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Faut-il mettre un terme à la vaccination obligatoire ?
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
sujet qui mérite réflexion mais nous ne sommes pas apte à répondre à cette question je pense
tout du moins à décider si oui ou non les vaccins obligatoires doivent être supprimés.
mais le texte au dessus nous montre bien quand même qu'il y a un peu du n'importe quoi..et que c'est quand meme
notre santé qui est en jeu ..celle de nos enfants ..
Utilisateur désinscrit
pour mon compte ..j ai été vacciné en 1962 d un vaccin anti variolique(qui n existe plus ) je suis rester dans le coma plus de 4 mois et cela m a produit un infarctus du myocarde...j ai été contrôler pour mon invalidité on m a demander si mon carnet de vaccination était en règle ...eh bien non j ai arrêter les vaccins et j ai pas de carnet et je ne pense pas que l on doit nous y obligé il faut nous laisser libre de notre choix même si nous le recommande ...chaque personne doit décider ..de plus on sait pas réellement se qu'il y a dedans ...par contre j ai fais vacciner ma fille et a elle seule a le droit maintenant a savoir s'y elle continue ou pas pour se faire vacciner c est mon point de vu
Utilisateur désinscrit
Pour ma pars FINI .............................................................. sauf les rappels !!!
Utilisateur désinscrit
c'est vrai Julien, c'est un sujet d'actualité..qu'en ressortira t il ??
mon avis perso sur cette "soudaine" actualité est une affaire d'argent...
il y a des vaccinations qu'il ne faut pas rejeter d'emblée, mais y réfléchir ( épidémie réelle de méningites..)
voir ensuite le bénéfice / risques...(un tétanos est très difficile à soigner, donc des personnes à hauts risques doivent y réfléchir...)
l'obligation est par contre à revoir, celà est certain, surtout pour certains vaccins dont les pathologies peuvent être traitées positivement.
leur composition doit aussi être réexaminée...et nous sommes confrontés maintenant à d'autres virus dévastateurs....: actualité :
Le premier essai clinique d'un vaccin contre le virus Ebola a commencé aux Etats-Unis depuis le 2 septembre, sur dix volontaires. Et à ce jour, il n'a pas suscité de réactions néfastes. Le docteur Anthony Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), l'a indiqué mardi 16 septembre devant la commission des attributions budgétaires du Sénat américain.
Dans les prochains jours, dix autres volontaires recevront le vaccin. Au total, vingt personnes âgées de 20 à 50 ans et en bonne santé participeront à cet essai mené aux Instituts américains de la santé (NIH) près de la capitale américaine, Washington. En parallèle, une équipe de chercheurs d'Oxford, au Royaume-Uni, va mener un essai clinique de ce même vaccin sur 60 volontaires sains.
Il pourrait être disponible dès novembre pour les soignants
Les résultats complets de cet essai devraient être disponibles à la fin de l'année. Les chercheurs seront alors en mesure de déterminer si ce vaccin, qui ne contient que des matériaux génétiques du virus Ebola, peut déclencher une réaction du système immunitaire pour produire suffisamment d'anticorps permettant de se protéger contre cet agent pathogène, dont le taux de mortalité dépasse 50%.
Si après les tests en cours et à venir, "ce vaccin semble sûr, il pourrait être disponible dès novembre pour une utilisation prioritaire, sur les professionnels de la santé", avait récemment indiqué l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) à l'issue d'une réunion à Genève avec près de deux cents experts. Ce vaccin est développé par le laboratoire britannique GlaxoSmithKline depuis plusieurs années avec les NIH. Il a déjà donné de très bons résultats sur des singes...
et certes ces recherches ont un coût....
et la recherche sur la vaccination contre le SIDA avance aussi...que de ravages dûs au VIH...
certes, il ne faut pas faire ressurgir des pathologies endiguées, contenues et aussi sous contrôle.
pour ma part, je salue le dévouement de ces médecins volontaires (certes c'est leur choix, leur vocation...) et je leur rends hommage...(cf l'actualité.)
bravo à la recherche dans tous les domaines , dans tous les pays..et reconnaître leur travail est indispensable pour les encourager et les reconnaître...
un jour peut être...la fibromyalgie...
merci.
