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Douleurs neuropathiques ou inflammatoires : les distinguer pour mieux les soulager
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Myéline Farmer
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Myéline Farmer
Dernière activité le 07/05/2021 à 14:42
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Dans la tombe !
Vivi974
Vivi974
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@Nusa01 bonjour,
cela fait un ans que je suis en arrêt, j’ai déjà eu 2 poussées je débute enfin mon traitement de fond, pas de reprise tant qu’ils ne savent pas ce que cela va donner dans le temps, de plus j’ai une névrite optique.
Bon courage à toi d’après les médecins mon poste doit être aménagé.
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Amourdom
12byron
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12byron
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je suis a la retraite, mais durant ma période d'activité j'ai eu de grandes périodes ou je souffrais beaucoup et donc me retrouvais en arrêt maladie
concernant les suppositoires, ils sont fabriqué par un labo( Welleda) avec une formule donné par ma toubib
il y a aussi les piqures a se faire soi même qui soulagent
je peux vous en parler si ça intéresse, parce que , devenir des machines de souffrance , pas marrant, parfois on est obligé d'avoir recours a la morphine
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12 Byron
docyle
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docyle
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Moi je suis a la retraite mais je crois que si je travaillais , je serais souvent en congés maladie .. Ce qui me dépasse , c est qu on ne sois pas plus avancer pour enrayer la douleur . Par contre , ils ont des médicaments non accessibles monétairement qui peuvent rendent certaines maladies tres vivable et tres peut de patients peuvent se les offrir ...... Ce qui est totalement ridicule et inhumain .... Difficile de comprendre leurs manieres de procéder .... on subit tout simplement .... Courage a tous ... C est ce qui nous reste essayons de le garder !!!
Danone 16
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Danone 16
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Je crois que c’est galère pour tous ... la médecine est devenue une machine infernale ... mais ce sont les patients qui paient la note .... salée ... à tous niveaux .... les hôpitaux , les médecins sont entrés dans un système où le fric est roi !! Alors , nous , nous sommes les grains de sable !!! C’est d’une tristesse !! Le soir , je me dis « un jour de passer « et le matin « que me réserve ce jour qui pointe son nez « ???? Et les surprises ne sont pas toujours bonnes ... il faut de la niaque , pour se battre et continuer la route de la vie !! Bonne journée à tous .
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danone16
espoir864
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espoir864
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Quand il y a eu des erreurs médicales qui vous ont amenés à souffrir, la rancœur s'ajoute. Et un jour, on se dit à quoi bon cette rancune qui au final ne fait qu'aggraver les douleurs. N'oublions pas que le mental a une grande importance. Il ne s'agit pas d'être positive à tout prix car la douleur devient encore plus forte. Il faut accepter cette douleur (pas la subir) et la prendre avec compassion comme une compagne de vie. C'est difficile mais cela fonctionne en s'entraînant peu à peu par la relaxation, la méditation en pleine conscience, etc... S'ouvrir au moment présent et prendre le bon quand il se présente en le savourant. Il suffit d'aller sur Youtube. Il y a bcp de vidéos. Bcp disent que c'est nul. Et pourtant c'est faux. N'en pouvant plus de douleur, je suis allée voir une psychologue. Cela m'a aidée de parler pour changer mon regard sur la douleur mais à un moment on a plus rien à dire. On enchaine par des séances de relaxation. Tout cela est payant. Non remboursable et c'est une honte car parler fait vraiment du bien. Mais voilà ! Un jour, je suis allée sur youtube et je suis tombée sur des vidéos où chaque phrase étaient les mêmes que celles que j'avais en séance. Je n'en revenais pas ! Depuis, je fais une séance par jour chez moi et cela aide vraiment. Oui ! La médecine ne nous écoute plus car à part les médicaments qui ont souvent des effets secondaires et/ou contraires, elle ne sait pas quoi faire pour apporter + de soulagement aux douleurs neuro. De plus, un médicament donné par erreur à provoqué chez moi depuis 3 ans ces douleurs ! Comment continuer a faire confiance. Je me prends par la main et je fais donc de la relaxation, etc... Les médecines douces devraient être remboursées par la sécurité sociale : acupuncture, sophrologie, microkynésithérapie, homéopathie, naturopathie. Elles ont une grande place dans ces douleurs ! Une honte de ne pas en tenir compte. À moins d'avoir les moyens financiers bien sûr !Bref. Il y a des solutions. J'aime votre dernière phrase Danone 16 : il faut de la nique et continuer à se battre. Et surtout, soyez entourés et si vous ne l'êtes pas, allez dans une association soit pour parler ou faire une activité. Bon courage à tous ! ❤
