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- Plus de quatre ados sur dix sont en état de "souffrance psychologique"
Plus de quatre ados sur dix sont en état de "souffrance psychologique"
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
C'est pas nouveau , on connait ces soucis dans toutes les familles , mais que faire ? Le progrès diminue il nos jeunes ?
Il m'est arrivait de regarder a la tv des reportages sur les gens qui vivent un peu comme a la préhistoire , qui se nourrissent de ce que la nature leur offre , étrangement , les jeunes semblent pété le feu , alors qu'ils n'ont pas de confort et de médecine comme nous, y a t'il un enseignement a en tirer????
scoobidoo
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scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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Tout le monde met la pression sur les enfants, dès la maternelle il faut réussir. L'adolescence est une période difficile, l'environnement est angoissant, on ose à peine regarder ou écouter les infos.
Il n'y a rien de bien nouveau dans le résultat de cette enquête, je suis surprise que les réponses étonnent.
Pour que les jeunes se sentent mieux, il faut que les adultes se remettent en cause, il n'y a pas de risque !
Personnellement, je n'aimerais pas avoir 20 ans à cette époque ci.
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
verveine
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Dernière activité le 05/12/2019 à 17:32
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nos ado font partie de cette génération de divorcés où les parents sont souvent redevenus célibataires par la force des choses et un peu immatures, mais ce n'est pas toujours le cas, il y a des familles où les enfants et ado sont bien encadrés par des parents aimants. Avant, c était la guerre c était pire, à toute époque il y a eu des périodes mouvementées, à nous parents et grands-parents de les préparer à faire de bons choix...
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VERVEINE
Utilisateur désinscrit
et ça ne va pas aller en s'arrangeant, il suffit de voir le nombre de tentatives de suicides qui ont provoquées un handicap chez mes patients
Utilisateur désinscrit
A un moment donné , faudra bien que quelqu'un trouve quelque chose , pour inverser ça , qui ? Quand? Comment?
C'est pas gagné...
Utilisateur désinscrit
bonjour,
je suis de votre avis...et cette situation perdure...qu'avons nous à "offrir" comme avenir à cette tranche d'âge....
c'est vrai, à leur âge j'avais des projets..et je pensais au futur...
aujourd'hui...qui avec déjà tous les problèmes touchant les parents est capable de leur donner l'espoir...de reprendre une activité dans l'agriculture, une entreprise, un artisanat etc...
c'est mon avis personnel , mais je n'inciterai pas mes enfants à partir à l'étranger..non je ne suis pas une mère "poule" mais je crois encore aux valeurs à défendre dans notre pays.
nous assistons à un abbatage systématique de tous nos savoir-faire..alors que notre devoir est la transmission de ce savoir...
pourquoi (véridique!) avoir en face de soi un médecin étranger ne parlant pas du tout notre francais dans un service d'urgence de cardiologie ?? une fureur ce jour là...car mon père avait soit disant un problème "digestif"(pas s'en faire , normal..) alors que son coeur était en fibrillation !!
oui j'ai poussé un coup de gueule innoubliable ce soir là...et un interne est venu...pour constater avec un appareil d'électrocardiogramme que...il y avait urgence...
je pense que nous avons pour la plupart vécu ça...pourquoi s'en faire au mois d'aôut pour une personne âgée...
désolée, mocouk...j'ai "débordé" du sujet...
Utilisateur désinscrit
C'est fou ça , j'imagine combien vous deviez ètre en colère
Utilisateur désinscrit
Cela prouve que la Société dite-moderne en 2014 est destructrice. Comme Francine, je n'aimerai pas avoir 20 ans dans cette Société où tout va trop vite où personne ne s'arrête plus sur rien et où rien ne les intéresse.
Je rajouterai que dès la maternelle les enfants sont tenus par la main pour mettre un pied devant l'autre. Quand j'entends qu'il faudrait abolir les notes scolaires car cela est traumatisant...mais que voulez-vous qu'ils deviennent s'ils sont élevés dans un cocon ? la vie, ce sont aussi les mauvaises notes et il faut s'armer très jeunes pour les dépasser.
