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Bonnemaison, Lambert : à partir de mercredi, la justice rouvre le débat sur la fin de vie
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
Ce n'est pas pour moi , une question de religion , ces justement la mon problème avec cette histoire , si je croyais qu'il y ai quelque chose aprés la mort , je serait le premier a aller le voir ce médecin pour qu'il abrége mes souffrances sur cette terre , mais je pense , que quant on est mort on est mort point , après , plus rien , fini , nous ne devenons qu'un vulgaire tas de viandes vouai a la putréfaction , je comprend que ce que vous avez vue sur votre maman , vous aie choqué , mes les médecins sont fait pour soigner , PAS POUR TUER , mais bien sur qu'il y a des cas ou ça peu dépanné , souvent meme plus la famille qui reste , que le patient que l'on est en train de tuer.
Moi , ça me fait peur , si je dois arriver en urgence et en stade terminale dans un hopital , en plus de la douleur , j'aurais peur de ce qui sera mi dans ma perfusion , souvent , les familles savent , mais le principale concerné , lui , ne sait pas qu'on lui donne la mort
Brrrrrrrrrrrrrrrrrrr, ça me fait froid dans le dos
Utilisateur désinscrit
Je voulais dire :MAIS, et non Mes les médecins sont la pour soigner, j'écris trop vite moi, pardon
kikoulo
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kikoulo
Dernière activité le 02/09/2024 à 01:58
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n'appelez cela tue !! mais soulagé!! vous le veriez differmment!!
je sais mon mari raisonne comme vous pourtant pouratnt mes enfants et moi lui ont dit que autant que cela nous ear possible nous le ferons soulagé!!
mais helas chacun raisonne suivant ces ressentis!! c'est notre liberté!! de pouvoir en parler sans animosité!!
bonne journée et soyez si possible zen
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YLES56
Utilisateur désinscrit
Ici nous somme d'accord , je ne discute en aucun cas , votre façon de voir les choses , je ne souhaiterais simplement qu'on ne me SOULAGE pas , contre ma volonté , bonne journée
scoobidoo
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scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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Bonjour à vous,
C'est pour ça que je milite pour que les gens remplissent leurs directives de fin de vie, quelle que soit leur décision, et qu'elles le fassent savoir.
Je vous rappelle le lien : directives
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
Utilisateur désinscrit
Je vous remercie a nouveau pour ça depuis que je l'ai fait et que j'en aie donné des exemplaire un peu partout au cas ou l'original viendrait a étre détruit ou non lu , je respire
vicjch
vicjch
Dernière activité le 26/06/2021 à 10:31
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Bonjour, il me semble avoir entendu que le Dr. allait pouvoir à nouveau exercé la médecine ? et c'est très bien ainsi, j'approuve.
Utilisateur désinscrit
PAS MOI , mais ces mon avis , je respecte le votre
kikoulo
Bon conseiller
kikoulo
Dernière activité le 02/09/2024 à 01:58
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je l'ai entendu aussi!! et suis aussi contente pour lui!!!
