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La douleur chronique en mal de prise en charge
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maritima
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Bonsoir @poupina44
Tu dis avoir tout essayer pour enrayer cette sciatique chronique invalidante : T'a t-on proposé une IRM du rachis lombaire? Cet examen pourrait révéler un rétrécissement du canal lombaire dû à l'arthrose avec pour conséquence une compression du nerf sciatique et les douleurs que tu connais.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
poupina44
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Je passe un scanner le 8 mars
maritima
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Bien ! Si ça ne t'ennuie pas, tu nous diras le résultat? Merci et bonne journée malgré un temps un peu tristounet .
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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oui , je donnerai le résultat , merci
et si canal lombaire étroit ? ce serait ça cette sciatique qui ne guèrrit pas , de plus j'ai plus de force dans ma jambe
maritima
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C'est une raison fort probable @poupina44 et je te parle en connaissance de cause car j'ai été opérée pour ce motif. Maintenant ....le scanner découvrira peut-être autre chose : tous les maux de ce genre n'ont pas une cause unique......
Bonne journée quand même !
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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merci
bonne journée à toi aussi
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@maritima donc j'ai passé le scanner 2 hernies discales , on me propose une infiltration sous péridurale , j'ai peur de la péridurale
j'ai toujours cette sciatique
maritima
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@poupina44 L'avantage de ce que l'on te propose c'est que tu as des chances d'avoir moins mal côté sciatique durant quelque temps mais ce n'est pas ça qui va supprimer tes hernies discales. Mais bon ....c'est souvent le protocole proposé.
De plus il me semble que les infiltrations ne doivent pas excéder 3 par an .
Par ailleurs la péridurale n'est plus aussi hasardeuse qu' à ses débuts. Je comprends que tu aies peur mais je pense qu'on a dû te rassurer, non? Quand on a mal ...il faut bien faire confiance à ceux qui peuvent alléger la douleur.
Ce serait quand, cette péridurale? Parle éventuellement avec ton médecin traitant, il saura je pense, te rassurer voire te donner un anxiolytique léger à prendre quelques jours avant si tu ne parviens pas à gérer tes craintes.
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maritima. "l'amour pour épée, l'humour pour bouclier" Bernard Werber.
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Bonjour, je souffre depuis vingt ans d'un cancer carcinoïde grêle avec de multiples TNE Tumeurs Neuroendocrines. J'ai eu tous les traitements possibles, le dernier Lutathérapie , traitement nucléaire , s'est terminé en décembre 2017. Depuis, j'ai beaucoup de mal à remonter le niveau de mon système immunitaire et j'ai eu plusieurs transfusions. Depuis janvier , je souffre de douleurs tendino-musculaires généralisées très invalidantes, je ne peux plus rien faire avec mes mains et j'ai du mal à marcher, certaines zones de mon corps me font souffrir la nuit.
J'ai vu un spécialiste de la douleur qui a dû renoncer aux antalgiques costauds car mon corps a montré une extrême sensibilité aux molécules telles que Tramadol... codéine.. .Et que j'ai une insuffisance rénale. Il m'a prescrit des séances de drainage lymphatique manuel et je n'ai encore trouvé personne près de chez moi, les kinés prennent plusieurs personnes en même temps ! Je n'ai donc que le paracétamol pour soulager un peu mes douleurs .
Si vous avez une idée à me donner, je serai contente, je n'ai pas exploré la piste du gluten ni du lait de vache.
Bon courage à tous , bien amicalement .
Marie-Sylvie
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Marie 🎵
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Louise
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Douze millions de Français sont concernés par les douleurs chroniques. Or, dans 70 % des cas, ces personnes ne reçoivent pas un traitement approprié.
"Je ne me sens jamais bien. Même quand j’ai un peu moins mal, je sais que le lendemain je serai très mal…" "Quand la douleur qui me vrille le crâne s’arrête une heure ou deux dans la journée, c’est comme si j’étais au paradis." Ces deux témoignages, parmi d’autres, recueillis par David Le Breton, sociologue, dans Tenir. Douleur chronique et réinvention de soi (éd. Métailié), illustrent le quotidien des 20 % de Français qui vivent avec une douleur chronique.
Cancers, lombalgies, arthrose, migraines, fibromyalgie, endométriose, rhumatismes inflammatoires, syndrome de l’intestin irritable… "La douleur est le principal symptôme d’un grand nombre de maladies", rappelle le Pr Serge Perrot, président de la Société française d’étude et de traitement de la douleur (SFETD). Elle empoisonne la vie de 12 millions de personnes. Et ce nombre impressionnant va continuer d’augmenter. Car, comme le rappelle Serge Perrot, "à partir de 70 ans, la moitié de la population a des douleurs".
La moitié des patients a une qualité de vie très altérée
Pourtant, de réels progrès ont été réalisés dans l’évaluation et la prise en charge de la douleur depuis la mise en place du premier plan douleur, en 1995. Malgré tout, aujourd’hui encore, 70 % des douleurs ne reçoivent pas un traitement approprié et moins de 3 % des patients sont suivis dans des centres spécialisés, alerte la société savante dans un livre blanc publié en octobre dernier. Et le constat est alarmant : la moitié des patients a une qualité de vie très altérée. À tel point que 30 % des patients souffrants ont des idées suicidaires, rappelait le Dr Émilie Olié, psychiatre au CHU de Montpellier, lors de du congrès de la SFETD en novembre dernier.
