Votre découverte de la maladie

J'ai commencé par un fort absentéisme au lycée, ou quand j'y aller c'était entre deux bar ou deux soirées (je vous raconte pas l'état). J'étais tout le temps stone pour me donner du courage. Arrivé en BTS j'ai complètement craqué je ne suivait plus du tout, du coup démission. Et la grande dépression et ts, première hospitalisation de plus de 3 mois. Début de suivis en cmp mais je n'aimais pas l'infirmière qui me suivait du coup j'ai arrêté le suivis en 2009. Sa allais pas trop mal, puis j'ai recommencer a sortir a vivre a 100 à l'heure et à prendre beaucoup de risque( rencontre d'inconnu a l autre bout de la France) beaucoup de voyages j'ai même trompé mon copain de l'époque que j'aimais énormément. Puis tout c'est arrêté, .seconde ts par alcool et médicament seconde hospitalisation. La période qui a suivis est très flou mais j'ai étais hospitalisé a plusieurs reprise je retouché à la drogue et a l alcool et chez moi modération il existe pas. En tout cas je suis tombé sur la psy de ma première hospitalisation (mais deuxième hôpital j'avais demander a en changé) a poser le diagnostique très rapidement. Sans elle je ne sait pas ce que je serait devenu, je n'aime pas trop  y être hospitalisé parque c'est loin de chez moi mais au moins elle je l'estime, elle ma et m aide encore beaucoup.

Bonjour,

Mes troubles bipolaires ont été diagnostiqués 1 an environ après plusieurs tentatives de suicides. Changement d'humeur très fréquents, angoisse soudaine. Très nerveuse, débordant d'énergie et ensuite très mélancolique, dépressive et suicidaire...

Bonjour,

Petit nouveau sur ce forum,je semble enfin mettre des termes sur un comportement qui gâche ma vie depuis des années.J'ai d'abord été diagnostiqué phobique social et suis sous anti depresseurs depuis plus de 6 ans.Malgré cela mes phases maniaques ont été délirantes. J'avais l'impression d'être un phénix qui renaît toujours de ses cendres...Aujourd'hui je ne maitrise plus rien,je me sens lentement glisser et suis completement tétanisé.Je ne sais pas si je suis bipolaire mais je sais que ma vie est un enfer et que je ne fais plus face..Je me reconnais en tous cas dans beaucoup de vos témoignages....Merci pour l'écoute

Personnellement je ne suis pas encore diagnostiquée mais qqn de ma famille m'a mis sur la piste de cette maladie. Alors j'ai commencé à détecter mes comportements mes attitudes et ma vie depuis 10 ans que j'ai annalysé. toutes les erreurs que j'ai pu commettre. Je sais que mon père est bipolaire mais pas non plus diagnostiqué il est addict à l'alcool. Moi je suis fumeuse régulière. J'ai des troubles du comportement, je suis anxieuse. J'ai des périodes de fortes dépression et des moments où je ne fais rien... Je me sens parfois très fatiguée. Mon enfance a été dure. Mon parcours scolaire et professionnel sont chaotiques.

C'est récent donc tout est encore frais. Je me suis rendu compte que quelque chose n'allait pas, que j'étais en danger quand mon mental a commencé a me jouer des tours. J'étais en vacances à l'étranger et suite à des événements déclencheurs (tensions graves entre amies, montée de stress intenses) J'ai commencé à entrer dans une rage folle contre une amie que je n'arrivais plus à voir comme mon amie mais comme une personne qui me voulait du mal. Dans mon esprit c'était une bataille car j’essayais de toutes mes forces de me contrôler mais impossible, "quelque chose" en moi m'empêchait d'avoir les idées claires, petit à petit j'ai perdu le contrôle de mon esprit. Noter aussi que durant un mois, je ne dormais pas. En revenant, j'ai repris les études mais impossible de me concentrer, j'ai raté tous mes examens, je rentrais en phase dépressive et du jour au lendemain, le sol s'est dérobé sous mes pieds et l'Enfer est apparu avec tous les symptômes que l'on connait d'une dépression bipolaire et cette souffrance intenable, cette obscurité dévorante. Je me suis souvenue qu'à 19 ans, j'avais eu les mêmes symptômes intenses. J'ai demandé pour la première fois de l'aide médicale, cette fois-ci, il me fallait de l'aide pour surmonter ce "mal" et surtout savoir ce que c'était concrètement.

J'ai toujours agit, pensé, crée différemment des autres, ce qui m'a valut des problèmes avec mes petits camarades (on sait à quel point les enfants peuvent être cruels) donc, l'annonce d'une telle maladie ne m'a pas choquée et j'étais prête à cette éventualité. Au contraire, je cherchais à mettre un nom sur cette "chose" qui hante depuis des années mes textes, je voulais enfin donner un nom à cette "tempête" qui dévaste ma vie depuis mon adolescence. Ce que je redoute c'est le traitement et les conséquences sur mon esprit.

BONJOUR

Je suis revenue de la Réunion en 2005 . Et premier choc des problèmes de famille ,heureux de retrouver ma maman ,qui décédera six moi plus tard deuxième choc  ,puis troisième choc opération bénigne de la prostate . Mon coté bonheur affection très touché plus de courant  entre intestins et cerveau se fait une sorte de neu intestinal qui a ralentie mon transit et provoqué ma colopathie  

bonjour melancholila

je me reconnais dans ta description ce mal être cette parano que tous le monde nous veux du mal cette souffrance intérieure que personne n'arrive a comprendre pour ma part je ne prend aucun traitement juste un suivie psychiatrique mais parfois il y a des jours ou la moindre petite contrariété se transforme en ouragan ma vie personnelle est très mouvementé j'ai énormément de mal à avoir une vrai vie de couple mais j'ai 2 enfants formidable qui m'aide à affronté cette maladie dévastatrice. bon courage et surtout n'écoute pas cette maladie écoute toi à toi ton vrai toi

merci mistikelfe pour ces encouragements :) je prends un traitement mais je ne le suis pas vraiment comme il le faudrait, je redoute les effets sur mon corps et mon esprit. J'essaie surtout de me connaitre en tant que personne, apprendre à être vigilante avec mes humeurs...à vivre avec la maladie et non, contre. Mais malgré tout, je sais qu'elle peut être dévastatrice, je ne peux pas omettre ça.

salut melancholila

tu fais bien de vouloir vivre avec et non contre sinon c'est un combat ou tu seras perdante il faut arrivé a l'amadoué la dompté a montrer que tu reste le maître et non l'inverse. courage tu as des amis ici a qui tu peux tous dire le pire comme le meilleur on ne te jugera pas on te soutiendra le mieux que l'on peu

biz

une bipo déjanté 

Bjr à tous  vos témoignages  me rappellent bcp d événement hypomaniaque qui ont duré longtemps à cause des traitements on l est bcp moins depuis 8 mois je suis sous lithium et lacmital et seresta j aimerai savoir ce qui se passe lorsqu on est intolérant au lithium attentive aux médocs car leurs effets ont été destructeur pour moi dans le passe anxiolytique anti dépresseur neuroleptique etc s ils m ont apporté une façade de normalité j avais perdu la lucidité j étais la mais si passive à tout que rien ne me touchait tel un robot alors sur le plan sentimental c était n importe quoi je dis souvent que c était des colocs  je dis que je suis en phase de reveil

depuis 8 mois  maintenant c est différent je suis irritable agressive très triste à fleur de peau  j ai 50 ans  depuis 14 ans  c est la galere comme vous tous  la stabilité j ai du mal à la situer j ai aucun espoir enfin j accepte pas ou plus  enfin bonne journee