pendant leur études ils ne sont pas preparés a faire face a ces moments de stress ou alors ne pas les laisser aussi lontemps dans des services si lourds
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YLES56
pomme123
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pomme123
Dernière activité le 24/11/2024 à 21:44
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chaque patient est particulier, chacun répond différemment à la douleur,certains supportent mieux que d'autres, mais il faudrait ajuster la loi léonetti, les centres de soins paliatifs sont bien gérés c'est une équipe pluridisciplinaire qui accompagne le patient jusqu'au bout de la vie( médecins , psychologue , kiné , ergothérapeute, diététicienne, prête, visite aux patients : associations , infirmières et aides soignantes et famille ) des protocoles de confort sont mis en place pour faire moins mal, des oreillers entre les jambes pour ne pas qu'elles se touchent (changement de position avec des alèses de transfert) ,et toilette du patient et massage des points d'appui pour éviter les escarres ,on mettra une perfusion pour hydrater le patient pour ne pas mourir de soif,sa douleur est prise en compte, on le calme par de la morphine en seringue électrique dans les tous derniers jours quand le médecin estime que c'est une question d'heures, le patient s'en va apaisé accompagné de sa famille( la famille est soutenue avec le psychologue)pour la famille faire le deuil passe mieux car mieux préparé, c'est une expérience que j'ai vécu avec un proche, j'étais admirative de cette équipe à l'écoute ,tant de compassion, de bien être pour ce patient dans un service de soins paliatifs, cela demande du personnel expérimenté,humain
amicalement pomme123
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pomme123
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Après une légère accalmie ces dernières semaines, le débat très passionnel sur la fin de vie devrait repartir de plus belle à partir de cette semaine en France. Deux décisions de justice devraient en effet relancer le débat. Dès mercredi tous les regards seront portés sur Pau. L'urgentiste de Bayonne, Nicolas Bonnemaison, doit en effet comparaître du 11 au 27 juin devant la Cour d'assises des Pyrénées-Atlantiques. Le médecin, âgé de 53 ans, est accusé d'avoir abrégé la vie de sept personnes âgées, cinq femmes et deux hommes, entre mars 2010 et juillet 2011, dans une unité du service des urgences de l'Hôpital de Bayonne. Il comparaîtra libre durant ce procès, à l'issue duquel il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
A Pau, le procès Bonnemaison du 11 au 27 juin
Dénoncé par des infirmières et une aide-soignante en août 2011, Nicolas Bonnemaison a toujours assumé ses actes, estimant qu'il devait "mettre fin à des souffrances extrêmes". Se défendant d'être "un militant de l'euthanasie", il a affirmé "avoir sa conscience pour lui" et ne pas "revendiquer ce qu'il a fait". D'après l'enquête, le praticien aurait utilisé de l'Hypnovel, un psychotrope, et au moins une fois du Norcuron, à base de curare, utilisée en anesthésie-réanimation. "Il a toujours expliqué avec franchise et honnêteté ce qui s'est passé", rappelle son avocat, Me Arnaud Dupin. "Il est tenaillé par la crainte de ne pas être compris". A ce jour, aucune famille de victime n'a porté plainte. Une seule s'est portée partie civile, se disant choquée par le comportement du Dr Bonnemaison.
Au delà du cas de l’urgentiste, c’est tout le débat sur l’euthanasie qui va refaire surface, alors même que le gouvernement repousse de mois en mois sa réforme. Le procès de l'urgentiste, radié en avril 2014 par le Conseil national de l'Ordre des médecins, intervient en plein débat sur l'opportunité d'une réforme de la loi Leonetti du 22 avril 2005. Le député UMP Jean Leonetti et l'ancien ministre de la Santé Bernard Kouchner, plutôt favorable au contraire à une légalisation du suicide assisté, sont d’ailleurs attendus à Pau parmi quelque 70 témoins appelés à ce procès.
A Paris, l’affaire Lambert devant le Conseil d’État
Dans l’intervalle de ce procès, le débat se nourrira aussi de la prochaine décision du Conseil d’État qui doit se prononcer sur l’interruption ou non des soins à Vincent Lambert, tétraplégique en état végétatif dont la famille se déchire à propos de son maintien ou non en vie. L’audience aura lieu le 20 juin. Et pour rendre sa décision, le Conseil d’État s’appuiera sur les conclusions d'une expertise qu'il avait ordonnée en février et qui confirme l'incurabilité de Vincent Lambert.
Là encore, au-delà du cas individuel, le verdict de la haute juridiction administrative est très attendu, car il devrait déboucher sur une interprétation plus ou moins large de la loi Léonetti. Ce n’est qu’ensuite -peut-être pas avant la rentrée- que le CCNE devrait remettre son rapport de synthèse sur les États généraux de la fin de vie. En attendant, le gouvernement, qui a déjà reçu plusieurs avis, poursuit ses consultations. Un texte pourrait intervenir d'ici la fin de l'année pour honorer la promesse de François Hollande qui en janvier encore a souhaité une loi qui permette, "dans un cadre strict", à un majeur atteint d'une maladie incurable de demander "une assistance médicalisée pour terminer sa vie en dignité".
