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Accidents médicaux : «Nous voulons plus de transparence»
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C'est un dossier à suivre de près car, là aussi, on nous cache beaucoup de faits... Il n'y a pas que l'armée qui soit une grande muette...
Or avec Internet les choses vont peu à peu changer...
Utilisateur désinscrit
espérons le dame, mais franchement je n'y crois qu'à moitié
dawa
Bon conseiller
dawa
Dernière activité le 07/12/2023 à 06:08
Inscrit en 2014
123 commentaires postés | 44 dans le groupe Revue de presse
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Ami
Je suis d'accord avec tdamedepic, les médecins ne nous disent pas toujours tout ce que nous devrions savoir. Mais internet et des communautes comme carenity nous permettent de mieux nous informer. Nous devons. Exiger des médecins qu'ils nous disent la vérité et leur montrer que nous sommescapables de prendre notre santé en main . Je sais c'est dificile de tr ouver un spécialiste qui ait uneveritable écoute...
JE vais voir prochainement un troisième rhumato specialiste. Car les deux autres ne m'ont pas "entendue"mais je ne désespère pas de trouver
Le "bon". Bonne journee.dawa
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dawa
Utilisateur désinscrit
bonne chance dawa et tien nous au jus
Utilisateur désinscrit
Donc si tout ce que l'on prend nous empoissonnes mais que nous reste t'il. On nous dit toujours de garder le moral mais la sa fout vraiment les boules de savoir que peut être on nous empoisonne. Mais qu'allons nous devenir.
Utilisateur désinscrit
je te donne ma réponse mormamoro :
un numéro aussi bien à la sécu, entreprise, à l'hôpital et/ou pole emploi
un numéro quoi
Utilisateur désinscrit
J'ai bien compris le sage nous ne sommes rien du tout quoi des de batteries pareils.
Utilisateur désinscrit
c"est exactement ça
Utilisateur désinscrit
Aucune fatalité : nous devons nous prendre en charge nous-mêmes.
Ce serait super de créer une communauté de patients avec davantage de solidarité entre nous.
J'ai trouvé un antidépresseur sans benzos ! Il marche très bien et n'est pas addictif -un exemple-. Prochainement -en discussion- sera remboursé par la Sécu (les médecins y travaillent).
Quant aux bavures médicales, j'ai donné et franchement ne le souhaite à personne.
La VIE avant tout et le courage de la vivre tout autant que le plaisir d'offrir à son entourage ce qu'il y a de mieux, comme de bien prendre soin de soi.
Ensemble nous pourrons mieux faire avancer notre cause de patients et travailler avec nos soignants tout en refusant de se laisser faire.
Nous ne sommes pas des numéros mais des Êtres humains avant tout !
:)
fadada
Bon conseiller
fadada
Dernière activité le 21/11/2024 à 22:26
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Bonjour
Pour moi,il a y des personnes qui sont trop sensibles pour dire toute la vérité. J'ai eu un copain qui a attrapé le cancer des poumons et quand son toubib lui a dit la vérité sa femme l'a trouvé pendu dans son garage deux semaines plus tard.Il a demandé le verdict de sa maladie et il l'a eu. Résultat Pendaison
sa femme n'a jamais pardonné au médecin car pour elle il était déjà mal en point de savoir d'aller à l'hopital .Tout le monde ne réagit pas de la même façon .Maintenant ,il ne souffre plus
Bonne journée à tous
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fadada
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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«Au moins 30.000 à 40.000» patients meurent chaque année en France des suites d'accidents médicaux dont une part pourrait être évitée, estime le Lien, une association de défense des victimes d'infections nosocomiales et d'erreurs médicales qui réclame davantage de transparence autour de la question.
«Les chiffres dont dispose notre organisme sont déduits de données recueillies dans sept pays occidentaux et rendues publiques par l'Organisation mondiale de la santé (OMS)», explique Claude Rambaud, vice-présidente du Lien, «Car en 2015 en France, nous sommes toujours incapables de dire avec plus de précision combien de patients décèdent ou restent invalides des suites d'erreurs médicales évitables».
Des chiffres qui dérangent
«Il n'est pas admissible que l'on n'ait pas d'étude nous donnant des chiffres objectifs de mortalité. On ne peut pas lutter contre un phénomène qu'on ne mesure pas. Nous avons le sentiment que les politiques de tous bords se refusent depuis des années à le mesurer... parce que ce sont des chiffres qui dérangent», s'indigne Alain-Michel Ceretti, fondateur du Lien.
L'organisme réclame la mise en place de mesures d'accidentologie liée aux soins et d'enquêtes «réelles» en établissements de santé, «comme cela se fait dans un certain nombre de pays dont le Royaume-Uni, la Suède ou encore les Etats-Unis», précise la vice présidente. «Nous voulons des indicateurs sur le taux de mortalité et d'infection, afin de permettre aux patients de savoir ce qui se passe dans le service où ils ont l'intention d'aller. Ce qu'une maman veut savoir, c'est dans quel service elle va mettre son enfant», ajoute M. Ceretti.
« Des rapports de décès biaisés »
La seule étude française récente dont on dispose sur les «évènements indésirables survenant en cours d'hospitalisation, ou provoquant une hospitalisation», est l'Enquête Nationale sur les Evènements Indésirables liés aux Soins (ENEIS 2), publiée en 2010 et menée auprès de 71 établissements de soins de court séjour entre avril et juin 2009 sur 8 269 patients.
Difficile à décrypter, cette étude fait état de «8 patients pour qui l'évènement indésirable grave évitable était associé à la survenue d'un décès» et ajoute qu'«il s'agit d'un événement trop rare pour estimer précisément une densité d'incidence avec l'enquête ENEIS. L'âge moyen de ces huit patients était de 82 ans (compris entre 76 et 87) et leur fragilité (morbidité grave, comorbidités, urgence de la prise en charge) était importante».
«Rien d'étonnant», pour Claude Rambaud. «Les rapports de décès sont souvent biaisés car on a du mal à indiquer «erreur médicale» ou «infection nosocomiale» sur les dossiers. C'est plus facile d'écrire «arrêt cardiaque» et cela fait baisser le peu de chiffres officiels dont on dispose. Le système n'est pas organisé pour que l'on sache», déplore-t-elle.
Des signes d'avancées
Autre problème, les dossiers d'accidents médicaux acceptés par les commissions régionales de conciliation et d'indemnisation des accidents médicaux (CRCI) amiable ne font l'objet d'aucune étude. Ainsi, «les autorités sanitaires ne sont pas informées sur les professionnels qui ont un taux anormal d'accidents médicaux», selon M. Ceretti. «On ne fait donc aucun lien en matière de prévention. Or, dans la moitié environ de ces dossiers, soit 900 par an, la responsabilité d'un professionnel ou d'un établissement est reconnue».
Cependant, le projet de loi santé pourrait corriger cette situation en confiant l'analyse de ces dossiers et expertises à une autorité indépendante, indique le fondateur du Lien. «Le Ministère de la Santé nous a également fait savoir qu'il travaillait sur la mise en place d'indicateur de mortalité dans les hôpitaux, on a donc bon espoir de faire avancer les choses mais on poursuit notre combat», conclut Claude Rambaud.
Le cabinet de Marisol Touraine, Ministre de la Santé, confirme avoir lancé un étude sur des indicateurs de mortalité à placer dans les hôpitaux mais indique ne pas être en mesure de fournir plus d'informations à ce stade du projet.
Le Figaro santé