L'abus d'Ibuprofène accroît les risques cardiovasculaires
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Ami
Emmilia,
Je rejoins Majo dans son message ! Bon courage 
Belle soirée à vous deux 
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Ce qui serait utile ce serait d'interdire la publicité pour les médicaments, notamment génériques, qui laissent systématiquement à penser que prendre un cachet quand on a mal ici ou là est un geste anodin et sans danger aucun.
Prendre un médicament ne devrait jamais être présenté comme un geste banal ! 
Bonjour,
damedepic entièrement d'accord avec toi depuis quelques temps nous voyons des publicités sur les médicaments, les pub incitent les gens à acheter, donc pourquoi pas les médicaments et nous savons tous que l'abus de médicament est nocif pour la santé et que nous ne devons pas prendre n'importe quoi. Pourquoi pousser les gens à la consommation
.
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Julien
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Dans sa nouvelle évaluation, le Comité pour l'évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (PRAC) de l'agence souligne que l'augmentation du risque cardiovasculaire ne concerne que les patients prenant des doses d'ibuprofène supérieures à 2400 mg par jour alors que la dose habituelle chez l'adulte est entre 200 à 400 mg à chaque prise. Même pour les patients qui vont jusqu'à 1 200 mg, l'agence du médicament considère que le risque cardiovasculaire n'est pas augmenté.
A haute dose, l'ibuprofène provoque un risque cardiovasculaire comparable à celui de l'anti-douleur diclofénac (Voltarène et génériques) dont l'utilisation est déjà restreinte depuis 2013 chez les patients ayant certains problèmes cardiovasculaires. C'est pourquoi, il est demandé aux médecins de modifier les conseils d'utilisation. L'autorité demande aussi aux médecins d'évaluer «soigneusement» le risque cardiovasculaire d'un patient avant de prescrire de l'ibuprofène sur une longue durée et à des doses importantes.
Commercialisé depuis le début des années 1960 sous divers noms commerciaux comme l'Advil ou le Nurofen, ces médicaments sont en vente libre dans plusieurs européens dont la France. Toutefois, cette recommandation concerne seulement les traitements par voie orale mais pas les gels et les crèmes.
LeParisien.fr