Après une légère accalmie ces dernières semaines, le débat très passionnel sur la fin de vie devrait repartir de plus belle à partir de cette semaine en France. Deux décisions de justice devraient en effet relancer le débat. Dès mercredi tous les regards seront portés sur Pau. L'urgentiste de Bayonne, Nicolas Bonnemaison, doit en effet comparaître du 11 au 27 juin devant la Cour d'assises des Pyrénées-Atlantiques. Le médecin, âgé de 53 ans, est accusé d'avoir abrégé la vie de sept personnes âgées, cinq femmes et deux hommes, entre mars 2010 et juillet 2011, dans une unité du service des urgences de l'Hôpital de Bayonne. Il comparaîtra libre durant ce procès, à l'issue duquel il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
A Pau, le procès Bonnemaison du 11 au 27 juin
Dénoncé par des infirmières et une aide-soignante en août 2011, Nicolas Bonnemaison a toujours assumé ses actes, estimant qu'il devait "mettre fin à des souffrances extrêmes". Se défendant d'être "un militant de l'euthanasie", il a affirmé "avoir sa conscience pour lui" et ne pas "revendiquer ce qu'il a fait". D'après l'enquête, le praticien aurait utilisé de l'Hypnovel, un psychotrope, et au moins une fois du Norcuron, à base de curare, utilisée en anesthésie-réanimation. "Il a toujours expliqué avec franchise et honnêteté ce qui s'est passé", rappelle son avocat, Me Arnaud Dupin. "Il est tenaillé par la crainte de ne pas être compris". A ce jour, aucune famille de victime n'a porté plainte. Une seule s'est portée partie civile, se disant choquée par le comportement du Dr Bonnemaison.
Au delà du cas de l’urgentiste, c’est tout le débat sur l’euthanasie qui va refaire surface, alors même que le gouvernement repousse de mois en mois sa réforme. Le procès de l'urgentiste, radié en avril 2014 par le Conseil national de l'Ordre des médecins, intervient en plein débat sur l'opportunité d'une réforme de la loi Leonetti du 22 avril 2005. Le député UMP Jean Leonetti et l'ancien ministre de la Santé Bernard Kouchner, plutôt favorable au contraire à une légalisation du suicide assisté, sont d’ailleurs attendus à Pau parmi quelque 70 témoins appelés à ce procès.
A Paris, l’affaire Lambert devant le Conseil d’Etat
Dans l’intervalle de ce procès, le débat se nourrira aussi de la prochaine décision du Conseil d’Etat qui doit se prononcer sur l’interruption ou non des soins à Vincent Lambert, tétraplégique en état végétatif dont la famille se déchire à propos de son maintien ou non en vie. L’audience aura lieu le 20 juin. Et pour rendre sa décision, le Conseil d’Etat s’appuiera sur les conclusions d'une expertise qu'il avait ordonnée en février et qui confirme l'incurabilité de Vincent Lambert.
Là encore, au-delà du cas individuel, le verdict de la haute juridiction administrative est très attendu, car il devrait déboucher sur une interprétation plus ou moins large de la loi Léonetti. Ce n’est qu’ensuite -peut-être pas avant la rentrée- que le CCNE devrait remettre son rapport de synthèse sur les Etats généraux de la fin de vie. En attendant, le gouvernement, qui a déjà reçu plusieurs avis, poursuit ses consultations. Un texte pourrait intervenir d'ici la fin de l'année pour honorer la promesse de François Hollande qui en janvier encore a souhaité une loi qui permette, "dans un cadre strict", à un majeur atteint d'une maladie incurable de demander "une assistance médicalisée pour terminer sa vie en dignité".