- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forums généraux
- Echanger autour de la Covid-19
- Coronavirus : doit-on craindre une seconde vague ?
Coronavirus : doit-on craindre une seconde vague ?
- 49 657 vues
- 3 431 soutiens
- 2 801 commentaires
Tous les commentaires
Aller au dernier commentaire
keke le lyon
Bon conseiller
keke le lyon
Dernière activité le 10/11/2024 à 00:17
Inscrit en 2014
527 commentaires postés | 35 dans le groupe Echanger autour de la Covid-19
4 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Ami
@nicolas2
on se demande bien lequel dit des bêtises, apparemment vous, vous en êtes un spécialiste confirmé.
Deux des résidents décédés avaient le schéma vaccinal complet
Pour autant, impossible de savoir comment est entré le virus. Un membre du personnel ? Un visiteur ? Pour le directeur, lucide face à la situation, le patient zéro n’est pas la préoccupation. "On ne cherche même pas à savoir. Avec l’allégement des restrictions et l’explosion des cas actuellement, on se doutait que, malheureusement, le Covid allait pénétrer à l’intérieur de l’établissement." Épargné depuis le début de l’épidémie, l’établissement répertorie, en plus de ses 33 résidents positifs, six membres de son personnel atteint par le Covid.
Deux des trois résidents décédés avaient leur schéma vaccinal complet tandis que le troisième avait reçu qu’une seule dose.
Bye, bye.
Voir la signature
La suite dans les idées est souvent le dernier refuge des gens sans imagination. OSCAR WILDE
maritima
Bon conseiller
maritima
Dernière activité le 23/11/2024 à 22:24
Inscrit en 2015
35 293 commentaires postés | 4710 dans le groupe Echanger autour de la Covid-19
8 136 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Ami
-
Posteur
Pour faire la part des choses et ne pas oublier un détail ( ?) d'importance
"On parle là de personnes très âgées, de plus de 90 ans et même de plus de 100 ans et très fragiles", expliquait le maire de Palavas-les-Flots, ( FR info 29/07 )
Se souvenir quand même qu'être vacciné n'empêche pas à 100% d'attraper le virus mais évite d'être gravement touché sauf qu' à l âge des personnes décédées , le moindre virus ou la moindre bactérie peuvent être fatals, comme chacun sait.,
Voir la signature
maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Utilisateur désinscrit
@keke le lyon Eh oui beaucoup de spécialistes...
Utilisateur désinscrit
Eh oui surtout toi !!!!! @bibimet75
Utilisateur désinscrit
Le saviez-vous ?
4e vague : la surprenante baisse des infections au Royaume-Uni et en Europe
Alors que l'Angleterre a levé ses dernières mesures de restriction sanitaire, laissant craindre une flambée épidémique, c'est tout le contraire qui s'est passé avec la chute brutale des contaminations. Ce phénomène que l'on observe dans d'autres pays laisse les scientifiques incrédules.
« Nous nous orientons inévitablement vers les 100.000 cas par jour », affirmait le 18 juillet dernier le célèbre épidémiologiste Neil Ferguson à la BBC. Le ministre de la Santé Sajid Javid expliquait lui aussi que les dernières levées des restrictions sanitaires (Freedom Day) allaient entraîner une flambée des infections. Le pays connaissait alors une flambée endémique fulgurante, avec un nombre de cas quotidiens multiplié par cinq en un mois. Pourtant, 12 jours après le pic de 54.183 contaminations constaté le 17 juillet, le nombre de cas positifs est retombé comme un soufflé à 27.734 cas le 28 juillet. Une chute aussi brutale que l'ascension foudroyante de cette quatrième vague, et ce en plein relâchement des mesures sanitaires et notamment la fin du port obligatoire du masque en intérieur.
