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Accidents médicaux : «Nous voulons plus de transparence»
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
Tu es quelqu'un d'extraordinaire ! Quel courage et volonté !
Les gens diront ce qu'ils voudront, c'est toujours la Vie avant tout.
A mon sens, la bipolarité devrait pouvoir se soigner. Autrement toujours qu'avec des produits si dangereux.
Le lithium a des effets secondaires difficiles, les autres produits aussi.
J'ai un gros trouble anxieux, j'ai ... En fait je vis avec !
C'est mon problème à moi et de dehors, ça ne se voit pas. L'essentiel.
Et si je pense que les "gens font comme ils veulent", j'ai quand même été échaudée par le Rivotril qu'on m'a laissé, fait prendre inutilement.
Je ne prends plus aucun médicament contre l’épilepsie et n'en vais pas plus mal ... Mes crises seraient apparemment même moins violentes ! Et plus rares ...
Ce que je n'ai plus : l’esprit embrumé !
Devenons des "patients holistiques", se prendre par la main, discuter avec les médecins de nos choix. Car, passé la porte d'un cabinet, nous sommes dehors !
Et seuls de nouveau ...
Puis être malade n'est franchement pas intéressant du tout ...
Ma devise personnelle :
"On me dit souvent : Tourne la page !!! Mais vous êtes marrants, si la vie était un livre, j'aurais choisi l'histoire".
Se relever une fois de plus que ce que l'on est tombé ...
Ne jamais accepter de se laisser cataloguer par les autres, surtout jamais.
Pour ce qui est des voyages, j'adore ça aussi et j'ai surtout décidé que je ne veux pas mourir dans un lit ... Ni à l'hôpital.
Une question de coquetterie :)
Nous avons économisé pour ça : un tour du monde en bateau ! C'est chouette, non ?
Et si tu es tentée, viens avec !
J'ai rencontré une dame, elle fait le tour du monde à vélo ... Jeune ... Un méchant diagnostic ... rhumatisme ... Mais pourquoi se laisser abattre et changer ses rêves pour autant ?
Je veux, je peux ... je fais.
Au final, nous ne sortirons pas vivants de l'aventure ... personne.
Vivons bien, agréablement l'instant présent. Chaque chose en son temps !
J'ai envie de voir la suite des événements, ce qu'il y a derrière cette colline qui se dresse en face de moi ... Même si elle me semble difficile à franchir ... Juste une étape de plus.
Moogly7
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Moogly7
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@Miriam62 j'aimerais bien me prendre aucun traitement les effets secondaires du lithium je le ressens pas en fait la seule différence c'est que je bois plus qu'avant après je sais qu'il est dangereux pour mon corps car il est donné dans les mêmes doses que la dose létale c'est très proche la dose qui soigne et aussi la dose létale du moins très proche alors je comprends que les gens sont inquiets mais il a changé ma vie et maintenant en complément de l'abilify j'ai retrouvé une vie quasi normale avec quelques coûte sans certes mais normal toi aussi tu as un sacré parcours et des écrits extraordinaire j'ai l'impression de lire ce que j'aimerais que poser comme mot sur le papier j'aime énormément parler avec toi ça me fait du bien et me donne beaucoup de courage et je sais que même si la bataille est en bonne voie elle ne sera jamais gagné complètement car je serai obligé de prendre des médicaments mais je ne m'en fais pas si le bon Dieu avait voulu ça fait très longtemps que je ne serai plus là tu m'aides à réaliser à quel point je suis forte tant de gens pensent que nous sommes faible mais il faudrait qu'il passe ne serait-ce que 24 heures dans notre situation pour être beaucoup plus Humble car ils ont bien de la chance d'être valide que ce soit physiquement ou mentalement il devrait nous lire ça leur ferait du bien en tout cas moi ça m'en fait du bien merci Myriam
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Ami
@Miriam62 et par rapport aux médicaments c'est une vraie victoire de ne plus en prendre et que la maladie ce soit atténuer je suis très contente pour toi
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Moogly7
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Puisque ces médicaments te conviennent, je pense que le mieux est de les prendre.
Je suis encore traumatisée (réellement) par cette prise de 28 ans durant, sur un antiépileptique qui m'a provoqué une réaction paradoxale.
