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La vie n'a pas de prix, mais qui va payer ?
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
Pourquoi ce serait encore a l'état de payer , pourquoi les mutuels ne le ferait elles pas?
Utilisateur désinscrit
Les mutuelles, c'est aussi nous !
En plus, je suppose que l'hépatite C est une ALD, donc prise en charge à 100 % par la sécu.
Utilisateur désinscrit
oui c'est sur les mutuelles c'est nous
déjà qu'elles remboursent de moins en moins mais augmentent bien aussi
bientôt les mutuelles ne prendront plus rien en chargent a moins d'y mettre le prix
et là beaucoup de personnes ne pourront plus se soigner
Utilisateur désinscrit
Coucou,moi j'irai bien en Cure mais ne peu pas payé le voyage & l'Hébergement !!! pourtant ça me ferai un grand bien !!! Bonne nuit a tous si vous pouvez
Utilisateur désinscrit
Pour moi la situation est très claire : plus le temps passe, plus on s'enfonce dans le trou sans fond de la dette.
Comme le disait un ami à moi : "Nous étions au bord du précipice ; nous avons fait un grand pas en avaaaaaant" PLOUF
Utilisateur désinscrit
Je ne sais pas où on va mais on y va.
Les mutuelles des entreprises sont maintenant imposables et pas une petite somme.
Elles ne remboursent plus qu'une paire de lunettes tous les 2 ans.
Elles ne remboursent plus les vignettes oranges.
Elles ne remboursent plus complètement, depuis longtemps, les spécialistes.
Mais elles augmentent leurs tarifs...
scoobidoo
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scoobidoo
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Les mutuelles payées par les entreprises sont imposable parce que ceux qui n'ont pas de mutuelle d'entreprise sont obligés de la payer et perdent de leur revenus.
remboursement des lunettes, beaucoup de mutuelles le prennent en charge à condition de modification de la vue et les opticiens garantissent et remplacent les montures ou les verres cassés.
remboursement des vignettes oranges, ça dépend des mutuelles : chosir sa mutuelle
Tout ça pour dire que ça dépend des mutuelles et, bien sur du prix qu'on paie.
La sécurité sociale c'est nos cotisations, pareil pour la mutuelle. Soit on paie plus, soit on est moins remboursé. Quand on commence à avoir de plus petits revenus ou une petite retraite, c'est plus difficile et ça n'ira pas en s'arrangeant. Les mutuelles sont obligées d'augmenter leur tarif car moins la sécu rembourse, plus elles doivent compenser.
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
La mienne compense de moins en moins mais elle est de plus en plus chère car je la paie aussi dans mes cotisations salariales.
J'en paierai peut-être moins en temps partiel ? J'en saurai plus à la fin octobre.
Je ne sais pas si on en paie sur la Prévoyance ?
scoobidoo
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scoobidoo
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Souvent la mutuelle et la prévoyance sont ensemble, tu dois voir sur ton bulletin de salaire.
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
Je pense que toutes les entreprises vont devoir désormais proposer une couverture complémentaire santé à leurs salariés. J'avais ça quand je travaillais car j'avais un contrat à durée indéterminée dans une grosse boite. C'était rudement avantageux : pour 15€ de participation par mois et sans doute quatre ou cinq fois plus versés par mon employeur j'étais rembourser à 400% des tarifs sécurité sociale à peu près pour tout. Les dépassements d'honoraires pratiqués par les médecins, je ne m'en rendais même pas compte... Quand je suis tombée malade j'ai même eu droit à des indemnités journalières complémentaires à celle de la sécu après avoir eu droit à celles de mon employeur au début... Une assurance prévoyance de l'employeur...
A la retraite je touche nettement moins qu'en ADL et je dois payer une complémentaire santé (entre 4 à cinq fois plus que ma participation d'autrefois) qui me couvre beaucoup moins bien ...
J'ai dû reprendre une activité et c'est ce qui attend beaucoup de monde...
Il est évident que la société ne pas pas tout payer car, de toute façon, la société est composée
à partir de chacun de nous.
Je serre les dents, bien contente d'avoir trouvé une activité parfaitement compatible avec une retraite, sans limitation comme un travail salarié, et dans mes cordes...
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C'est une question que l'on croyait réservée aux pays émergents. Et pourtant, l'arrivée d'un nouveau médicament contre l'hépatite C, le Sovaldi, la propulse au cœur du débat français. L'Etat a-t-il les moyens d'offrir cette molécule révolutionnaire à tous les patients qui pourraient en bénéficier ?
La réponse est non. En tout cas, pas au prix que réclame pour l'instant son fabricant, le laboratoire américain Gilead : 18 500 euros la boîte, soit un peu moins de 56 000 euros la cure de 12 semaines.
L'Etat à fait ses comptes : même en restreignant sa prescription aux malades les plus graves, la facture dépassera vite le milliard d'euros. Impensable alors même que le budget de la Sécurité sociale présenté lundi 29 septembre prévoit de couper dans les dépenses de médicaments.
Pour obtenir le Sovaldi à un prix plus raisonnable, le gouvernement a choisi la méthode forte. Il prélèvera une taxe sur l'intégralité des ventes des médicaments destinés à traiter l'hépatite C dès lors qu'un seuil de dépense sera dépassé : 450 millions en 2014, puis 700 millions d'euros en 2015. Un mécanisme sur mesure et… à la mesure de l'exaspération des autorités.
ON NE PARLE PLUS DE 2 000 PATIENTS, MAIS DE 200 000
Jusque-là, les laboratoires qui réclamaient des prix élevés avaient eu gain de cause. Pour des maladies orphelines ou des cancers rares, la France n'a jamais rechigné à débourser jusqu'à plusieurs dizaines de milliers d'euros par an et par patient. Mais là, l'échelle change. On ne parle plus de 2 000 patients, mais de 200 000, contaminés par l'hépatite C. Et l'on dénombre environ 5 000 nouveaux cas chaque année.
La France n'est pas le seul pays à s'interroger En juin, quinze pays européens se sont alliés pour exiger des laboratoires pharmaceutiques qu'ils modèrent leurs prix, en insistant sur leur responsabilité en matière de santé publique. Une première qui a fait long feu, mais qui illustre une réalité : les Etats sont, à l'avenir, condamnés à s'entendre, malgré les différences de leurs systèmes de santé, pour peser face aux exigences des laboratoires.
Car ce débat, porté par le caractère emblématique du Sovaldi, ne fait que s'ouvrir. Dans le domaine du cancer, les progrès s'accompagnent d'une envolée des prix. Les premières thérapies à froler les 100 000 euros vont être remboursées. Très ciblées, elles ne concernent qu'une toute petite population de patients. Mais qu'en sera-t-il lorsque chaque « niche » aura son traitement ? La question se pose aussi avec des médicaments plus courants, prescrits par millions de boîtes, et dont la marque se monnaie très cher, alors que des alternatives bon marché existent.
L'Etat n'en finit pas d'inventer des stratagèmes pour courcircuiter les laboratoires et tenter d'orienter les prescriptions des médecins. Il piétine les règles qu'il a lui-même fixées. Un jeu hasardeux qui n'est finalement satisfaisant ni pour les industriels ni pour les patients, qui s'accommodent tous assez mal d'un tel aléa. Au-delà du bricolage, c'est une vraie réflexion sur ce que l'on attend des médicaments et sur le prix que l'on est prêt à dépenser pour sauver une vie que doit ouvrir le cas du Sovaldi.
Edito du Monde 30/09/2014
Le Monde