Une multitude de facteurs invoqués pas très convaincants-
Cette mystérieuse décrue laisse les scientifiques pantois. Un certain nombre de facteurs sont avancés pour expliquer l'amélioration de la circulation, comme le grand nombre de personnes ayant choisi de s'isoler car identifiées comme cas contact, ou le début des vacances d'été (qui ont commencé la semaine dernière en Angleterre). Une ironie quand on pense qu'en France les vacances sont accusées de propager le virus. La météo, également invoquée, aurait aussi « favorisé les activités extérieures », ce qui aurait limité la diffusion du virus, explique Stephen Griffin, professeur agrégé à l'École de médecine de l'université de Leeds. Une autre théorie est que le championnat d'Europe de football en juin et juillet a entraîné une vague de Covid de courte durée au Royaume-Uni, la foule s'étant agglutinée dans les stades et les pubs. Mais le principal facteur invoqué est bien entendu l’immunité croissante, induite par le vaccin ou l'infection. 92 % des adultes au Royaume-Uni sont maintenant susceptibles d'avoir des anticorps Covid-19, selon l'Office for National Statistics, soit parce qu'elles ont eu le virus dans le passé, soit parce qu'elles ont été vaccinées contre celui-ci.
Une décrue observée dans plusieurs autres pays
Il n'empêche que tout cela a du mal à justifier totalement la chute brutale de la vague, reconnaissent les scientifiques. D'autant plus que le cas de l'Angleterre est loin d'être isolé en Europe. Alors que l'Allemagne, l'Italie ou la Belgique sont encore en pleine ascension, plusieurs autres pays semblent avoir dépassé leur pic épidémique. Aux Pays-Bas, par exemple, le nombre de nouveaux cas est passé de 11.297 cas positifs le 16 juillet à 3.455 cas le 28 juillet. Et là encore, aucune explication convaincante d'autant plus que le pays avait adopté une stratégie inverse à celle du Royaume-Uni, avec un renforcement des mesures sanitaires comme la fermeture des boîtes de nuit. Le Portugal et l'Espagne semblent également sur un plateau décroissant, et même la France voit la hausse des contaminations ralentir, avec une augmentation de 97 % sur la dernière semaine, contre 128 % la semaine précédente (du 13 au 20 juillet).
Cette quatrième vague, que personne n'avait vraiment anticipée (la plupart des spécialistes ayant plutôt prédit une nouvelle vague en septembre avec la rentrée des classes et l'arrivée de l'automne), reste donc tout aussi mystérieuse que les précédentes. En avril par exemple, on avait constaté que le nombre de contaminations avait commencé à ralentir quelques jours à peine après la mise en place du confinement, ce qui suggère que ce dernier n'était pas à l'origine de la décrue (puisqu'il faut normalement attendre plusieurs jours ou semaines pour constater ses effets).
- Futura-sciences - 30/07/21
Alain08
Bon conseiller
Alain08
Dernière activité le 20/09/2024 à 19:00
Inscrit en 2021
2 510 commentaires postés | 2369 dans le groupe Echanger autour de la Covid-19
727 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Explorateur
-
Ami
@bibimet75 Ajoutons à cela le fait incontestable que les manifestations dans le pays, rassemblant des centaines de milliers de personnes dans de nombreuses villes, et encore hier, n'ont pas créé de foyers d'infection, sinon tous les media l'aurait rapporté en prime time et les préfectures auraient immédiatement interdit ces manifestations.
On peut en conclure que nos décideurs ne savent pas précisément ou se passe la contagion, ils nous laissent entassés dans les transports en commun mais nous interdisent la plage, c'est à nous même de prendre des précautions sans attendre que l'on nous indique des pratiques efficaces, qui ne nous sont toujours pas communiquées.
Utilisateur désinscrit
@Alain08 C'est aussi mon avis, à nous de prendre les précautions nécessaires, on n'a pas besoin d'être infantilisés, ni privés de liberté.
