- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forums généraux
- Revue de presse
- La France reste l’un des pays les plus consommateurs d’alcool au monde
La France reste l’un des pays les plus consommateurs d’alcool au monde
- 616 vues
- 0 soutien
- 60 commentaires
Tous les commentaires
Aller au dernier commentaire
BABARD
Bon conseiller
BABARD
Dernière activité le 23/11/2024 à 16:18
Inscrit en 2013
461 commentaires postés | 142 dans le groupe Revue de presse
4 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
les statistiques ne servent pas à grand chose .... individuellement ! Annoncer celles ci .... la nourriture jetée annuellement, la moyenne des salaires.... nombre de litres d'alcool, ou autres chiffres ... ? Chacun prend ce qui le concerne .... et oublie , comme il le fait après avoir lu son horoscope ! Aussi inutiles.... Mais pendant ce temps là, on nous fait oublier des INFOS que l'on ne veut pas nous voir lire .... ou apprendre ! Cherchez à QUI profitent toutes ces stupidités ...
Utilisateur désinscrit
Mouais.....les chiffres on en fait ce qu'on veut quand on escompte LE résultat. C'est selon et quel que soit le domaine. Au final, ces chiffres ne parlent pas, ils culpabilisent à l'occasion et une méthode qui fait ses preuves : pendant ce temps, les vrais faits sont ailleurs...
Serena
Utilisateur désinscrit
Pat, j'ai bien précisé que je dépasse la moyenne avec un seul verre par jour ouvrable et deux le dimanche... Pas plus !
Utilisateur désinscrit
Oui, Damedepic, et c'est bien la preuve qu'une grosse majorité de personnes ne "boit" presque pas puisque ceux qui "boivent" de façon raisonnable, comme toi, dépassent la moyenne. Ces chiffres, c'est vraiment du grand n'importe quoi...
Bon, j'avoue... je fais remonter la moyenne parce que je cuisine avec de l'alcool : bœuf bourguignon, poulet au riesling, steaks au cognac.... Hips !
Utilisateur désinscrit
Bin....je viens de finir une confiture antillaise de bananes....euh avec du rhum blanc 55°.
Je vais remonter la moyenne française avec cette cuillère à soupe.
L'hiver dernier j'ai essayé de la lotte flambée au whisky (j'avais rien d'autre sous la main) : un régal.
En septembre, je protège mes bronches avec du thym dans un litre de vin blanc bouilli : un ti verre tous les matins
Une fois par jour sur le visage, du romarin dans (encore) du vin blanc bouilli.
L'alcool toujours pour les autres, jamais pour moi. Quelle honte de se vanter ainsi. Pfffffff.........
Du coup, je signe pas ce post.
Utilisateur désinscrit
l"alcool délit les langues oui et fait dire et faire bien des betises.excusez moi mais je suis anti alcool.surtout les vins rouges
Utilisateur désinscrit
Moi aussi je suis anti-alcool. Et pour délier ma langue je n'ai nullement besoin d'alcool. Il y a bêtise et bêtise.
calou20
Bon conseiller
calou20
Dernière activité le 17/09/2024 à 23:14
Inscrit en 2013
54 commentaires postés | 7 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
Je ne connais pas bien les statistiques à ce sujet mais je ne crois pas que l'alcool soit la première cause de mortalité en France.
Pour ce qui est des manifestations, je suis atterrée de voir que certains descendent dans la rue pour des choses beaucoup moins "importantes" me semble t'il, que le calcul au cas par cas des prestations sociales, du renforcement des contrôles etc.. Là seraient les vraies économies.....
Utilisateur désinscrit
Une tite précision dans "mes abus d'alcool" : au-delà de 70° l'alcool s'évapore après 20 mn de cuisson.
Cela fait donc "encore" des stats faux sur la consommation d'alcool des français.
Serena
fadada
Bon conseiller
fadada
Dernière activité le 24/11/2024 à 20:38
Inscrit en 2014
2 275 commentaires postés | 108 dans le groupe Revue de presse
78 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Messager
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
bonjour
Je suis comme ANGELOT une petite coupe pour des bons évenements mais commela famille est grandes (9 enfants) se sont pas les événements qui manquent
A la votre
Bonne journée
Voir la signature
fadada
Donnez votre avis
Articles à découvrir...