Les responsabilités sont diverses, j'étais quant à moi incapable de prendre des décisions ... Presque un légume médicamenteux.
Ce dont personne ne s'est occupé ... Une succession de perfusions ...
J'essaie de m'en remettre, écris donc ce témoignage qui, le temps aidant, prend une toute autre tournure. Je pends mon temps maintenant pour ne pas verser dans le pathos.
C'est pour ça que je m'inquiète de certaines médications, dont la tienne ! C'est très fort....
En même temps, je dois apprendre à relativiser et accepter que je ne sois pas seulement une victime ... C'est compliqué sur le volet psychologique ...
Pas eu le choix, c'est une chose certaine.
Le souci majeur est que je suis atteinte d'un mal sérieux, ça fait peur, c'est handicapant surtout.
Je ne l'ai pas bien pris du tout, injuste.
Puis la réflexion me porte vers une pensée qui me parait s'imposer : la lutte !
Prendre sur soi, être mentalement et physiquement fort.
Ma grâce est d'avoir la musique, c'est une thérapie merveilleuse, une grande force.
Je ne puis que la conseiller, ne serait-ce qu'en écoute !
Le cerveau s'imbibe de sons, le système nerveux central aussi, toute fibre de son être.
J'ai deux chats très fans, ils me couvent, me font fête et même, viennent réclamer que je me mette au piano ! Et pas n'importe quel morceau.
Puis une autre grâce est l'écriture que j'ai si facile.
Je termine mon second roman, le relis et vais le publier.
Un autre suit et me permet de mieux réfléchir sur le témoignage. Je le veux très fort.
Et surtout, utile. Pas que pour moi.
Je suis très fière de rencontrer des amis, comme toi, très inspirants, qui véhiculent une force réellement incroyable. Une puissance qui se rencontre rarement.
J'ai repris des médicaments, quand même, m'étant "juré" de ne plus y avoir recours !
Mais entre ce que l'on pense et ce que l'on peut faire ...
Du paracétamol, un hypotenseur et du Baclofène (spasticités telles que je ne pouvais presque plus bouger sans avoir des douleurs ingérables.)
J'ai clairement moins mal maintenant !
Et vais pouvoir continuer encore un bout de temps.
Mais le plus beau restera toujours l'amour, la joie, l'amitié, l'échange, le don, l'écoute, la gentillesse, la probité, le rire et la tendresse.
J'y ajoute le goût de l'effort !Tout le monde l'a encore peu ou prou. C'est très agréable de bâtir son bonheur soi-même et le partager autour de soi. :)
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@Miriam62 c'est à peu près ma philosophie de vie je pense que on est tous du courage et de la force en nous pour s'en sortir il faut juste taper au fond de la piscine pour remonter une bonne fois pour toute tu sais les médicaments sont pas notre ennemi ça dépend de quel médicament bien sûr il faut qu'il soit adapté à notre organisme moi c'était une prédisposition génétique ma mère en prend mon nom clan. Pour ma psychiatre c'était presque une évidence qu'il fallait que j'en prenne et elle a changé ma vie juste en m'écoutant parler et en posant énormément de questions ce que n'avais pas fait la psychiatre précédente à l'hôpital parce que je précise que j'étais en Clinique donc j'ai encore des frais encore au jour d'aujourd'hui ça fait pas toujours évident mais les problèmes d'argent sont bien relatifs comparé aux problèmes de santé alors je préfère être positive et me dire que l'avenir se fera beau en tout cas je suis pressé de lire tes livres je ne dis pas beaucoup mais vu comment tu écris ça va me plaire bisous
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bonjour à tous
âgé de 70 ans, et pratiquement (hasard ?) assujetti aux "maux" de notre époque, je ne vois qu'un généraliste au sujet du diabète, de l'hypertension, du cholestérol, de l'arthrose, et d'autres amuse bouche pour le moral et l'estomac, soit in finé 11 types de médicaments se répartissant entre 8, 3, 9 pilules matin midi et soir, total 20. Mon médecin ne dispose pas d'ordinateur, donc pas le logiciel du Vidal, par exemple qui alerte parfois par l'ouverture de fenêtres appropriées sur certaines conséquences de prescription.
Ma question est relativement simple :un médecin de la CPAM, par exemple, ne pourrait t'il pas intervenir ( même sous couvert d'anonymat pour le généraliste) de donner son avis sur la délivrance de prescriptions qui pourrait s'avérer explosive ?