Je remarque que, depuis que le nombre de cas positifs n'est plus exponentiel en France métropolitaine, les médias en parlent moins, mais mettent bien en avant le nombre d'hospitalisés en service de médecine et en soins critiques. Toujours le choix d'entretenir la peur... alors que la chute des infections étonnante dans plusieurs pays d'Europe risque de se produire aussi chez nous.
maritima
Bon conseiller
maritima
Dernière activité le 23/11/2024 à 22:24
Inscrit en 2015
35 293 commentaires postés | 4710 dans le groupe Echanger autour de la Covid-19
8 136 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Ami
-
Posteur
Les infos du dimanche 1er août
et il ne s'agit pas là du nombre des hospitalisés ni d'un article racoleur pour entretenir la peur
Le nombre de cas de Covid et les indicateurs de l'épidémie toujours en hausse.
Le taux d'incidence est de 191 cas pour 100 000 habitants, contre 99 sur la semaine 28 avec correction des données, ce qui représente une hausse de 94%. Si une augmentation du taux d'incidence a été enregistrée pour toutes les classes d'âge, c'est chez les 20-29 ans que la hausse est la plus spectaculaire, et du fait inquiétante, avec 613 cas pour 100 000 habitants, soit une progression de 97%. Les 10-19 et 30-39 suivent la même tendance avec des hausses de 85% et 95% .Lintern@ute 13h55
Cela dit .... wait and see ....... et pour la France et pour certaines régions d'Europe (cf Espagne :Catalogne) mais pas que.
Voir la signature
maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
Alain08
Bon conseiller
Alain08
Dernière activité le 20/09/2024 à 19:00
Inscrit en 2021
2 510 commentaires postés | 2369 dans le groupe Echanger autour de la Covid-19
727 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Explorateur
-
Ami
Deux injections, trois et plus encore
C'est Nachman Ash, ministre de la santé israélien, qui l'annonce, devant l'évolution de la situation non seulement une troisième dose risque d'être nécessaire, mais même plus, "perpetually" :
"Two days after Israel began administering third shots of the vaccines to people over 60, Ash said the shot would help the fight against the virus but raised concerns that boosters would be needed perpetually."
On nous avait dit que le vaccin était la solution, deux doses et tout allait s'arranger, mais non, ce plan n'était pas le bon, il a fallu envisager une troisième dose, changer le délai entre les injections et maintenant on nous annonce des rappels "perpétuellement".
C'est d'un traitement efficace et assuré que nous avons besoin, là visiblement on est dans l'approximation et l'adaptation à des évolutions non prévues.
Compte suspendu
[Ce contenu a été modéré par un administrateur]
Donnez votre avis
Articles à découvrir...
23/11/2024 | Actualités
18/11/2024 | Actualités
Médicaments et libido : les traitements qui peuvent affecter votre désir sexuel ?
16/11/2024 | Actualités
Troubles de l’attachement : quelles conséquences sur nos relations interpersonnelles ?
08/11/2024 | Conseils
La procrastination : mauvaise habitude ou stratégie secrète pour prendre soin de soi ?
09/01/2019 | Nutrition
14/02/2019 | Conseils
La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
15/04/2019 | Conseils
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Candice.S
Animatrice de communautéBon conseiller
Candice.S
Animatrice de communauté
Dernière activité le 22/11/2024 à 17:44
Inscrit en 2020
5 457 commentaires postés | 266 dans le groupe Echanger autour de la Covid-19
915 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
Bon conseiller
Contributeur
Messager
Engagé
Explorateur
Evaluateur
Bonjour à tous et à toutes,
Comment allez-vous aujourd'hui ?
L’heure est à la vigilance en France, où l’agence sanitaire Santé publique France (SpF) a relevé vendredi 10 juillet une « nouvelle tendance à l’augmentation de la circulation du virus SARS-CoV-2 ».
On commence à entendre parler d'une potentielle seconde vague de coronavirus.
Et vous, quand pensez-vous ? Que devrions-nous faire pour éviter cette recrudescence ?
N'hésitez pas à partager et à échanger sur vos doutes, craintes et ressentis en commentaire de cette discussion.
Prenez soin de vous,
Candice de l'équipe Carenity