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Hôpital : un patient sur dix victime d'un évènement indésirable
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alyzée
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alyzée
Dernière activité le 14/05/2023 à 11:44
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tout à fait d'accord ..c'est pour celà que je fuis...tout ce qui est "médical" et "intrusif"...ce qui arrivera ...arrivera...si vous saviez tous les examens que j'ai refusé...et pourtant...je vous avais prescrit...ex : une arthroscopie...et sans me démonter vous aviez fait votre diagnostic Docteur...oui c'est vrai...et la capsulite rétractile est revenue à zéro avec patience...c'est à dire quelques mois (aidée par une kiné "manuelle"...)...une analyse de sang...pour moi une phobie...je me sens très très mal à chaque fois....pour des résultats sans interêts...oui je suis fibro et j'assume....mais je ne suis pas certes un exemple...
alyzée.
alyzée
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alyzée
Dernière activité le 14/05/2023 à 11:44
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belphégor...je te crois mais depuis ma fibro (et d'autres pépins...) je sais dire non...ce n'est pas facile car nous sommes impréssionnées par le "corps" médical...mais c'est de notre "corps" qu'il s'agit...et il est de notre droit de connaître ce que nous allons en faire...
j'ai confiance dans la meusure où l'on m'explique clairement...fini le temps des mandarins...et alors j'accepte évidemment....
alyzée
Utilisateur désinscrit
Tu as raison @scoobidoo , une bonne partie de la formation continue des médecins est assurée, en fait, par les laboratoires et le plus souvent dans des lieux sympas. Il faudrait quelque chose de plus objectif et c'est possible avec les moyens modernes.
scoobidoo
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scoobidoo
Dernière activité le 27/01/2024 à 01:45
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La formation devrait être obligatoire et dispensée par les facultés.
Francine
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La vie est belle si on ne lui demande pas plus que ce qu'elle peut donner.
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Entièrement d'accord avec toi @scoobidoo !!!
leparigo
Membre AmbassadeurBon conseiller
leparigo
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Dernière activité le 12/11/2024 à 14:29
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Ami
Me revoilou! et bonjour à tous.
Merci Damedepic , commentaires toujours aussi pertinents.
Si tout était consigné avec notre n° de sécu code d’accès confidentiel sur un serveur CPAM ou autre ,ordonnances , interventions ,soins ce qui devait être le carnet de santé tant décrié! Faut croire qu'on aime le bazar et l'embrouille!!!. Ah! le Japon , le bon repos pour les méninges avec la ZEN attitude.
leparigo
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Leparigo Delaciotat
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Quelqu'un qui sait fouiller sur Internet peut tout trouver de chaque personne. Nous avons seulement peur de servir sur un plateau, aux curieux indésirables, nos informations santés réunies en un seul lieu. Il faut se mettre en tête que dès qu'une information est en ligne un bon hacker peut la trouver et la lire. Je ne pense pas que les informations sur ma petite personne intéressent qui que ce soit. Je suis donc tout à fait favorable au carnet de santé à condition que les professionnels de santé apprennent à bien s'en servir !!!!
Utilisateur désinscrit
toutes les formations proposees ne le sont pas par les labos!nous recevons regulierment des propositions de la part de la fac de medecine de notre departement ainsi que des reunions d informations ds les hopitaux avec les specialistes!
qd a la liste des generiques,elle est simplement basee sur les noms chimiques des molecules,donc on ne peut les rendre plus claires!!et comme beaucoup d entre vous cherchez tout sur tout sur internet,vous pouvez en avoir la conversion en princeps!
en pharmacie,nous avons toujours utilise les noms chimiques,pour ma part ,deja pour faire toutes les preparations,mais cela fait partie de notre formation!
leparigo,maintenant,grace au DP pharmaceutique,toutes vos donnees se trouvent sur votre carte vitale!grace a elle on peut voir toutes les prescriptions que vous avez eu auparavent,meme ds d autres officines,et si cela est bien utilise,tous les autres produits achetes en officine,comme les produits conseils!!cela permet de surveiller les chevauchement et les traffics de certains traitements!et cela a ete mis en place par la cpam!
leparigo
Membre AmbassadeurBon conseiller
leparigo
Membre Ambassadeur
Dernière activité le 12/11/2024 à 14:29
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Ami
C est très bien Cathy il ne manque plus qu'a entrer le reste ,examens et les résultats, si on veut on peux!
Ce midi reportage sur la santé: patient entré aux urgences , résultat en surdose de médocs, 14 prescriptions chimiques !!! y a un problème de déontologie médicale§
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Leparigo Delaciotat
Utilisateur désinscrit
Dans la rubrique Revue de presse, je viens de mettre un brûlot sur la mafia du médicament. Bonne lecture !
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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En 2011, une enquête française a révélé qu’un événement indésirable grave associé aux soins surviendrait tous les 5 jours en établissement de santé (dans un service de trente lits). Un patient hospitalisé sur 10 en serait donc victime. « Des études peu nombreuses et non exhaustives », selon la Haute Autorité de Santé.
Alors, pour affiner ces résultats, la HAS a recueilli les données auprès des médecins accrédités concernant ces « Evénements Porteurs de Risque » (EPR). Il s'agit d’événements indésirables survenus en établissement de santé qui auraient pu porter préjudice au patient mais qui ont pu être évités par les soignants, des barrières de sécurité ayant fonctionné.