Utilisateur désinscrit
Tous les espoires sont ouvert , la vaccination a peut étre conduit parfois a des maladies , mais elle en a aussi fait disparaitre d'autre comme la Variole , mais rester vigilant me semble sage
gisela
Bon conseiller
gisela
Dernière activité le 14/01/2024 à 08:11
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il y a de cela quatre ans j ai fait vaccine ma fille contre le papillonavirus recommande par mon medecin apres la deuxieme injection elle a attrape des ganglions elle a ete opere d un cancer de l uterus maintenant les vaccins je m en mefie
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gislaine
Utilisateur désinscrit
ça se comprend
Utilisateur désinscrit
moi c’était pour l'hépatite B à l'époque (presque 12 ans )c’était fortement recommandé
alors j'ai fait vacciné tout mes enfants et ma petite dernière qui avait 8 mois est partie en convulsions dans les heures qui ont suivie
l'injection ..nous sommes restées plus de 4 heures en salle d'attente avec une moyenne de 40/41 de fièvre ...
de ce jour là j'ai maudit tout les vaccins ..
j'ai été aussi vacciné obligatoire en maison de retraite mais de ce jour eu que des soucis de santé alors ???
bref je sais bien que certains sauvent des vies mais d'autres la mette en danger
les vaccins ne sont pas personnels donc forcément nous réagissons tous différemment
Utilisateur désinscrit
gisela je te comprends tout à fait car je regrette les prises de position de certains médecins à ce sujet... je demande à ce que chacun soit informé sur le bénefice / risque des patients... pourquoi tant de vaccinations sur des nouveaux nés qui ne sont à aucuns risques ?? oui si grand papa est tuberculeux....oui si épidémie de méningites, oui si ma fille va voir son cheval tous les jours, oui si voyages à risques....
déjà nos vaccins sont trop dosés par rapport à d'autres pays... mais est t il facile de dire NON ? (sans culpabiliser ???)car nous voulons tous le meilleur pour nos enfants et nos proches . parfois ce non vient de nos doutes mais il faut oser !
ce n'est pas évident...juste un exemple qui peut paraître nul pour certains... un mois à avoir le nez qui coule, d'où léchages de sa truffe xxx fois par jour...rhume possible, épillet..sans autres manifestations peu probable..(silicea en échelle aurait dû faire sortir ce corps étranger...excellent pour les échardes, les arêtes....le véto : il faut examiner ses narines sous anesthésie générale ..oui combien...350 € !! là je me suis effondrée (piro + indigestion de gravillons+ vaccins...) je me suis vraiment effondrée et j'ai dit NON (antibio + cortisone à gogo...) j'arrête tout et je vais voir....
j'ai repris mon livre d'homéo , ma feuille de papier...étiologies possibles, signes actuels ( rhinite+peau avec larges squames, soif répétée, recherche de chaleur soleil..), caractère : subit et absorbe mon angoisse...(elle est tjrs avec moi)..je l'ai fait lire à fifille qui m'a dit c'est tout OK...surtout tes angoisses..
donc j'ai donné (elle adore) une dose d'arsenicum album15 ch ...le soir nettement mieux, le lendemain terminé...un bon nettoyage de peau et poils redevenus normaux et joie de vivre...conseil anexe: les enfants, vous la sortez le plus possible sans moi...
mon véto (qui ne demande qu'à connaître l'homéopathie...stupéfait !) ...(par contre cette thérapeutique peut être violente ...oui c'est pour celà que je ne la mets surtout pas dans les médecines dites douces..mal drainée, une dose d'hépar sulfur a "tué" une vache car l'infection n'a pu "sortir" et a foudroyé l'animal par une sépticémie...
je reconnais gisela que dire non c'est très difficile et il ne faut surtout pas culpabiliser...et j'espère que pour ta fille tout est redevenu dans la normalité.
ici je me permets de ressortir du sujet "des médecines douces" l'homéopathie, la phytothérapie, l'utilisation des huiles essentielles.
je vous répondrai volontiers sur ces thérapeutiques dans la limite de mes connaissances bien sûr et en toute humilité.
gisela
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gisela
Dernière activité le 14/01/2024 à 08:11
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un an apres j ai sut qu il y avait eu des problemes avec ce vaccin c est le gardasil
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gislaine
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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La politique vaccinale française n'est plus adaptée, juge un comité public d'experts.
