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Les maladies mentales font peur aux Français
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
Il faut aussi prendre conscience qu'une personne psychiquement malade serait demandeuse de calme , hors notre sistéme actuel est tout autre , l'emploie , il est pratiquement impossible de le conserver , ensuite , il faut voir un grand nombre de médecins avant d'étre reconnus invalide , pendant ce temps les factures n'arretes pas de tomber , ce qui n'arrange en rien la maladie , l'isolement sociale , arrive trés vite aussi , quant enfin , vous arrivez au bout du bout , on vous propose l'établissement spécialisé, n'oublions pas qu'avant que tous cela vous arrive , vous étiez une personne dite "NORMAL" , vous entrez la dedans , dés votre arrivée , vous étes fouillé , pour votre sécurité , aprés , si vous avez une bonne complémentaire , vous avez une chambre ou vous étes seul , si non vous étes au moins deux par chambre. Dans ces chambre tout est fait pour que vous ne puissiez pas vous blesser , limite , si le lit n'est pas une simple planche , les fenétres sont verrouillées, pour vous empéchez de sortir , je ne vous dit pas , quand comme moi , on est clostrophobe , comme c'est agréable de savoir que si un incendie venait a se produire vous ne pourriez pas sortir , il n'y a pas de télé , bien oui , ce serait bien malheureux de pouvoir se changer les idées parfois , le programme est le suivant , la première semaine on vous laisse vous reposer , puis ensuite , progressivement vous devez suivre des activités encadrées plus ou moins ludique a fin de vous aider a vous resociabiliser , ces la que pour moi , le fin du fin , arrive , vous avez attrapé cette maladie , vos amis , votre famille , vos employeurs , vous on abandonné depuis des semaine voir des mois , fatalement , avec les autres patients des liens se crées , vous étes des adultes , vous avez vécus , ces liens parfois deviennent fort , mais il vous ait interdit d'avoir des relations intimes avec les autres , dans un centre hospitalier , ou vous venez pour subir des interventions , la chose se comprend , il faut une hygiène irréprochable , mais la , a quoi bon empécher ce qui est naturel dans la vie de tout a chacun , alors si vous devenez un peu trop intime, on vous donne plus de comprimés , au bout d'un temps , vous devenez un zombi , vous n'étes plus un danger , pour la socièté , ainsi vous pouvez rentrer chez vous , donc vous rentrez , mais le temps de votre absence , la terre a continuait de tourner, le cercle vicieux, reprend de plus belle , vous vous retrouvez a nouveau seul , addict de plus a des comprimés que vous ne consommiez pas avant , trés fatigué a devoir tous gérer et payer autour de vous , dans le meilleur des cas vous vous en sortez a peu pret , dans le pire , trois semaines plus tard , vous étes de retour dans le monastère que vous veniez de quitter , une souffrance presque sans fin , jamais personne pour vous tendre la main, ça peu faire peur aux gens "normal" pourtant , dieu sait qu'on auraient besoin d'eux dans ces moments difficile, a méditer avant de juger
Utilisateur désinscrit
Bonjour epeedargent,
Votre témoignage dans le détail est poignant. On fait de "bons petits soldats" avec plein de petits cachets pour que vous alliez soit-disant mieux. Cela commence souvent par la castration chimique. Le zombi arrive vite,une ombre que la Sté laisse tomber. Pourtant elle se défend "on fait ce qui est bien/mieux pour EUX". La solution est ailleurs .
Les psy défendent leur beeteack comme les autres. A les entendre ilsdétienent la Pensée Unique , votre sort dépend d'eux. Une fois dans "la case" aucun n'en ressort indemme mais dfférent oui. Ils répondront "c'est pour votre bien". Les fagiles d'un jour deviennent de véritables malades accro aux médicaments qui achèvent leur "oeuvre".
Je préfère nettement le mot "oeuvre" d'un Monet, Hugo, Verdi....
Bon courage.
Utilisateur désinscrit
Vous avez bien compris la chose , il nous lobotomisent sous prétexte de nous réhentégrer dans la socièté , mais , en faite , je ne me suis pas laissé faire , ça n'a pas fonctionné avec moi, oui , je disais en faite , avec leur comprimés , non seulement , comme vous l'avez si bien dit , il nous castres chimiquement , mais il font en sorte que nous revenions régulièrement redemander notre dose.
Ces aberrant qu'on laisse faire des choses pareil , alors qu'un peu de calme et beaucoup d'amour pourrait arranger bien des choses , oui les Français ont peur de ces maladies , oui les Français ont peur de ce qu'il ne connaissent pas , oui les Français ont peur de ce qu'ils ne veulent connaitre, OUI , c'est bien la le malheur , car beaucoup d'amour , pourrait remplacer sans peine beaucoup de comprimés , les gens sont vraiment con en faite!
chris94
chris94
Dernière activité le 01/12/2020 à 13:44
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Ami
Bonjour epeedargent, pas con mais égoïste, les gens ne sont pas solidaire, quelque soit le problème, ils ont peur d'affronter les choses, que ce soit la maladie ou gérer n'importe quel soucis qui ne concernent pas leur petit univers. Il ne faut pas déranger leurs petites habitudes et n'ont pas envie de se poser de questions sur les choses qu'il ne connaissent pas ! Je le voie tous les jours autour de moi, que ce soit la famille ou dans le travail. C'est malheureux car ces mêmes personnes auront un jour ou l'autre besoin des autres. Bonne journée et courage quand on veut on peut telle est ma devise maintenant.
