traitement
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Bonjour
Pour ma part, longtemps sous zyprexa puis abilify et autres complements j'ai décidé il y a un peu plus d'un an de stopper mes traitements. Je croise les doigts car depuis, hormis quelques petites crises je ne suis pas retombé dans les travers abissaux que j'ai déja vécu.
En ce qui me concerne les traitements étaient incompatibles avec mon activité professionnelle, une impossibilité à me concentrer, à mémoriser et un net ralentissement. Le traitement était t'il adapté ? je ne sais pas mais quoi qu'il en soit, à ce jours, je ne regrette pas cette décision ... jusqu'au prochain clash que j'espère jamais avoir, cette idée me fais un peu peur.
Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Après lecture de tous ces messages je dois avouer être quelque peu interloqué. En effet, ne pas prendre de traitement pour une maladie me semble tout de même paradoxal ... on ne dirait pas à un diabétique de ne pas prendre son insuline sous peine d'être "moins créatif". Pour être honnête, je trouve également que décidé d'arrêter son traitement c'est faire preuve d'un certain égoïsme puisque la bipolarité touche très sensiblement son entourage, pouvant même subir quelques dangers physiques et moraux.
Pour ma part, j'ai débuté un traitement à la dépakine puis au lithium qui ont échoué (effets secondaires beaucoup trop contraigants). Repensant à une crise durant laquelle j'ai violenté mon conjoint, je n'ai pu me résoudre à la seule psychothérapie. Je suis actuellement sous Lambipol en dosage minimum qui est progressivement augmenté. Cette façon de faire est certes peu utilisée par les psychiatres qui auraient en effet souvent tendance à droguer plus qu'à soigner. N'oublions tout de même pas que nous sommes les seules responsables de notre thérapie en ce sens qu'un dialogue et une bonne confiance doivent être instaurées entre les différents acteurs aidants.
Pour faire court, je pense que comme toute maladie, elle se doit d'être correctement traitée par pharmacologie et par psychothérapie sans oublié que la particularité de trouver LE dosage individuel qui convient relève du parcours du combattant mais en retenant que le jeux en vaut la chandelle. Je lis que beaucoup de personnes ont arrêté leur traitement après une mauvaise expérience. Il n'exsite cependant pas qu'un seul psychiatre et/ou qu'un seul traitement. A chacun de trouver le traitement et la dose appropriée.
@+
Ghislain
Utilisateur désinscrit
salut moi ma mère n' admet pas sa maladie et ne prend rien. Elle vit tres bien mais vie seule car elle est invivable sinon.
Flovy
Bon conseiller
Flovy
Dernière activité le 12/05/2024 à 19:45
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67 commentaires postés | 14 dans le groupe Les traitements des troubles bipolaires
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Ami
j 'ai commencé mon premier traitement il y a un mois et demi environ.( LAMOTRIGINE) En raison des risques d'allergie mon psychiatre a préféré commencé par de petites doses. Je suis aujourd'hui à peine à 50 mg!!! et ce depuis une semaine.
Pas d'amélioration. (surement du au faible dosage)
Cependant un immence marre de vivre, désintéret total pour tout.. fatigue intense jusqu'à l'épuisemnt... Pensées très négatives.
Je revoir le médecin début avril, j'espère qu'il me proposera un traitement pour m'aider à remonter la pente... Plusieurs mois que je souffre de cette chronique dépression... J'ai l'impression de ramer.
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Flovy?
Utilisateur désinscrit
Cela fait maintenant 8 ans que suis bipolaire sous traitement lourd, certain médicaments sont utilisés pour les schizophrènes, et j'ai décidé il y a quelques mois d'arrêter ce traitement pour avoir un enfant. Le sevrage fût une véritable épreuve, j'aurais 10 ans de coke dans le nez ça autait pas été pire mais maintenant je vois la différence. Par contre je ne pense pas qu'une personne bipolaire puisse passer sa vie sans cachet ou qu'elle puisse prendre cette décision à n'importe quel moment. Je garde dans un coin de ma tête que confrontée à une situation difficile, un deuil, une rupture.., j'aurais besoin d'une aide médicamenteuse mais le temps où je peut vivre sans j'en profite. IL est certain qu'un entourage compréhensif qui vous soutient est INDISPENSABLE!!! Un bipolaire sans traitement doit s'écouter, se ménager et surout extérioriser. Ce qui me dérange, non qui me fait enrager c'est l'attitude du personnel soignant qui ne fait aucun effort pour comprendre qu'un médicament qui vous handicape physiquement plus que la maladie ou qui vous rend comme une coquille vide n'aide en rien le patient. Il ne pense qu'a vous shooter pour être tranquille. L'exemple qui me frappe est une expérience qui m'est arrivée pendant mon sevrage. Très mal je vais à l'hôpital pour soulager les douleurs et les nausées causées par l'arrêt du traitement. Sans même que j'ai pu m'expliquer, en entendant ce gros mot qu'est bipolaire, le médecin a voulu me donner un tranquilisant. Si mon copain n'avait pas été là il m'aurait interné d'office et après que je lui ai dit ma façon de penser face à son incompétence il a envoyé un papier mensonger où je passais pour une hystérique à mon médecin traitant.
Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Moi aussi j'ai arréter mon traitement je n'ai rien dis à mon psy ni à ma famlille je ressent les effets d'une crise maniaque mais sinon ça va je me sent plutot bien j'ai été diagnostiquée bipolaire à l'âge de 17 ans j'en ais 28 ça été dur por moi d'accepter cette maladie j'arrive a l'accepter a moitié depuis l'année dernière (car je n'accepte pas les traitements)je me demande pourquoi mes frères ne l'ont pas ainsi que mes cousins cousines et tout le reste de ma famille pourquoi moi?
Flovy
Bon conseiller
Flovy
Dernière activité le 12/05/2024 à 19:45
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Ami
Il semblerai que je supporte mal le lamotrigine. J'en suis à 100 mg par jour.
J'avais déjà des maux de tete chroniques handicapants mais là c'est au-delà du supportable.
A cela s ajoute des nausées, un état fébrile permanent avec fièvre, maux de gorge...
Mon généraliste pense que le traitement ne me convient pas. le psychiatre lui dit que le dosage est encore trop faible pour engendrer ce genre de troubles !!!
Résultat, je suis encore plus malade qu'avant et toujours dans un état de grande dépression.
Quelqu'un prend t il du lamotrigine, et si oui avez vous des effets secondaires ?
Merci pour vos éventuelles réponses
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Flovy?
Utilisateur désinscrit
bonsoir, mon medecin m'a remis sous tegretol et seresta mais comme vous tous cela m'est difficile de reprendre un traitement meme si je suis en phase hip. je ne supporte pas le depakote alors j'essaie de me gerer au jour le jour. Tous vos témoignages font échos en moi je me reconnais dans cette pathologie qui nous pourrit l 'existence.
Utilisateur désinscrit
Bonjour, qui peux m'aider, le "divarius" ma psy vient de m'en prescrire est ce que quelqu'un en prend? qui peut me dire pourquoi elle m'a prescrit ce médicament? puis séresta 10mg et 50 mg je vous remercie de m'aider je suis affolée sans doute à tort mais j'ai besoin d'être rassurée, Nelly
Utilisateur désinscrit
Bonjour,merci d'abord pour partager avec nous votre choix,je suis neuve sur le forum car je voudrais trouver des réponses et conseils pour ma sœur qui c'est la personne qui souffre de bipolarité elle n'a pas encore était diagnostique en tant que tel mais depuis un moment je me renseigne bcp en suivant son comportement et je sus arrivée a la conclusion que elle souffre d'un trouble bipolaire elle n'a pas été diagnostique car elle a tjrs voulu se prendre en charge seule sous prétexte que ce sont de petits moments de dépression cause par l’e stress bref nous allons visiter un psychiatre mais je m'interesait bcp a votre desition d'arreter le traitement car j’étais convaincu que la seule solution c’était le traitement pour équilibrer les sauts d'humeur etc etc car d’après certaines témoignages ce sont de médicaments miracle qui vous aident a stabiliser le déséquilibre cause par cette maladie, alors ma question es c’est de savoir si vous préférez gérer la maladie sans traitement(médicaments) et comment vous faites pendant les crises de manie ou dépression? ,avez vous un soutien psychiatrique régulière?
merci bcp.
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DEDELLE
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DEDELLE
Dernière activité le 09/05/2024 à 14:17
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Bonjour à tous,
J'aimerai savoir si d'autres personnes ont fait le choix de ne prendre aucun traitement, et si oui , pourquoi?
Personnellent j'ai fait ce choix en connaissance de cause mais ce n'est pas sans risques.
Ma démarche est essentiellement de m'affranchir de toute dépendance aux traitements (dans la mesure du possible) et par la même de garder une certainne qualité de vie.En aucun cas je ne fais l'apologie de cette approche, mais de juste partager ma modeste expérience sur plus de 40 ans de maladie.
Par contre j'ai essayé d'organiser ma vie en fonction des effets pervers de la maladie, c'est à dire : se forcer (le mot n'est pas excessif) à un minimum de vie sociale,
rechercher des stimuli intellectuels constructifs au travers d'activitées diverses, ce qui dans mon cas est mon meilleur traitement.
Il ne faut pas oublier un point d'ancrage très utile pendant les crises aigues (mes enfants dans mon cas).
La liste n'est pas exhautive , li n'y a pas de recette miracle , tout est lié à notre propre volonté qui souvent nous fait défaut.
jean-marc