Parmi eux, on trouve l’erreur de médicament rattrapée avant son administration, l’erreur dans le dossier patient corrigée avant une intervention, ou encore le défaut de transmission d’une information qui retarde la mise en route d’un traitement. Dans un bilan publié ce mercredi, l’autorité publique indépendante dévoile les circonstances et les raisons de ces accidents potentiels.
27 % des EPR sont liés à un problème dans l’équipe
Parmi les 47 276 événements porteurs de risque (EPR) déclarés par les médecins accrédités et validés par les organismes agréés pour l’accréditation, la première cause identifiée est le dysfonctionnement lié à l’équipe (27 %), la plupart du temps à cause d'un problème de communication orale ou écrite entre les professionnels.
23 % des EPR sont liés à des dysfonctionnements dans les tâches à accomplir. On peut observer que dans plus d’un quart des cas (29 %) c’est l’indisponibilité, l’inadéquation ou la non-utilisation des protocoles qui est en cause.
Enfin, 15 % d’EPR seraient liés au patient, l’état de santé de celui-ci étant le principal facteur (plus de 43 % des cas), suivi de ses antécédents médicaux (21 %). Les problèmes de personnalités, les facteurs sociaux et familiaux représentent pour leur part 10 % des causes.
Face à ce constat, la HAS se mobilise pour réduire les risques associés aux soins et dévoile ce mercredi sa stratégie. Contactée par Pourquoidocteur, le Dr Laetitia May-Michelangeli, chef de service de la mission sécurité du patient à la Haute Autorité, confie que « pour parvenir à remplir cette mission, nous essayons de plus en plus d’agir sur les équipes de soins ».
Écoute, entraide... au menu des équipes
Plus concrètement, la HAS a lancé une expérimentation inédite sur le territoire dite « Pacte » (Programme d’Amélioration Continue du Travail en Equipe), pour aider les équipes pluri professionnelles à travailler sur les facteurs organisationnels et humains : l'écoute, l’entraide, la prise en compte du stress, la communication, etc.
Depuis 2013, dix-huit équipes ont déjà expérimenté la démarche. Avec des premiers résultats positifs à la clé.
En effet, après un an d’expérimentation, les équipes ont engagé des actions sur la gestion des risques, la communication et la synergie d’équipe (meilleure définition de l’alerte, amélioration du contenu des transmissions, mise en place de staff pluri-professionnel, …).
Ce programme entame maintenant une phase pilote plus large avec presque 70 équipes déjà volontaires. Il est également envisagé, à terme, de valoriser ces équipes au niveau de la certification des hôpitaux, qui est la labellisation qualité des établissement de santé. Un argument de plus pour pousser les hôpitaux à jouer le jeu.
Des programmes efficaces d'après la littérature
De plus, le programme PACTE intègre les outils pratiques élaborés ou adaptés par la HAS et destinés à aider les professionnels à mieux communiquer et travailler ensemble à chaque étape. Les équipes ont mis en place, par exemple, de façon systématique un briefing/débriefing avant de prendre en charge le patient. « Comme ça tout le monde est d’accord sur ce qu’il faut mettre en place et l’équipe se coordonne efficacement », indique le Dr May-Michelangeli.
De là à dire que la HAS a réduit les risques associés aux soins il n’y a qu’un pas... Un pas que l’on ne peut pas encore franchir d’après cette médecin pour qui cela prendra du temps. « On fera un premier un bilan dans 3-4 ans mais nous y croyons car la littérature scientifique et des expériences identiques menées à l'étranger nous montrent que cela marche. »
Le rôle actif ou passif du "patient-traceur"
Enfin, la HAS veut rappeler au patient qu'il est aussi un acteur à part entière de sa sécurité. « Il peut jouer un rôle actif en signalant lui-même des évènements indésirables », souligne le Dr May-Michelangeli. Mais le patient peut également jouer un rôle passif pour améliorer la qualité des soins, en entrant dans des dispositifs comme le "patient-traceur" , notamment.
Avec cette méthode, en pratique, lors de la visite des établissements par des experts visiteurs de la HAS, une partie de l’évaluation repose désormais sur des dossiers patients afin de vérifier à chaque étape si la prise en charge était adaptée. Au cours de cet examen, le ressenti des patients est directement recueilli. Et alors qu’une transposition à la ville est en cours d’expérimentation les premiers résultats bénéfiques de ce dispositif se font déjà sentir à l’hôpital.
Jean-François Bretagnon, cadre supérieur de santé à l'Hôpital Henri Laborit de Poitiers (86), explique ainsi qu’en étudiant tout le parcours de la prise en charge du patient, « les professionnels ont pu voir qu’il y a un certain nombre de risques possibles liés le plus souvent à des problèmes de communication ou de traçabilité. »
Ce cadre supérieur de santé conclut en rappelant l'enjeu de faire entrer davantage le patient dans le système de santé : « Des études ont montré que faire du patient, un partenaire actif de l'équipe médicale était une bonne chose. Lorsqu'on partage la gouvernance avec les usagers on est entre cinq et dix fois plus efficace que lorsqu'on ne la partage pas. Cela va aussi vers plus de démocratie sanitaire, et c'est bien ! »
Pourquoidocteur.fr