Utilisateur désinscrit
Bonjour chris94 , ces tellement vrai ce que vous dite , je dois dire que pour ma part , j'ai été un peu victime de cette façon de penser , dans mon entreprise , j'étais délégué du personnel , président du CHSCT ,secouriste du travail , étant quelqu'un de très ouvert, je m'investissais a fond dans mes charges , j'en ai aidé du monde , c'était une fierté pour moi , mais en faite , je faisais mon travail , sans , je le reconnais , avoir de compation pour ceux que j'aidais , j'aimais juste faire du sociale , mais sorti de mon travail , je n'aimais pas voir des collègues venir , chez moi , pour me poser des questions ou me remercier , chaque chose avait sa place , mais comme je l'ai dit déja , je souffrais d'une maladie , que j'avais de plus en plus de mal a gérer , il y eut des décés , des divorces , dans mon proche entourage , puis les nuisibles aux travail qui faisaient tout pour m'empécher d'évoluer, je gardais tout pour moi , mais un jour, j'ai eu une forte crise anaphilactique , a mon travail , a cette époque , je ne savais pas que j'étais allergique , tout mon monde c'est écroulé , après j'ai eu un long parcour de soins , la je me suis aperçus, que mon comportement du passé avait été vraiment stupide , ces gens qui venaient chez moi , venaient chercher du réconfort , de l'aide , de la chaleur humaine , ce que je ne donnais jamais sortis de mes fonctions , je me croyais au dessus de tout ça , j'en ai fais les frais , ça peu arrivait a tout le monde , seulement , temps qu'on est pas touché , on ne veux pas le croire, oui moi meme , j'ai fais partis de ces Français qui ne veulent rien savoir sur ces maladies , j'ai moi aussi fais partie de ces stupides personnages
ptites35
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ptites35
Dernière activité le 10/01/2017 à 23:07
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Ami
la dépression fait peur aux français et je les comprends ! un jour je suis bien ,de bonne humeur ,gaie !et le lendemain je reste couchée ,je suis dans un autre monde ,triste et pleure pour un rien !si bien que l'entourage ni comprend rien ! alors je comprend que cette maladie fasse peur !!!!!!!!!!
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ptites
Utilisateur désinscrit
Bonjour à tous
Je confirme ce n'est pas de la peur, mais de l'égoïsme.. le reste prétexte pour se dédouaner moralement.. égoïsme et lâcheté..
de l'égoïsme non assumé donc avec plein de prétexte comme la peur etc.. en réalité égoïsme, lâcheté devant le fait d'assumer l'égoïsme, et donc hypocrisie avec les prétextes avancés comme la peur etc..
la peur ce bouc-émissaire, pour tourner les talons et le dos devant ce qui nous " emmerde " dans le fond..
voilà la petite réflexion du jour...
Bisous
Utilisateur désinscrit
chantre75, tellement vrai , "Tourner les talons et le dos devant ce qui nous emmerde" ces tellement bien exprimé
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Les maladies mentales, qui touchent une personne sur cinq à un moment de leur vie, restent très mal connues des Français, avec des craintes et des idées reçues persistantes, selon un sondage Ipsos rendu public mercredi. Malgré une petite évolution des perceptions depuis 2009, les peurs restent grandes : la moitié des personnes interrogées se déclarent a priori gênées de vivre sous le même toit, 35% de travailler et 30% de partager un repas avec une personne atteinte de troubles mentaux.
45% des personnes interrogées estiment également que les malades mentaux sont dangereux pour les autres tandis que 54% pensent qu'ils doivent être assistés dans leur vie de tous les jours. La méconnaissance des maladies concernées est aussi flagrante : plus de la moitié (56%) des personnes interrogées sont capables de citer la schizophrénie, 26% les troubles bipolaires et 18% la dépression, mais 46% confondent les maladies mentales avec des maladies neurologiques comme Alzheimer ou Parkinson. Certaines citent même la trisomie dans les maladies mentales.
Alors que plus d'un Français sur deux (58%) déclare être concerné par ces maladies, dont 13% personnellement (8 points de plus qu'en 2009), la très grande majorité d'entre eux ne se sent pas suffisamment informée. 9 sur 10 déclarent manquer d'informations sur la prévention des maladies mentales, 70% ne pas connaître les structures disponibles en cas de problème de santé mentale et plus de la moitié ne pas savoir quel professionnel de santé consulter. 78% sont mal ou pas informés sur les traitements existants.
Le sondage a été réalisé du 17 au 23 avril dernier auprès d'un échantillon représentatif de 1.002 Français âgés de plus de 18 ans pour le compte de la Fondation FondaMental et du groupe Klesia, un acteur majeur de la protection sociale.
Source : LeGénéraliste.fr