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La douleur chronique en mal de prise en charge
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@matinclair Bonjour. Merci de ta réponse. J'ai beaucoup de mal à comprendre comment on peut souffrir autant sans qu'un remède nous soulage. Je sais qu'il y a énormément de maladies et de pathologies et que cela doit être difficile de contenter tout le monde. Je te souhaite beaucoup de courage et qu'il soit trouvé pour toi bientôt quelque chose pour t'aider. Bonne fin d'après midi Matin Clair
matinclair
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matinclair
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@Joannic merci pour ta réponse et pour tes conseils !! bonne continuation !! et bon courage !!!
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matinclair
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@chatalors, ben oui c'est très compliqué pour moi car il y a ce diabète au milieu qui me complique tout !! même ma tension trop basse maintenant qui s'en mêle depuis quelques jours !! j'essais de joindre mon doc traitant que je n'arrive pas à joindre ! elle oscille entre 10 et 8,50 et je me sens flagada !! je vais aller m'allonger un moment !! Bon courage et bonne fin de journée !!
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matinclair
Nuage31
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@soniareims bonsoir
je suis preneuse de tuyau car je suis dans un bain de douleur permanent
que faut il’manger Ou pas
Merci
nuage
enoch38
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le docteur parle de la morphine et de ses effets secondaires, pour moi il n'y en n'a pas eu (actiskenan: sulfate de morphine 5MG), sauf qu'après trois mois de traitements on ne m'avait pas prévenu que le sevrage serait terrible, trois semaines affreuses avant de sentir les premiers effets de ce dernier.
jac22
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Ami
@ Joannic ; bonjour à tous également
Je me retrouve dans certaines de vos observations ; à croire que les séquelles laissé par un AVC ont des points communs avec celles d'une SEP , je m'explique je garde des problèmes physique de sensibilité : au froid , l'approche des caissons réfrigérés en grande distribution me titanise , je supporte mal également qu'on me touche , cela me procure des douleurs comme des bleus ( dans les bras), ou une certaine résonance dans le corps (le dos) c'est bizarre peut être mais très désagréable, et cette état est stable depuis longtemps ,pb de perte de sensibilité dans la main gauche également qui se traduit par une gêne lors d'un boutonnage d'une chemise , si je vis avec , les douleurs qui s'installent en soirée ou la nuit sont toujours insupportables
Joannic
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Joannic
Dernière activité le 09/11/2022 à 21:00
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@jac22 oui, comment faites-vous pour gérer ? Moi en ce moment, les douleurs me sont + difficiles le soir, j'ai du mal à trouver une position au lit et qui me soulage.
il n'y a que mon TENS qui me fit du bien !
Joannic
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Joannic Allossery
jac22
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Dernière activité le 13/07/2020 à 14:26
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Ami
Bonjour Joannic
mes douleurs me réveille quotidiennement vers 4 heures du matin (plus ou moins) je me lève pour supporter plus facilement les douleurs et déjeune vers 5 heures tout les jours , je regarde ensuite les infos en sapant sur les chaines Euronews ,Sky news , Cnn , avant d'aller sur ordinateur ou de retourner au lit , mais les douleurs comme aujourd'hui me sortent à nouveau du lit ,c'est mon quotidien et en soirée vers 17 ,18 heures ces douleurs reviennent (spaticité) avec en plus les jambes sans repos ,mon traitement Ropinirole pour les jambes sans repos et Baclofène pour les douleurs (sensation d'écrasement du pied ,de brûlure parfois etc ) et je ne me coucher le soir quand tout ces pb sont calmés par les médoc , car au lit c'est encore pire !
je vais en parler pour le Tens avec mon médecin , je reste une personne très active pendant la journée en oubliant mes petites nuits , j'ignore si c'est une faculté mais à vivre avec depuis mes 22 ans on finis par faire avec quand on n'a pas le choix ! je reste une personne de projets , de travaux je crois que je sais pas vivre autrement . mon adrénaline ! ou une revanche sur une jeunesse sans espace ni compréhension ?
Bon courage Joannic , au regard de votre vécu je vous admire , je vis dans le 22 à Lannion et vous souhaite une "Belle journée" autour de vous.
