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La vie n'a pas de prix, mais qui va payer ?
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scoobidoo
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scoobidoo
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Il faut bien voir qu'un médicament, avec vignette orange, est remboursé à 15% par la sécu.
Pour un médicament à 3€, remboursement sécu : 0.45€ et remboursement mutuelle : 0.45 x 300%= 1.35€, reste 1.20€ à donner au pharmacien. Ceci dans le cas d'une bonne mutuelle qui rembourse 300% du tarif sécu.
Tous les employeurs vont devoir prendre une mutuelle, mais laquelle ?
Il faut être vigilant et vérifier la couverture que vous aurez et, si nécessaire et si vous pouvez, la compléter.
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
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Damedepic,
Les mutuelles des entreprises ont bien changées (voir mon post plus haut ; la mienne me rembourse de moins en moins, est de plus en plus chères et me fait payer 500 euros de plus d'impôt par an).
Francine,
Je verrai cela quand j'aurai mon premier remboursement de ma prévoyance.
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En parlant complémentaire santé il est plus que temps que j'aille voir mon assureur pour voir à quelle sauce il a l'intention de me manger pour 2015. Il paraît que tout va augmenter. Je vais essayer de négocier avec lui !!!!
scoobidoo
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Bonjour Dame de pic,
Avant d'aller voir ton assureur, il faut bien regarder quelle est ta prise en charge sécu. Si tu es en invalidité ou en retraite suite à invalidité, tes soins sont pris en charge à 100%, comme pour moi.
Ma mutuelle me sert surtout si je suis hospitalisée, pour le forfait hospitalier et la chambre seule. Pour l'optique et le dentaire, c'est indispensable.
Beaucoup de mutuelles fractionnent le risque maintenant. Tu es en droit de demander un devis et de les mettre en concurence.
Attention, ne te laisse pas faire, c'est toi la cliente, il y a beaucoup de mutuelles sur le marché, il suffit de regarder les pubs !
Bonne journée à toutes
Francine
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Pour reporendre les propos de damedepic, je ne me fais pas de souci pour les assureurs sur le plan de "nous manger tout crus"... et même ils sont tellement insassiables qu'ils n'ont jamais d'indigestion. Autrement dit ils adorent encaisser mais jamais indemniser... Qui peut le plus peut le moins !
J'ajoute que les mutuelles qui étaient vraiment des mutuelles au départ sont devenues de vulgaires assureurs et ne valent pas mieux.
scoobidoo
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Les mutuelles sont gérées par les adhérents, tu dois recevoir chaque année (selon les statuts) une convocation à l'assemblée générale et tu peux te présenter.
Les mutuelles comme la sécu, sont une espèce de pot commun, les cotisations servant aux remboursements, activités sociales et fonctionnement. Elles ne font pas de bénéfices, elles n'ont pas le droit.
Les assurance c'est différents, elles sont là pour faire des bénéfices, ce sont des commerçants.
Francine
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rickurz
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rickurz
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bonjour
attention à l'age certaine mutuelle augmente leur prix avec l'age , faut chercher dans les tarifs...
scoobidoo
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Il vaut mieux dire complémentaire santé. Mutuelle ou assurance, comme je le dis au dessus, c'est différent.
Il est possible de faire faire un devis, pas sur le net, ils ne tiennent pas compte des cas particuliers, directement chez les assureurs.
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
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D'accord avec toi scoobidoo (j'aimais bien en faire gamine, j'en serais strictement incapable aujourd'hui...) mais, personnellement je ne suis à 100% que pour ce qui relève de la maladie de Basedow et de son suivi en tant que maladie chronique où les récidives sont fréquentes. Pour tout ce qui ne relève pas directement de cette maladie je suis à + ou - 70% (et encore) comme tout le monde.
J'ai eu une complémentaire santé d'entreprise (excellente d'abord avec AXA puis avec Generalis), ensuite une complémentaire santé créée par ma retraite complémentaire principale, puis j'ai pris un contrat, à nouveau dans un groupe privé. J'ai rendez-vous jeudi avec mon assureur à Valence.