Amicalement
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Bonjour
assez surpris de la frilosité suscitée...........
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«Au moins 30.000 à 40.000» patients meurent chaque année en France des suites d'accidents médicaux dont une part pourrait être évitée, estime le Lien, une association de défense des victimes d'infections nosocomiales et d'erreurs médicales qui réclame davantage de transparence autour de la question.
«Les chiffres dont dispose notre organisme sont déduits de données recueillies dans sept pays occidentaux et rendues publiques par l'Organisation mondiale de la santé (OMS)», explique Claude Rambaud, vice-présidente du Lien, «Car en 2015 en France, nous sommes toujours incapables de dire avec plus de précision combien de patients décèdent ou restent invalides des suites d'erreurs médicales évitables».
Des chiffres qui dérangent
«Il n'est pas admissible que l'on n'ait pas d'étude nous donnant des chiffres objectifs de mortalité. On ne peut pas lutter contre un phénomène qu'on ne mesure pas. Nous avons le sentiment que les politiques de tous bords se refusent depuis des années à le mesurer... parce que ce sont des chiffres qui dérangent», s'indigne Alain-Michel Ceretti, fondateur du Lien.
L'organisme réclame la mise en place de mesures d'accidentologie liée aux soins et d'enquêtes «réelles» en établissements de santé, «comme cela se fait dans un certain nombre de pays dont le Royaume-Uni, la Suède ou encore les Etats-Unis», précise la vice présidente. «Nous voulons des indicateurs sur le taux de mortalité et d'infection, afin de permettre aux patients de savoir ce qui se passe dans le service où ils ont l'intention d'aller. Ce qu'une maman veut savoir, c'est dans quel service elle va mettre son enfant», ajoute M. Ceretti.
« Des rapports de décès biaisés »
La seule étude française récente dont on dispose sur les «évènements indésirables survenant en cours d'hospitalisation, ou provoquant une hospitalisation», est l'Enquête Nationale sur les Evènements Indésirables liés aux Soins (ENEIS 2), publiée en 2010 et menée auprès de 71 établissements de soins de court séjour entre avril et juin 2009 sur 8 269 patients.
Difficile à décrypter, cette étude fait état de «8 patients pour qui l'évènement indésirable grave évitable était associé à la survenue d'un décès» et ajoute qu'«il s'agit d'un événement trop rare pour estimer précisément une densité d'incidence avec l'enquête ENEIS. L'âge moyen de ces huit patients était de 82 ans (compris entre 76 et 87) et leur fragilité (morbidité grave, comorbidités, urgence de la prise en charge) était importante».
«Rien d'étonnant», pour Claude Rambaud. «Les rapports de décès sont souvent biaisés car on a du mal à indiquer «erreur médicale» ou «infection nosocomiale» sur les dossiers. C'est plus facile d'écrire «arrêt cardiaque» et cela fait baisser le peu de chiffres officiels dont on dispose. Le système n'est pas organisé pour que l'on sache», déplore-t-elle.
Des signes d'avancées
Autre problème, les dossiers d'accidents médicaux acceptés par les commissions régionales de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux (CRCI) amiable ne font l'objet d'aucune étude. Ainsi, «les autorités sanitaires ne sont pas informées sur les professionnels qui ont un taux anormal d'accidents médicaux», selon M. Ceretti. «On ne fait donc aucun lien en matière de prévention. Or, dans la moitié environ de ces dossiers, soit 900 par an, la responsabilité d'un professionnel ou d'un établissement est reconnue».
Cependant, le projet de loi santé pourrait corriger cette situation en confiant l'analyse de ces dossiers et expertises à une autorité indépendante, indique le fondateur du Lien. «Le Ministère de la Santé nous a également fait savoir qu'il travaillait sur la mise en place d'indicateur de mortalité dans les hôpitaux, on a donc bon espoir de faire avancer les choses mais on poursuit notre combat», conclut Claude Rambaud.
Le cabinet de Marisol Touraine, Ministre de la Santé, confirme avoir lancé un étude sur des indicateurs de mortalité à placer dans les hôpitaux mais indique ne pas être en mesure de fournir plus d'informations à ce stade du projet.
Le Figaro santé