou AVC, etc.). Consulter régulièrement votre médecin traitant. Réaliser annuellement un bilan sanguin et lipidique (prise de sang) et surveiller votre pression artérielle.
- - ne pas fumer : le tabagisme est un facteur de risque important.
- - avoir une alimentation équilibrée et adaptée : il est notamment recommandé de limiter sa consommation de graisses et de sel (néfastes au système cardio-vasculaire) et de favoriser les fruits et légumes.
- - limiter la consommation de boissons alcoolisées : l’alcool augmente la pression artérielle et peut aussi réduire l’efficacité des médicaments, il est donc vivement recommandé d’en boire le moins possible.
- - pratiquer une activité physique régulière : elle participe à lutter contre l’hypertension artérielle, le surpoids et l’obésité, qui sont des facteurs derisque d’AVC. Les exercices d’endurance tels que la marche, la natation, la gymnastique, le vélo, l’aquagym, le yoga, sont conseillés. A noter que les activités et sports doivent être adaptés en fonction de votre état de santé. Parlez-en avec votre médecin.
- - avoir un poids de santé et lutter contre le surpoids : en cas de surcharge pondérale, une perte de poids sera bénéfique pour le cœur et la circulation sanguine.
Essayer de vous maintenir en bonne santé est déjà un premier pas pourprévenir les risques d'AVC. Rappelons qu’un suivi médical régulier auprès du médecin généraliste est nécessaire à partir de 50 ans. Si vous reconnaissez les signes annonciateurs d’un accident ischémique transitoire ou d’un accident vasculaire cérébral, contactez immédiatement le Samu en composant le 15.
Julien
Bon conseiller
Julien
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Ces observations laissent donc envisager que le déséquilibre d'apports en oméga-3 et oméga-6 pourrait favoriser l'essor de ces différents troubles cognitifs. Certaines recommandations nutritionnelles insistent donc sur un apport renforcé en oméga-3 lors du développement intra-utérin puis de l'enfance, lors des périodes d'élaboration du tissu nerveux.
Le Figaro Santé