Jean-jacques
kelily
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kelily
Dernière activité le 22/11/2024 à 18:41
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Bonjour a tous , je prend du Durogesic 25 et dans la journée du Actiskenan mon corps c'est habituer et les douleur sont de plus en plus forte je suis très fatiguer !! bonne journée Kelily
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KELILY
poupina44
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poupina44
Dernière activité le 23/11/2024 à 12:08
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Ami
je prend ixprim le soir
noctamide 1 mg et demi pour dormir mais je dors pas , c'est surtout la nuit que j'ai mal , je trouve aucune bonne position
moi aussi j'ai un tens , j'ai une sciatique chronique , c'est une horreur ce mal , je boite , j'ai tout essayé , ostéopathe , kiné , acuponcture , aucune bonne solution , c'est déprimant
merci de m'avoir lu
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Louise
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Louise
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Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
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Ami
Douze millions de Français sont concernés par les douleurs chroniques. Or, dans 70 % des cas, ces personnes ne reçoivent pas un traitement approprié.
"Je ne me sens jamais bien. Même quand j’ai un peu moins mal, je sais que le lendemain je serai très mal…" "Quand la douleur qui me vrille le crâne s’arrête une heure ou deux dans la journée, c’est comme si j’étais au paradis." Ces deux témoignages, parmi d’autres, recueillis par David Le Breton, sociologue, dans Tenir. Douleur chronique et réinvention de soi (éd. Métailié), illustrent le quotidien des 20 % de Français qui vivent avec une douleur chronique.
Cancers, lombalgies, arthrose, migraines, fibromyalgie, endométriose, rhumatismes inflammatoires, syndrome de l’intestin irritable… "La douleur est le principal symptôme d’un grand nombre de maladies", rappelle le Pr Serge Perrot, président de la Société française d’étude et de traitement de la douleur (SFETD). Elle empoisonne la vie de 12 millions de personnes. Et ce nombre impressionnant va continuer d’augmenter. Car, comme le rappelle Serge Perrot, "à partir de 70 ans, la moitié de la population a des douleurs".
La moitié des patients a une qualité de vie très altérée
Pourtant, de réels progrès ont été réalisés dans l’évaluation et la prise en charge de la douleur depuis la mise en place du premier plan douleur, en 1995. Malgré tout, aujourd’hui encore, 70 % des douleurs ne reçoivent pas un traitement approprié et moins de 3 % des patients sont suivis dans des centres spécialisés, alerte la société savante dans un livre blanc publié en octobre dernier. Et le constat est alarmant : la moitié des patients a une qualité de vie très altérée. À tel point que 30 % des patients souffrants ont des idées suicidaires, rappelait le Dr Émilie Olié, psychiatre au CHU de Montpellier, lors de du congrès de la SFETD en novembre dernier.
Même dans les douleurs liées au cancer, la prise en charge demeure très hétérogène sur le territoire. "Malgré une nette évolution, des études montrent que 40 % des patients cancéreux qui devraient recevoir de la morphine n’en ont pas", affirme le Pr Serge Perrot. Pourtant, de façon a priori paradoxale, les prescriptions d’antalgiques opioïdes forts ont progressé de 74 % entre 2005 et 2015. "Le pourcentage est élevé, mais en valeur absolue, cela représente 600.000 à 700.000 Français qui vont avoir au moins une prescription d’antalgiques opioïdes forts. Par ailleurs, la prescription augmente surtout dans les douleurs non liées au cancer", explique le Pr Nicolas Authier, responsable du centre de la douleur au CHU de Clermont-Ferrand. En effet, les opioïdes forts (fentanyl, oxycodone et morphine) sont de plus en plus prescrits dans des douleurs ostéo-articulaires lorsque les traitements conventionnels ne sont plus efficaces.