23/11/2024 | Actualités
18/11/2024 | Actualités
Médicaments et libido : les traitements qui peuvent affecter votre désir sexuel ?
16/11/2024 | Actualités
Troubles de l’attachement : quelles conséquences sur nos relations interpersonnelles ?
08/11/2024 | Conseils
La procrastination : mauvaise habitude ou stratégie secrète pour prendre soin de soi ?
09/01/2019 | Nutrition
14/02/2019 | Conseils
La vie amoureuse à l’épreuve de la maladie : comment faire face ?
15/04/2019 | Conseils
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Julien
Bon conseiller
Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
Inscrit en 2012
10 075 commentaires postés | 815 dans le groupe Revue de presse
25 de ses réponses ont été utiles pour les membres
Récompenses
Bon conseiller
Contributeur
Messager
Engagé
Explorateur
Evaluateur
En dépit de quelques évolutions notables depuis les années cinquante, notamment une baisse régulière de la consommation de vin, la France reste l’un des pays les plus consommateurs d’alcool au monde quels que soient la source et l’indicateur utilisés. Ce sont les modes de consommation qui ont changé, au fil du temps, et selon les âges, laissant apparaître une nouvelle génération de consommateurs intermittents alcoolodépendants, en particulier chez les plus jeunes.
« Depuis1992, la part des buveurs quotidiens a été divisée par 2. En revanche, les ivresses répétées qui concernaient une part relativement stable de la population depuis 1992, autour de 6 %, se révèlent pour la première fois en hausse de même que les ivresses en cours d’année » expliquent François Beck de l’Observatoire des drogues et des toxicomanies, et Jean-Baptiste Richard, de l’Inpes, dans une récente mise au point consacrée à la consommation d’alcool en France, publiée dans la « Presse médicale »*. Les données présentées s’appuient sur la répétition d’enquêtes déclaratives transversales réalisées en population adulte ou adolescente**.
Le vin de qualité
Le vin reste l’alcool le plus prisé des Français (72,6 %) suivi des autres alcools, des alcools forts, et de la bière (51,5 %).
Pourtant la baisse de la consommation d’alcool en France, qui s’observe depuis les années soixante, lui est presque entièrement attribuable. Les vins de table sont en nette baisse, alors que les vins de qualité (AOC ou VDQS) sont en augmentation. Les hommes sont plus nombreux à boire de l’alcool quotidiennement (18,9 % versus 6,9 % des femmes) surtout chez les plus de 65 ans où près de la moitié de cette tranche d’âge est concernée
Alcoolisation ponctuelle importante : 1 jeune sur 2
En 2010, près d’une personne interrogée sur 35 déclarait avoir été ivre au cours des 12 derniers mois, plus souvent les hommes que les femmes, bien que l’on puisse noter un rapprochement des comportements entre les deux sexes. L’alcoolisation ponctuelle importante (API) concerne 36,4 % des 15 -85 ans mais est beaucoup plus fréquente parmi les jeunes de 20 à 25 ans puisqu’un jeune sur 2 a connu un tel épisode au cours de l’année, près d’un tiers tous les mois, et 1 sur 6 toutes les semaines.
La consommation des jeunes se distingue également par une hiérarchie différente des types de boissons consommées. Le vin, bien que présent, est nettement moins choisi que la bière, les alcools forts, ou autres types d’alcools comme les prémix. La consommation a surtout lieu le week-end, la plupart du temps dans un domicile privé, et un peu plus rarement dans les débits de boissons.
« La prévention de l’alcoolisation a évolué et le repérage se veut de plus en plus précoce, et ne se limite plus au dépistage de l’alcoolisme chronique. L’apparition de consommateurs intermittents alcoolo-dépendants pourraient également provoquer des changements en clinique alcoologique pour le repérage des consommations à risque, ainsi que des adaptations des stratégies thérapeutiques associées. L’objectif d’abstinence définitive, la nécessité d’une hospitalisation, ne sont en effet peut-être pas forcément les plus pertinents pour prendre en charge un mode intermittent d’alcoolisation » estiment François Beck et
Lequotidiendumédecin.fr