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Patients Maladie de Parkinson
L’hypothèse d’une maladie auto-immune?
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leparigo
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leparigo
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Dernière activité le 12/11/2024 à 14:29
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@Margarita_k . C'est à peut près cet article lu sur le site Canadien qui m'a fait prendre confiance dans ce qu'avait écrit les Docteurs Seignalet et Willem sur les causes possibles de la Parkinson entre autres. Je me suis lancé a fond dans de nombreuses lectures sur les causes de la perturbation de mes défenses immunitaires et comment les rétablir pour enrayer le processus morbide de la description en maladie auto-immune de la MP mais pas que: sclérose en plaque, diabète 1 , polyarthrite comme vous le rapportez.
C'est beaucoup de travail sur soi , volonté et une stimulation du bien et du mal pour l'organisme. Au début se priver d'un croissant (au beurre de chez un pâtissier) c'est 2 mn de bonheur gustatif pour 8 heures de mal être! Jusqu'à cet instant par ignorance je n'avais pas fait le rapprochement qu'un simple croissant (pas que lui) détériorait mon intestin qui laisserait passer des intrus(résidus de digestion mal métabolisé) donnant un fort travail supplémentaire à mon système immunitaire qui s'en trouverait débordé depuis des années jusqu'à passer la dernière barrière celle encéphalique, pour me causer les premiers symptômes de la maladie de Parkinson. Fort de cette constatation je réexplique:
Depuis j'ai réussi à stopper le processus. Mon témoignage n'est serte pas scientifique mais je peux vous confirmer que je me porte mieux qu'avant qu'on me découvre la MP il y a 6 années comme je l'ai déjà écris dans discussions divers du site Carenity.
Je profite ici pour envoyer un message aux mamans et papas le cocktail qui conduit au diabète 1 des jeunes enfants, c'est le verre de lait et le coca. (laitages en excès) Car les traces d'insuline encore présentes dans le lait de vache sont confondues avec sa propre insuline ( 3 acides aminés de différence, la structure de l'insuline lait de vache compte 51 acides aminés dont 48 sont identiques, si le système immunitaire identifie celui du bovin comme ennemi il y a fortes mal chance pour qu'il identifie l'insuline humain comme ennemi aussi ) le systèmes de défense qui lute contre l'intrus insuline de vache va finir par confondre l'insuline du pancréas de l'enfant ( grandes personne aussi) et s'attaquer aussi a ceux de son propre corps , d'où obligation des injections en permanence d'insuline .Cette démonstration est le mécanisme parfait pour la compréhension d'une maladie dite auto-immune c'est a dire l'immunitaire qui se retourne contre soi .
Je cite un très bon livre : VAINCRE LA SCLEROSE EN PLAQUE Emilie et Julien Venesson
Bien à vous, leparigo
Grand merci à Carenity et Magarita K de pouvoir s'informer et d' être informé simplement.
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Leparigo Delaciotat
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C’est un tout nouveau paradigme (ré)ouvert sur la maladie de Parkinson par ces chercheurs de l’Université de Montréal qui suggèrent que la mort des cellules neuronales dopaminergiques pourrait être causée par une hyperactivité du système immunitaire. Le décryptage de ce mécanisme, présenté dans la revue Cell, dont le rôle clé joué par 2 gènes déjà associés à la maladie de Parkinson, ici dans la régulation du système immunitaire, contribue à la preuve que le Parkinson est une maladie auto-immune. Des données qui ouvrent la possibilité de nouvelles thérapies ciblant ces protéines déficientes, à l'origine de ces réactions auto-immunes contre les neurones dopaminergiques.
Les scientifiques de l'Université de Montréal et de l'Université McGill, montrent en effet, in vitro et in vivo, que 2 gènes associés à la maladie de Parkinson jouent un rôle clé dans la régulation du système immunitaire. PINK1 et Parkin codent pour des protéines essentielles pour protéger les cellules des attaques du système immunitaire.
Des antigènes de PINK1 et Parkin mutés déclenchent une réaction auto-immune : lorsque ces protéines clés sont dysfonctionnelles, comme c'est le cas, expliquent les scientifiques chez certains patients atteints de la maladie de Parkinson, de petites parties de protéines ou « antigènes », provenant de mitochondries apparaissent à la surface des cellules et déclenchent l'activation des lymphocytes T, qui vont s’attaquer aux neurones producteurs de dopamine dans le cerveau. Un système immunitaire devenu hyperactif en raison de gènes PINK1 et Parkin dysfonctionnels pourrait expliquer la mort des neurones dopaminergiques chez les personnes atteintes.
Parkinson, une maladie auto-immune ?
Les chercheurs montrent ici sur des cultures cellulaires et chez un modèle murin de la maladie du Parkinson où PINK1 ou Parkin sont absents, que ces antigènes mitochondriaux entraînent bien cette attaque du système immunitaire contre les neurones dopaminergiques. Un processus d’auto-immunité similaire à celui de la sclérose en plaques, du diabète de type 1, de la polyarthrite rhumatoïde ou du lupus.
L’étude explique ainsi comment une attaque du système immunitaire peut entraîner la destruction de neurones dopaminergiques durant la maladie et ouvre ainsi une toute nouvelle voie d’étude de la maladie. En établissant ce lien entre 2 gènes clés déjà associés à Parkinson et ces mécanismes d'auto-immunité, les chercheurs vont pouvoir travailler à de nouveaux médicaments qui ciblent ces antigènes mitochondriaux responsables. Enfin, ces nouvelles thérapies fondées sur la modulation du système immunitaire, par le ciblage de ces antigènes mitochondriaux pourraient aussi s’avérer efficaces pour les autres maladies auto-immunes comme le diabète, pour lesquelles un lien avec des antigènes mitochondriaux a été également documenté.
Source : santélog.com