Utilisateur désinscrit
S'il y avait du travail pour tout le monde et si tout le monde avait de quoi se loger et se nourrir à peu près décemment, on n'en serait pas là. Donc... au stade où en est parvenus, on n'est pas sortis de l'auberge !
scoobidoo
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scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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Tout à fait d'accord avec toi. Quand je pense qu'on traite d'assistées les personnes à qui on verse le RSA faute d'être capables de leur donner du travail.
J'ai commencé à travailler tôt, quand j'en avais assez d'un patron ou d'un travail, j'en avais tout de suite un autre. OH, je ne gagnais pas énormément mais du travail, il y en avait partout. Il y en avait même pour ceux qui n'avaient pas beaucoup de capacités.
Maintenant, on demande à nos jeunes d'avoir un bac+3 minimum pour les payer au smic (dans les banques par exemple). Comment les motiver en classe avec ça ? Les parents qui voient tout ça les poussent au maximum, les enseignants qui ont peu de relations avec le monde du travail ne jurent que par le bac et la fac. Il y a de quoi leur faire peur à ces jeunes, non ?
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Pour la deuxième année consécutive, l'Unicef a mené une consultation auprès de 11 232 enfants et adolescents français de 6 à 18 ans. Ils ont été interrogés de mars à mai 2014 via un questionnaire sur internet. Cette enquête doit être remise aux secrétaires d'Etat à la Famille, Laurence Rossignol, et à la Lutte contre l'exclusion, Ségolène Neuville, mardi 23 septembre. Mais ses conclusions ont déjà été rendues publiques.
Cette étude confirme tout d'abord les résultats de la précédente : "17% environ des enfants et des adolescents peuvent être considérés en situation de privation en termes de niveau de vie". Mais elle met aussi en évidence "les formes de souffrance qui résultent, non pas d'une privation d'ordre matériel, mais d'une faiblesse de liens" avec l'entourage : la famille, les amis, l'école.
Plus d'un tiers des jeunes en "souffrance psychologique"
Quelque 40,4% des enfants et adolescents sondés disent se sentir "tristes ou cafardeux", 25,8% traversent des phases d'apathie et 30,2% perdent confiance en eux. A partir de ces proportions, les auteurs de l'enquête ont calculé un indice global de "souffrance psychologique".
Ils en concluent que "36% des jeunes ayant participé à la consultation peuvent être considérés comme en souffrance psychologique". Cette proportion atteint 43% chez les plus de 15 ans. Le fait d'être une fille, la peur de l'échec scolaire et le harcèlement sur les réseaux sociaux augmentent les risques d'être affecté.
Un ado sur dix a déjà tenté de se suicider
Chez les 12-18 ans, 28% disent qu'il leur est "arrivé de penser au suicide" et près de 11% confient avoir déjà tenté de se suicider, des résultats qui doivent cependant être analysés avec prudence, souligne l'enquête.
Un ado sur trois a déjà consommé de la drogue
La consommation de drogue et d'alcool augmente fortement avec l'âge : plus de 41% des plus de 15 ans disent boire de l'alcool et avoir déjà été en état d'ivresse, et près de 32% avoir déjà consommé de la drogue ou fumer du cannabis.
Des relations souvent tendues avec les parents
Quatre enfants ou adolescents sur dix disent avoir des relations parfois tendues avec leur père (41,4%) et avec leur mère (42,7%). Près d'un enfant ou adolescent sur deux (47,5%) vivant dans une famille monoparentale (en majorité des mères seules) rapportent des tensions avec leur mère. Ces tensions familiales croissent avec l'âge, le niveau de privation et l'insécurité du cadre de vie.
En outre, 11% des enfants et adolescents disent qu'ils ne peuvent pas compter sur leur père, et 4,2% sur leur mère. Ils sont près de 17% à ne pas se sentir valorisés par leur père, et 10% par leur mère. A chaque fois, ce sentiment concerne davantage les filles.
L'école, source d'angoisse pour près d'un jeune sur deux
L'école aussi est source de difficultés relationnelles et d'angoisse. Plus d'un tiers des enfants et adolescents (34,3%) dit avoir été harcelé ou ennuyé par des camarades, et près d'un quart (24%) s'y sent en insécurité par rapport à des adultes. Plus de 45% se disent vraiment angoissés de ne pas réussir assez bien à l'école, proportion qui augmente pour les enfants et adolescents défavorisés.
Source : France TV Info