La France et l'Italie sont les seuls pays de l'Union européenne à maintenir une obligation vaccinale pour les enfants. Dans l'Hexagone, cela concerne la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite. Malgré cette contrainte, le taux d'immunisation dans la population générale, tous vaccins confondus, n'est pas meilleur que dans les pays voisins. Un paradoxe qui ne date pas d'hier et qui a conduit le Haut Conseil de la santé publique (HCSP), comité d'experts au service des autorités sanitaires, à appeler mercredi à une remise à plat de la politique française dans ce domaine.
Rappelant, pour asseoir sa position dans un débat régulièrement ravivé, que la vaccination reste «l'action de santé publique la plus efficace» de l'Histoire puisqu'elle a permis des gains spectaculaires en espérance de vie, le HCSP pointe néanmoins plusieurs incohérences dans le système français. Ainsi, dans l'hypothèse où des parents souhaiteraient protéger leur enfant contre les seules maladies tombant sous l'obligation légale, il n'existe plus, aujourd'hui, de vaccins permettant de répondre à leur demande car les produits disponibles sont combinés avec d'autres vaccins non obligatoires (mais recommandés). «Cela met les vaccinateurs en difficulté vis-à-vis des parents», dénonce le Pr Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations, qui a rédigé le rapport.
Une décision politique
Par ailleurs, la liste des vaccins obligatoires n'a pas été revue depuis… 1964. «Certaines maladies pour lesquelles la vaccination est recommandée ont une mortalité comparable, voire plus importante, que celles des maladies pour lesquelles la vaccination est obligatoire», constate le HCSP. «Ainsi, l'hépatite B et les infections à papillomavirus humains (HPV) (vaccins recommandés, NDLR) sont respectivement responsables annuellement en France d'environ 1 300 décès par cirrhose ou cancer du foie pour le premier et, pour le second, de 1 000 décès par cancer du col de l'utérus.» On pourrait ajouter dans cette même catégorie la rougeole - la France sort d'une épidémie - la coqueluche ou la méningite.
«Nous ne prenons pas position en faveur ou contre l'obligation vaccinale, mais nous demandons à ce que le débat soit ouvert. Il s'agit d'une décision politique qui doit être prise en consultation avec la population civile», résume le Pr Floret.
À la Société française de pédiatrie (SFP), on soutient «à 100 %» la proposition du HCSP. «La politique actuelle est le fruit de l'histoire, et non pas de la gravité des maladies, explique le Dr Robert Cohen, vice-président de la SFP. Elle n'est plus tenable aujourd'hui.» Le Dr Cohen se dit pour sa part favorable à la fin de l'obligation, à condition qu'elle s'accompagne de politiques de promotion efficaces. «Si l'État recommande certains vaccins, il doit l'assumer et s'engager au travers de campagnes publiques de sensibilisation, estime-t-il. Mais on est loin du compte.»
«Indispensable» plutôt que «recommandé»
Responsable du centre de vaccination de l'hôpital d'instruction des armées Robert-Picqué à Bordeaux, et fondateur du site mesvaccins.net, le Pr Jean-Louis Koeck plaide également pour une révision de la pratique actuelle. «Aujourd'hui, l'obligation vaccinale est paradoxalement en train de devenir un obstacle à la bonne pratique vaccinale, affirme-t-il. En focalisant l'attention sur ces trois maladies, qui ne sont pas au cœur des inquiétudes en France, on perd des occasions de discuter des vrais problèmes, comme la rougeole ou le pneumocoque. On est à côté de la plaque.»
Il juge aussi l'enjeu de la communication crucial, à commencer par la sémantique: «Il faudrait faire passer l'idée qu'un vaccin “recommandé” est en réalité “indispensable”, à la différence de certains vaccins qui ne s'appliquent qu'à des situations et des vulnérabilités particulières - épidémies, population à risque…» L'éducation ne devra pas seulement cibler les citoyens, mais aussi les professionnels de santé. «Le message qu'ils doivent faire passer n'est plus si simple, car on ne vaccine plus tout le monde de la même manière. Mais c'est une chance pour le patient, car cela signifie que l'on tient de plus en plus compte du rapport bénéfice/risque individuel.»
Source : Le Figaro Santé