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La vie n'a pas de prix, mais qui va payer ?
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scoobidoo
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scoobidoo
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Que de rancœur Babar ! C'est le second message de vous que je lis, j'ai l'impression que vous en voulez au monde entier !
En 2012 la sécu à remboursé pour moi la somme de 23.000 €, je me demande bien où je serais allée les chercher !
Vous savez à combien se monte le RSA ? Heureusement que je n'en ai pas besoin. 509 €, avec ça, il faut payer l'électricité, l'eau, le gaz, la voiture et son assurance, le téléphone (sans voiture ni téléphone, pas de recherche de travail possible). Pour la plus grande partie de ces gens, il ne reste que 5 € pour vivre par jour. Vous faites quoi avec ça, vous ?
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
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Certains me disent " je suis bien remboursé pour ceci ou cela.... " Je leur réponds NON, toi seul te rembourse par tes cotisations mensuelles, car tu " avances " tous les mois l'argent que l'on te donnera pour les remboursements éventuels de telles prestations ! Il faut être très perspicace pour faire un comparatif entre plusieurs Mutuelles et leurs Offres ! Retraités de 71 ans je règle 170 € / mois à celle ci ! Je suis à 100% mais cela n'est pas pris en compte.... NON, ces Mutuelles ne sont que des ramasseurs de fric, c'est tout; elles remboursent nos frais sur notre compte versé pendant des mois et des années, c'est simple à comprendre ! Trop simple ...
scoobidoo
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Le jour où je serai capable d'avancer ce qui m'est remboursé n'est pas encore arrivé ! !
Si vous avez l'impression de payer une mutuelle pour rien, pourquoi ne pas la résilier ? ? ?
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
Coucou,perso maintenant je vais en consultation externe au C.H.U de Troyes car à l'hôpital je n'avance rien Au Printemps,je me suis fait enlevée une boule dans mon dos par un chirurgien en Clinique & il m'a prit 150 Euros de dépassement d'honoraire en plus ma Mutuel n'a pas voulue m'en rembourser une partie !!! grrr
BABARD
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Poser cette question c'est déjà y répondre !!
à scoobidoo = que vous le vouliez ou pas vous avancez ce qui vous sera remboursé plus tard... Ainsi si A paie une cotisation 100 e / mois et B lui verse 200 euros / mois, vous savez d'avance que B sera bien mieux remboursé en lunettes ou en dents ou .... Cela confirme que vous avancez TOUS les mois, une somme qui vous permettra d'être mieux remboursé ( idem pour la voiture et toutes autres assurances ! ) Ceci est mathématique et normal ! Quand à ne plus prendre de Mutuelle chacun assume ce risque, car si vous entrez à l'hôpital....
Le cas évoqué par angelot nous montre encore toutes les " anomalies " du système, nous privant du remboursement par la CPAM donc également par notre Mutuelle ! On accepte ces dépassements d'honoraires.... pour que seuls les malades en subissent les effets négatifs ! Quand au CMU pour les étrangers, une aberration, une injustice que doivent assumer les FRANCAIS ! La France, terre d'asile, NOUS fait payer constamment sa MAUVAISE Gestion.... Le système est corrompu !!
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scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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C'est une question que l'on croyait réservée aux pays émergents. Et pourtant, l'arrivée d'un nouveau médicament contre l'hépatite C, le Sovaldi, la propulse au cœur du débat français. L'Etat a-t-il les moyens d'offrir cette molécule révolutionnaire à tous les patients qui pourraient en bénéficier ?
La réponse est non. En tout cas, pas au prix que réclame pour l'instant son fabricant, le laboratoire américain Gilead : 18 500 euros la boîte, soit un peu moins de 56 000 euros la cure de 12 semaines.
L'Etat à fait ses comptes : même en restreignant sa prescription aux malades les plus graves, la facture dépassera vite le milliard d'euros. Impensable alors même que le budget de la Sécurité sociale présenté lundi 29 septembre prévoit de couper dans les dépenses de médicaments.
Pour obtenir le Sovaldi à un prix plus raisonnable, le gouvernement a choisi la méthode forte. Il prélèvera une taxe sur l'intégralité des ventes des médicaments destinés à traiter l'hépatite C dès lors qu'un seuil de dépense sera dépassé : 450 millions en 2014, puis 700 millions d'euros en 2015. Un mécanisme sur mesure et… à la mesure de l'exaspération des autorités.
ON NE PARLE PLUS DE 2 000 PATIENTS, MAIS DE 200 000
Jusque-là, les laboratoires qui réclamaient des prix élevés avaient eu gain de cause. Pour des maladies orphelines ou des cancers rares, la France n'a jamais rechigné à débourser jusqu'à plusieurs dizaines de milliers d'euros par an et par patient. Mais là, l'échelle change. On ne parle plus de 2 000 patients, mais de 200 000, contaminés par l'hépatite C. Et l'on dénombre environ 5 000 nouveaux cas chaque année.
La France n'est pas le seul pays à s'interroger En juin, quinze pays européens se sont alliés pour exiger des laboratoires pharmaceutiques qu'ils modèrent leurs prix, en insistant sur leur responsabilité en matière de santé publique. Une première qui a fait long feu, mais qui illustre une réalité : les Etats sont, à l'avenir, condamnés à s'entendre, malgré les différences de leurs systèmes de santé, pour peser face aux exigences des laboratoires.
Car ce débat, porté par le caractère emblématique du Sovaldi, ne fait que s'ouvrir. Dans le domaine du cancer, les progrès s'accompagnent d'une envolée des prix. Les premières thérapies à froler les 100 000 euros vont être remboursées. Très ciblées, elles ne concernent qu'une toute petite population de patients. Mais qu'en sera-t-il lorsque chaque « niche » aura son traitement ? La question se pose aussi avec des médicaments plus courants, prescrits par millions de boîtes, et dont la marque se monnaie très cher, alors que des alternatives bon marché existent.
L'Etat n'en finit pas d'inventer des stratagèmes pour courcircuiter les laboratoires et tenter d'orienter les prescriptions des médecins. Il piétine les règles qu'il a lui-même fixées. Un jeu hasardeux qui n'est finalement satisfaisant ni pour les industriels ni pour les patients, qui s'accommodent tous assez mal d'un tel aléa. Au-delà du bricolage, c'est une vraie réflexion sur ce que l'on attend des médicaments et sur le prix que l'on est prêt à dépenser pour sauver une vie que doit ouvrir le cas du Sovaldi.
Edito du Monde 30/09/2014
Le Monde