Un manque de nouvelles molécules
"Par ailleurs, nous n’avons pratiquement plus d’antalgiques de palier 2. C’est normal que nous prescrivions plus d’opioïdes forts. Aujourd’hui, nous devons soulager les gens avec un arsenal qui se réduit sans cesse", analyse Anne-Marie Magnier, professeur de médecine générale à l’université Pierre-et-Marie-Curie à Paris. Par exemple, rappelle-t-elle, les anti-inflammatoires non stéroïdiens, qui ont été largement utilisés en rhumatologie, sont désormais à éviter au long cours. Outre le risque d’hémorragie digestive, ils ont démontré une toxicité rénale et cardio-vasculaire. "Il faut également savoir que la codéine n’est pas supportée par tout le monde", poursuit-elle.
De plus, les antalgiques ne soulagent pas toutes les douleurs. En effet, les douleurs de type neuropathiques, comme les douleurs du zona ou du diabète ou encore les douleurs de la fibromyalgie ou de l’intestin irritable, dites nociplastiques ou dysfonctionnelles, ne répondent pas ou peu à ces molécules. Pour ces douleurs, les médicaments utilisés appartiennent à la classe des antiépileptiques ou des antidépresseurs.
"Aujourd’hui, ce qui nous manque, ce sont de nouvelles molécules. Les traitements sont anciens, pas assez efficaces ou mal tolérés. Nous avons par exemple besoin d’antalgiques aussi efficaces que la morphine mais sans effets indésirables", analyse le Pr Alain Eschalier, président de l’Institut Analgésia. Des molécules explorant de nouvelles voies pharmacologiques sont également en cours d’études. Mais les véritables innovations se font attendre.
En attendant, médecins et patients doivent faire avec les molécules à leur disposition. Sans oublier les approches non médicamenteuses. "Hypnose, acupuncture, exercice physique peuvent se montrer aussi efficaces mais ne sont pas remboursés par la Sécurité sociale", déplore le Pr Serge Perrot, qui milite avec la SFETD pour une reconnaissance de ces approches.
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Médicaments opioïdes forts sous surveillance
Médiatisée par le décès du chanteur Prince, l’épidémie de dépendance aux médicaments opioïdes alarme les autorités américaines. Il faut dire que, chaque jour, près de 150 Américains meurent d’une overdose de médicaments destinés à combattre la douleur. Cette situation dramatique pourrait-elle émerger en France ? La question se pose.
Pour la première fois, une étude s’est penchée sur les données françaises. Et le constat est là. Alors que la prescription de médicaments opioïdes a fortement progressé, les hospitalisations pour overdose et les décès ont également fait un bond spectaculaire. Hors suicides, les décès par médicaments opioïdes forts ont été multipliés par trois en dix ans, passant de 1,3 à 3,4 pour 1 million d’habitants, révèle une étude menée par l’Observatoire français des médicaments antalgiques (Ofma).
Des overdoses qui, contrairement à ce que l’on peut imaginer, ne frappent pas de jeunes toxicomanes accros aux médicaments. En effet, 40 % des hospitalisations pour overdose concernent des femmes âgées de 62 ans, sans diagnostic de cancer, sans chirurgie récente et sans antécédent d’addiction connue. "Ces données sont préoccupantes mais pas encore alarmantes. Nous savons que nous avons une problématique d’abus et de mésusage mais pas de crise", tempère le Pr Nicolas Authier, responsable du centre de la douleur du CHU de Clermont-Ferrand.
Informer pour éviter la crise
Pour ce spécialiste, la première action à mener est d’informer les Français sur les risques d’accoutumance que peuvent engendrer ces médicaments. "Nous devons notamment mettre en garde contre l’utilisation de médicaments présents dans l’armoire familiale en automédication. Ou encore rappeler les facteurs favorisant une accoutumance comme l’anxiété, la dépression, l’addiction à d’autres substances dont les benzodiazépines", souligne-t-il.
Pour autant, il ne s’agit pas de limiter l’accès de ces médicaments aux patients douloureux mais de surveiller et d’accompagner d’éventuels mésusages. "Nous devons éviter de nous retrouver dans une problématique de crise, comme aux États-Unis. Il serait alors difficile de s’en sortir. Lorsque la crise est installée, cela signifie qu’il existe un réservoir important de patients dépendants. Et ces derniers ne vont pas disparaître sous prétexte que vous modifiez les conditions de prescription des médicaments", précise Nicolas Authier.
Et vous, quel traitement anti-douleurs prenez-vous ?
Le Figaro Santé