Qui prend du Cymbalta 60 ?

Couou c'est toujours Bernie

J'ai pris le cymbalta pendant des années et j'ai réussi à m'en débarrasser très progressivement, j'en suis assez satisfaite   -de l'avoir abandonné-

Je ne prends plus rien et je souffre

Je ne suis pas fibros, mon médecin m'en aurait parlé en 2 ans, j'ai eu un accident de la vie et j'ai du mal avec ça au quotidien. J'écoute mon corps, je prend des pauses au travail mais je fais se qui doit être fait a mon avis le seul risque dans mon cas et de passer de très mauvaise journée mon problème ne s’aggravera pas, il est déjà suffisamment envahissant comme ça.

Je fais mon possible pour guérir, le coté positif est justement que cela ne s’aggrave pas je trouve cela encourageant parmi tous ces désagréments.

Mes douleur son stable elle ne vont pas vers le bas mais ne monte pas plus loin qu'une certaine limite, es que j'ai raison de penser que cela est encourageant ?

Le cymbalta me faisais du bien mais sincèrement je ne peux pas prendre ce médicament, j'ai l'impression de n'être que l'ombre de moi même, je ne peux pas vire ainsi.

Je pense qu'il existe d'autre solution et la rééducation que j'ai commencé aujourd'hui en est probablement une.

Lâcher mon entreprise n'est pas une option, c'est la seul chose qu'il me reste. Si je devais la perdre sachant que je suis le N°1 cela me détruirait tout envie de vivre littéralement. Ce n'est pas qu'un travail, c'est aussi ma passion.

Bonjour @sisilol 

Comme demandé par @angelina je fais remonter le sujet qui t'intéresse 

Bon courage et bel après-midi 

@G I G I Merci bcp ; tu es super. Bisous.

@sisilol ; j'espère que cela pourra t'aider. Bon courage.

Je t'en prie @angelina j'espère que @sisilol y trouvera les renseignements qu'elle recherche 

Je l.espère aussi GIGI. 

C est ça l entraide.

Bisous. 

Bonjour à tous, je vous souhaite une année 2017 meilleure que 2016 et... moins douloureuse. 

De mon côté, j'avais hiératiquement arrêté le serlain (ESPT,...) et étais le soir sous Rivotril pour les jambes sans repos. Le Cymbalta 30 puis 60 a remplacé le Serlain. Cette idée de me passer du Serlain pour mieux ressentir les sentiments est devenue impossible. C'est en discutant avec le psy qu'il m'a proposé le Cymbalta. C'était mieux. 

Bien entend, j'aimerais passer à des méthodes alternatives, bien que sceptique par choix, je me renseigne pour ne pas m'embarquer dans n'importe quoi. La Belgique n'est pas à l'avant garde de la victimologie. Ce que l'on me propose tient la route. J'ai acheté un pavé sur la pleine conscience, mai n'ai pas encore ouvert le bouquin...

Bref, il faut être très régulier dans les prises car moi, j'ai dû - sans les identifier, passer par des crises de manque : pulsions d'anxiété et tentations auto destructrices quasi permanentes. Cette régularité est aussi indispensable pour le Rivotril depuis qu'il est passé de 50 à 100 mg. La stabilisation des prises est essentielle.

Il faut tenir compte que ces médicaments peuvent avoir un effet sur l'attention (concentration) et la mémoire. Autant dire qu'il faut s'organiser, voire inventer des stratagèmes pour y penser.

Il faut aussi bien relire les notices qui sont sur le Web. Les effets secondaires comprennent - à un pourcentage minime - un risque constaté d'effet paradoxal. Je viens de décider de les imprimer pour pointer un à un les effets constatés. Car c'est pas simple de faire la différence entre ce qui est soigné et ce qui pourrait résulter d'un effet secondaire. 

Pour être plus optimiste, je dirais que le cymbalta a un effet positif sur la polyneuropathie des membres inférieurs et supérieurs que l'on vient de me découvrir dans le cadre de mon diabète de type 2. Par contre, une personne alcoolisée a déversé sur moi un torrent d'engueulade lors de la Noël. Cela réactivé mes cauchemars quotidiens liés à mes troubles post trauma moins fréquents depuis un certain temps.

D'une façon générale, le cymbalta est un "stabilisateur minimal". Il permet de bien rester en contact avec la réalité. Pour les effets secondaires, je ne sais plus ce que je peux imputer aux médocs ou à ma santé. Faiblesse musculaire, perturbation de la marche, maîtrise de ce qui n'est pas la mémoire travail (excellente), forme phobie sociale, gestion du quotidien.

J'aurais aimé mieux comprendre la relation Rivotril/Cymbalta. Je continue à essayer d'optimiser la situation. De trouver goût à quelque chose au delà de l'instant.

Ne voyez pas ici une note trop négative. Cela relève peut être également d'un état d'esprit personnel. Je suis marqué par un itinéraire de vie un peu compliqué.

D'ailleurs, comme dirait Barbara, "le soleil se lève encore". Et, c'est beau et cela nous relie à une autre notion du temps. 

Je termine ce soir sur cette note poétique. 

Je prends du cumbalta 60 tous jours au dîner depuis 4 ans . Je n'y vois aucun inconvénients pour le moment mais ...??? vu que j'ai beaucoup de troubles d'autre part , je ne sais à qui les imputer prenant aussi beaucoup d'autres médicaments ... il faudrait n'en prendre qu'un à la fois pour en savoir plus .

 @daysinette ? Bonsoir. 

Je vis la même situation d'une multitude de médoc qui font oublier certaines choses, dont le fait de les prendre quelquefois...

Par contre, j'ai découvert que la revue "prescrire" demande son retrait, évoquants l'étude de www.ehealthme.com (en anglais). Le risque est présente quand même à 3 pour 1000 de terrifiants effets secondaires. Plutot préoccupant. La gravité de l'atteinte de notre santé doit être importante qui justifie le recours à de tels médicaments !

Moi, c'est prescrit pour des troubles post traumatiques sévère, et cela aurait un effet positif pour les problèmes neuropathique des diabétiques T2.

Et pour vous, on le prescrit pour répondre à quelle question de santé ?

Bon courrage. 

Je fais remonter le sujet pour @Nadine3013‍  qui vient de s'inscrire