Même dans les douleurs liées au cancer, la prise en charge demeure très hétérogène sur le territoire. "Malgré une nette évolution, des études montrent que 40 % des patients cancéreux qui devraient recevoir de la morphine n’en ont pas", affirme le Pr Serge Perrot. Pourtant, de façon a priori paradoxale, les prescriptions d’antalgiques opioïdes forts ont progressé de 74 % entre 2005 et 2015. "Le pourcentage est élevé, mais en valeur absolue, cela représente 600.000 à 700.000 Français qui vont avoir au moins une prescription d’antalgiques opioïdes forts. Par ailleurs, la prescription augmente surtout dans les douleurs non liées au cancer", explique le Pr Nicolas Authier, responsable du centre de la douleur au CHU de Clermont-Ferrand. En effet, les opioïdes forts (fentanyl, oxycodone et morphine) sont de plus en plus prescrits dans des douleurs ostéo-articulaires lorsque les traitements conventionnels ne sont plus efficaces.
Un manque de nouvelles molécules
"Par ailleurs, nous n’avons pratiquement plus d’antalgiques de palier 2. C’est normal que nous prescrivions plus d’opioïdes forts. Aujourd’hui, nous devons soulager les gens avec un arsenal qui se réduit sans cesse", analyse Anne-Marie Magnier, professeur de médecine générale à l’université Pierre-et-Marie-Curie à Paris. Par exemple, rappelle-t-elle, les anti-inflammatoires non stéroïdiens, qui ont été largement utilisés en rhumatologie, sont désormais à éviter au long cours. Outre le risque d’hémorragie digestive, ils ont démontré une toxicité rénale et cardio-vasculaire. "Il faut également savoir que la codéine n’est pas supportée par tout le monde", poursuit-elle.
De plus, les antalgiques ne soulagent pas toutes les douleurs. En effet, les douleurs de type neuropathiques, comme les douleurs du zona ou du diabète ou encore les douleurs de la fibromyalgie ou de l’intestin irritable, dites nociplastiques ou dysfonctionnelles, ne répondent pas ou peu à ces molécules. Pour ces douleurs, les médicaments utilisés appartiennent à la classe des antiépileptiques ou des antidépresseurs.
"Aujourd’hui, ce qui nous manque, ce sont de nouvelles molécules. Les traitements sont anciens, pas assez efficaces ou mal tolérés. Nous avons par exemple besoin d’antalgiques aussi efficaces que la morphine mais sans effets indésirables", analyse le Pr Alain Eschalier, président de l’Institut Analgésia. Des molécules explorant de nouvelles voies pharmacologiques sont également en cours d’études. Mais les véritables innovations se font attendre.
En attendant, médecins et patients doivent faire avec les molécules à leur disposition. Sans oublier les approches non médicamenteuses. "Hypnose, acupuncture, exercice physique peuvent se montrer aussi efficaces mais ne sont pas remboursés par la Sécurité sociale", déplore le Pr Serge Perrot, qui milite avec la SFETD pour une reconnaissance de ces approches.
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Médicaments opioïdes forts sous surveillance
Médiatisée par le décès du chanteur Prince, l’épidémie de dépendance aux médicaments opioïdes alarme les autorités américaines. Il faut dire que, chaque jour, près de 150 Américains meurent d’une overdose de médicaments destinés à combattre la douleur. Cette situation dramatique pourrait-elle émerger en France ? La question se pose.
Pour la première fois, une étude s’est penchée sur les données françaises. Et le constat est là. Alors que la prescription de médicaments opioïdes a fortement progressé, les hospitalisations pour overdose et les décès ont également fait un bond spectaculaire. Hors suicides, les décès par médicaments opioïdes forts ont été multipliés par trois en dix ans, passant de 1,3 à 3,4 pour 1 million d’habitants, révèle une étude menée par l’Observatoire français des médicaments antalgiques (Ofma).
Des overdoses qui, contrairement à ce que l’on peut imaginer, ne frappent pas de jeunes toxicomanes accros aux médicaments. En effet, 40 % des hospitalisations pour overdose concernent des femmes âgées de 62 ans, sans diagnostic de cancer, sans chirurgie récente et sans antécédent d’addiction connue. "Ces données sont préoccupantes mais pas encore alarmantes. Nous savons que nous avons une problématique d’abus et de mésusage mais pas de crise", tempère le Pr Nicolas Authier, responsable du centre de la douleur du CHU de Clermont-Ferrand.
Informer pour éviter la crise
Pour ce spécialiste, la première action à mener est d’informer les Français sur les risques d’accoutumance que peuvent engendrer ces médicaments. "Nous devons notamment mettre en garde contre l’utilisation de médicaments présents dans l’armoire familiale en automédication. Ou encore rappeler les facteurs favorisant une accoutumance comme l’anxiété, la dépression, l’addiction à d’autres substances dont les benzodiazépines", souligne-t-il.
Pour autant, il ne s’agit pas de limiter l’accès de ces médicaments aux patients douloureux mais de surveiller et d’accompagner d’éventuels mésusages. "Nous devons éviter de nous retrouver dans une problématique de crise, comme aux États-Unis. Il serait alors difficile de s’en sortir. Lorsque la crise est installée, cela signifie qu’il existe un réservoir important de patients dépendants. Et ces derniers ne vont pas disparaître sous prétexte que vous modifiez les conditions de prescription des médicaments", précise Nicolas Authier.
Et vous, quel traitement anti-douleurs prenez-vous ?
Le Figaro Santé