Utilisateur désinscrit
Scobidoo : les MUTUELLES n'avaient pas le droit de faire des bénéfices AVANT. Maintenant c'est totalement différent. Ce sont de vulgaires ASSUREURS ! (et pour moi les assureurs "s'assurent" d'abord eux-mêmes contre tout risque... de perte d'argent... au bénéfice des cotisations des adhérents of course qui eux, PAIENT et ont tout le mal du monde à être indemnisés parfois). Désolée, je n'aime pas les gens malhonnêtes.
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scoobidoo
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scoobidoo
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C'est une question que l'on croyait réservée aux pays émergents. Et pourtant, l'arrivée d'un nouveau médicament contre l'hépatite C, le Sovaldi, la propulse au cœur du débat français. L'Etat a-t-il les moyens d'offrir cette molécule révolutionnaire à tous les patients qui pourraient en bénéficier ?
La réponse est non. En tout cas, pas au prix que réclame pour l'instant son fabricant, le laboratoire américain Gilead : 18 500 euros la boîte, soit un peu moins de 56 000 euros la cure de 12 semaines.
L'Etat à fait ses comptes : même en restreignant sa prescription aux malades les plus graves, la facture dépassera vite le milliard d'euros. Impensable alors même que le budget de la Sécurité sociale présenté lundi 29 septembre prévoit de couper dans les dépenses de médicaments.
Pour obtenir le Sovaldi à un prix plus raisonnable, le gouvernement a choisi la méthode forte. Il prélèvera une taxe sur l'intégralité des ventes des médicaments destinés à traiter l'hépatite C dès lors qu'un seuil de dépense sera dépassé : 450 millions en 2014, puis 700 millions d'euros en 2015. Un mécanisme sur mesure et… à la mesure de l'exaspération des autorités.
ON NE PARLE PLUS DE 2 000 PATIENTS, MAIS DE 200 000
Jusque-là, les laboratoires qui réclamaient des prix élevés avaient eu gain de cause. Pour des maladies orphelines ou des cancers rares, la France n'a jamais rechigné à débourser jusqu'à plusieurs dizaines de milliers d'euros par an et par patient. Mais là, l'échelle change. On ne parle plus de 2 000 patients, mais de 200 000, contaminés par l'hépatite C. Et l'on dénombre environ 5 000 nouveaux cas chaque année.
La France n'est pas le seul pays à s'interroger En juin, quinze pays européens se sont alliés pour exiger des laboratoires pharmaceutiques qu'ils modèrent leurs prix, en insistant sur leur responsabilité en matière de santé publique. Une première qui a fait long feu, mais qui illustre une réalité : les Etats sont, à l'avenir, condamnés à s'entendre, malgré les différences de leurs systèmes de santé, pour peser face aux exigences des laboratoires.
Car ce débat, porté par le caractère emblématique du Sovaldi, ne fait que s'ouvrir. Dans le domaine du cancer, les progrès s'accompagnent d'une envolée des prix. Les premières thérapies à froler les 100 000 euros vont être remboursées. Très ciblées, elles ne concernent qu'une toute petite population de patients. Mais qu'en sera-t-il lorsque chaque « niche » aura son traitement ? La question se pose aussi avec des médicaments plus courants, prescrits par millions de boîtes, et dont la marque se monnaie très cher, alors que des alternatives bon marché existent.
L'Etat n'en finit pas d'inventer des stratagèmes pour courcircuiter les laboratoires et tenter d'orienter les prescriptions des médecins. Il piétine les règles qu'il a lui-même fixées. Un jeu hasardeux qui n'est finalement satisfaisant ni pour les industriels ni pour les patients, qui s'accommodent tous assez mal d'un tel aléa. Au-delà du bricolage, c'est une vraie réflexion sur ce que l'on attend des médicaments et sur le prix que l'on est prêt à dépenser pour sauver une vie que doit ouvrir le cas du Sovaldi.
Edito du Monde 30/09/2014
Le Monde