Que penser du vaccin AstraZeneca ?

"L'institut Pasteur admet que l'ivermectine est efficace contre le Covid. Pourquoi le même jour Macron impose le pass sanitaire et vaccin obligatoire pour les soignants ?", s'interroge ainsi une internaute. La réponse est simple : cette étude, publiée le 12 juillet, n'apporte aucunement la preuve de l'efficacité de la molécule sur le corps humain.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE
 12.07.2021

     
Depuis le début de la pandémie de Covid-19, différentes approches thérapeutiques ont été explorées pour lutter contre la maladie. Des chercheuses et chercheurs de l’Institut Pasteur ont montré que l’ivermectine, une molécule commercialisée comme traitement antiparasitaire, protège des symptômes de la Covid-19 dans un modèle animal. Les scientifiques ont observé que la prise d’ivermectine est associée à une limitation de l’inflammation des voies respiratoires et des symptômes qui en découlent. Ce traitement est également associé à une protection contre la perte d’odorat. Toutefois, les résultats ne montrent pas d’effet de la molécule sur la réplication virale du SARS-CoV-2. Les résultats de l’étude suggèrent que l'ivermectine pourrait être considérée comme un agent thérapeutique contre la Covid-19. Ces résultats ont été publiés dans la revue EMBO Molecular Medicine, le 12 juillet 2021.

@bibimet75‍ 

bonjour il serait judicieux de vérifier vos affirmations avant  de les ériger en preuve 

En Israël le nombre de cas covid journalier était de 6289 le 2 janvier est à grimpé jusque 10213 le 20 janvier 

sur le mois d’août le pique est de 8730

a cela il faut ajouter que la vitesse de contamination est passée 6 jours a 4 jours  avec le variant delta et une charge virale 1260 fois plus importante 

que malheureusement les barrières de protections ont été négligées bien que 30% de la population n’était toujours pas vaccinée 

il faut aussi noter que le nombre de décès est 2 a 3 fois plus faible 

le professeur israélien Cyril Cohen indique « Il y a deux choses. La première chose, c’est que le variant Delta est beaucoup plus contagieux que les variants dominants précédents. Il a touché d’abord la population non-vaccinée et ensuite les vaccinés. Deuxièmement, avec le temps, on voit une diminution de la protection du vaccin contre la contamination. Nos chiffres montrent que celle-ci est moins bonne aujourd’hui chez les personnes dont la vaccination remonte loin dans le temps ». Le professeur souligne en outre qu’il faut distinguer la protection contre la contamination et la protection contre les formes graves, qui, elle, reste toujours très bonne à ce jour. 

Une protection élevée contre les formes graves
Les chiffres restent toutefois très positifs pour la protection contre les formes graves : soit une efficacité de 88 % pour éviter une hospitalisation et de 91,4 % pour éviter les formes sévères, et ce, pour tous les vaccinés confondus quelle que soit leur période d’injection.

Mais la baisse de protection contre l’infection génère-t-elle de la défiance vis-à-vis du vaccin chez les Israéliens ? « On revient en arrière, bien sûr que ça nous frustre. Mais, on avait toujours parlé du fait qu’un moment ou un autre, il y aurait une troisième dose. On est conscient que les vaccins, par exemple le vaccin contre la grippe, ne sont pas efficaces à 100 % pendant dix ans. Donc on s’attendait qu’il y ait un rappel nécessaire. C’est juste qu’il arrive un peu plus rapidement que ce que l’on pensait », explique le professeur Cyril Cohen.

C'est tout à fait ça @Anrib28‍  et la zone charnière et  dangereuse est lorsque le taux de vaccination de la population  atteint 60%  ( taux d'Israël ) L 'immunité collective n'est pas  encore  présente ( si tant est qu'elle pourra l'être)  et le virus doit, pour assurer sa  survie, redoubler d'activité ( contagiosité accrue ou mutation de renforcement )

@maritima  L 'immunité collective  sera là dés que les non vaccinés auront choppés le virus

probablement en fin d'année

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  Alors que je la  croyais mathématiquement impossible , l'horizon s'éclaircit    @nicolas2‍  !

@nicolas2  "La réponse est simple" ou... simpliste.

@Anrib28  Je note dans votre commentaire de 11h58 ceci:  "Deuxièmement, avec le temps, on voit une diminution de la protection du vaccin contre la contamination" ... CQFD.

@bibimet75‍ 

bonsoir, 

je constate toujours les mêmes méthodes sortir une phrase de son contexte pour justifier ses propos vous avez volontairement oublié la suite?

Le professeur souligne en outre qu’il faut distinguer la protection contre la contamination et la protection contre les formes graves, qui, elle, reste toujours très bonne à ce jour. 

Une protection élevée contre les formes graves
Les chiffres restent toutefois très positifs pour la protection contre les formes graves : soit une efficacité de 88 % pour éviter une hospitalisation et de 91,4 % pour éviter les formes sévères, et ce, pour tous les vaccinés confondus quelle que soit leur période d’injection.