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Infections nosocomiales : les patients veulent être informés
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Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Lors d'une émission, des pratiques devenues courantes, question de budget. Les blocs opératoires ne sont plus désinfectés après chaque patient dans les "règles de l'art". Le second qui passe, récupère les bactéries int/ext du précédent....L'émission avançait 10 000 dècès par an dues aux maladies nosocomiales....
Les milieux hospitaliers distribuent une Charte à ce sujet, avec une note annuelle décernée par le Ministère de la Santé. C'est rassurant à priori. Y étant quelques jrs, j'étais dégoûtéee de constater du contraire :
- un chiffon est passé rapidement sur les toilettes, la table des repas, la rampe du lit, le balai-serpillière non-essoré l'eau stagne 2 H au risque de ressortir plâtré....
Comme le disait Francine, je refuse aussi les médicaments en vrac, ma pharma perso à portée de main et des produits appelés à me protéger d'une propagation potentielle de bactéries.
Une journée d'hosto coûte très chere, hygiène déficiente incompatible
Séréna
Utilisateur désinscrit
après deux année a subir maintes et maintes maladies, opérations du cœur,ver solitaire,perte de 20 kg ,AVC etc .......
mon père,avait repris son poids ,ses habitudes ,pèche,cartes avec ses amis ,conduire sa voiture etc ....et il est est DCD d un staphylocoque dore a l hôpital donc .....
no comment !
Chris31
Membre AmbassadeurBon conseiller
Chris31
Membre Ambassadeur
Dernière activité le 21/11/2024 à 16:23
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Coucou véro
Bcp à en dire sur les infections nosocomiales contractées à l'hôpital ... Le staphylocoque doré est un fléau ! Un de mes proches en a subi les affres durant quelque années avant de déceder (poumons)par sa faute... une de mes amies en a chopé un à la maternité et son bb n'a pas été épargné , Guillaume Depardieu mort jeune après amputation et d'horribles souffrances. ..
La liste est très très longue...
C'est une plaie et les chiffres ne parlent qu' à moitié... Les solutions ? Je suis pessimiste... surtout avec les systèmes de climatisation...
Le mieux est de moins séjourner à l'hôpital ou le - lgtps possible et comme le dit serena de se protéger avec des HE ou homéopathie...
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
Utilisateur désinscrit
merci chriss
une belle saloperie ce truc
matinclair
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matinclair
Dernière activité le 12/05/2022 à 10:37
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Coucou, moi mon mari a eu çà aussi pendant son séjour à l'hosto pour sa chimio !! il a dû passé une bonne semaine en chambre stérile et isolé !! quand je rentrais dans sa chambre pour le voir avant d'entrer je devais me mettre toute une panoplie blouse en papier, bonnet, pantoufle et des gants avec masque !! une horreur !! j'en ai un sacré souvenir de tout çà !! une vrai cochonnerie çà aussi et une vrai plaie !!
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matinclair
Utilisateur désinscrit
il me semblait que d'après des dires que cela ct amélioré.?BONNE JOURNée.
Utilisateur désinscrit
2011 il se promenait encore tranquillement dans les hôpitaux
Utilisateur désinscrit
c triste je compatis.
lilas blanc
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lilas blanc
Dernière activité le 11/01/2022 à 08:38
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Ami
Bonsoir.
A la suite de ma dernière opération de la colonne ,j'ai récolté une maladie nosocomiale ,six jours après l'intervention ,ils ont du me réopérer ,ensuite plus d'un mois en chambre stérile ,j'étais considéré comme une pestiféré ,on me passait mes repas par un sas ,couverts jetables ,enfin la totale .Ce qui m'a le plus choqué ,c'est le manque de respect du personnel ,aucune compréhension ni de soutien de la part de mon chirurgien ,pour moi celà a été l'incompréhension totale.
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
Inscrit en 2012
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L'association à l'origine des états généraux des infections nosocomiales et de la sécurité des patients préconise un "vrai programme de prévention".
En 2010, sur 11 millions de personnes hospitalisées, plus de 30 000 auraient été victimes d'un accident thérapeutique, et la moitié de ces tragédies aurait pu être évitée. Ces chiffres (malheureusement relativement peu récents) viennent d'être rappelés à la presse par Béatrice Cerreti et Claude Rambaud, respectivement présidente et vice-présidente du Lien, l'association à l'origine des états généraux des infections nosocomiales et de la sécurité des patients. Organisés tous les deux ans en France, ils sont destinés à faire le point sur les progrès en matière d'infections liées aux soins et aussi sur les insuffisances à combler. Les 5e états généraux vont se tenir à la Maison de la Cité internationale universitaire de Paris, le 5 février prochain, sur le thème : "Accidents médicaux, nous voulons savoir !"
"Nous avons pleinement conscience que rien ne se fait jamais d'un simple coup de baguette magique, mais nous sommes aussi intimement persuadés que, quand la volonté des pouvoirs publics et des professionnels de santé est là, de grandes avancées sont possibles", écrivent ces deux femmes dans l'introduction du dossier remis à la presse. "Et que cette volonté est souvent décuplée quand nous, associations de défense des patients, jouons pleinement notre rôle et maintenons notre vigilance sans faille."
Transparence
Béatrice Cerreti et Claude Rambaud listent d'abord ce qui a changé depuis deux ans. Elles se félicitent du lancement d'un programme national de sécurité des patients, même si la mise en oeuvre de certaines préconisations et mesures tarde. Elles prennent pour exemple la publication du décret sur la déclaration des "événements indésirables". Ces lenteurs leur font craindre que "les résistances des institutions de santé s'installent et qu'un vrai programme de prévention des accidents reste à l'état de papier". Elles souhaitent donc une prise de conscience des professionnels pour éviter que perdurent "les trop nombreuses et ignorées erreurs évitables".
Concernant "ce qui n'a pas changé", les deux femmes se déclarent toujours incapables de dire combien de patients décèdent ou restent invalides à la suite d'erreurs médicales évitables, qu'elles soient d'origine médicamenteuse, liées à des fautes de pratique ou d'origine nosocomiale. "Nous savons juste, grâce à de trop rares données, que ces erreurs seraient à l'origine de plus de 30 000 décès chaque année, sans compter les centaines de milliers de personnes qui conservent des séquelles à jamais." D'où leur demande d'une levée de l'opacité.
Elles justifient simplement cette nécessité de transparence en affirmant - à juste titre - que, pour mieux lutter, il faut connaître la réalité des choses. L'exemple de la sécurité routière est, à leurs yeux, particulièrement significatif : le nombre de décès sur les routes est passé de 16 000 en 1972 à moins de 4 000 en 2013, malgré l'augmentation du nombre de conducteurs. "Outre les vies volées, les vies brisées et les souffrances injustes, ce sont aussi des dizaines de milliards d'euros de dépenses de santé gaspillés, alors que dans le même temps nous apprenons que les ressources de santé ne seraient pas suffisantes pour garantir l'accès aux traitements pour tous." Il serait quand même surprenant (et désolant) que ce message ne soit pas entendu...
LePoint.fr