espoir864
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espoir864
Dernière activité le 15/09/2024 à 00:11
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Oups ! Excusez-moi Danone 16 ! Il faut de la niaque !" Mon portable change les mots de lui-même ! C'est un révolté ! Loool 😉
Danone 16
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Danone 16
Dernière activité le 23/11/2024 à 13:42
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Ami
Il n’y a pas que le téléphone qui est révolté !!! En effet les médicaments font souvent plus de mal que du bien ... et malheureusement tous les supports à base de plantes et autres ne sont pas remboursés ... alors , certains peuvent se l’offrir ... mais d’autres , non !!! L’injustice est partout !! Et nos médecins , lorsqu’ils sont présents ou disponibles pour nous , continuent à nous assommer de nouveaux médicaments avec des effets secondaires , ( qu’on oublie de nous dire) , alors je dis NON ... arrêtez de nous précipiter dans la tombe , avant l’heure ... il n’y a plus de dialogue, alors il reste quoi ???? Le mur .... et on y arrive tout doucement ... les hôpitaux sont malades , mais les médecins ont toujours leur salaire , alors mesdames et messieurs les toubibs ( bien payés !) respectez les patients et faites votre boulot ... il n’y a qu’a La télévision que l’on voit des médecins qui soignent la douleur !!! C’est plutôt triste 😔.. arrêtons de nous faire rêver ! Et réveillez vous les toubibs ... ( et encore j’ai des mots gentils) il est largement l’heure de faire intelligemment votre métier , et d’ecouter Les patients en souffrance .. pour le moment c’est devenu une honte !!! Bonne journée à tous .. une révoltée de ce qu’est devenue notre médecine actuelle !! 🤢
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danone16
12byron
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12byron
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Ami
la composition il faut une prescription d'un médecin
C202par Weleda
allium cepa D15
Aurum met D
Betula Alba D5
Cartilago D8
Formica rufa D15
Stannum D810
ca me soulage dans les grosses crises
et parfois des piqures
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12 Byron
Danone 16
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Danone 16
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Ami
C’est une préparation du pharmacien ! Sur ordonnance bien sûr ??? ( du généraliste)!
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danone16
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Louise
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Louise
Animatrice de communauté
Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
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Les douleurs neuropathiques sont provoquées par une atteinte des nerfs tandis que les douleurs inflammatoires, les plus fréquentes, sont dues à une lésion des tissus (piqûre, infection...).
Chacun d’entre nous l’a ressenti au moins un jour dans sa chair et son esprit : la douleur recouvre différentes sensations, les unes physiques, les autres mentales. En le formulant autrement, ressentir une douleur, "c’est avoir mal au corps, mais c’est aussi en souffrir émotionnellement", expliquait récemment Françoise Laroche, rhumatologue à l’hôpital Saint-Antoine (Paris).
Or, dans la composante du corps en souffrance, on distingue deux mécanismes : une lésion des chairs, et l’on parle alors d’une douleur inflammatoire, ou bien d’une atteinte des nerfs, ce qui vaut alors à la douleur d’être qualifiée de neuropathique. Les distinguer revêt une grande importance. Car l’une et l’autre douleurs ne répondent pas aux mêmes traitements.
La douleur inflammatoire
La première, de loin la plus fréquente, est désignée par les spécialistes sous le nom de "douleur nociceptive", du nom des récepteurs qui tapissent en densité variable la peau, les articulations, les muscles, les viscères. Un coup, un pincement, une piqûre, une morsure, le chaud et le froid, une substance toxique, l’inflammation induite par une infection… Tout cela va activer les récepteurs de la douleur, qui se présentent sous la forme de terminaisons nerveuses.
Bien sûr, ils ne réagissent que si la stimulation dépasse un certain seuil, et que l’intégrité des tissus qu’ils sont chargés de surveiller est menacée. Leur rôle consiste à en informer le cerveau : un signal d’alerte est ainsi transmis par les nerfs jusqu’aux différentes structures cérébrales chargées de le décrypter. S’ensuit alors une cascade de réactions corporelles et psychiques, et notamment, la libération d’endorphines, des hormones ayant le même effet que la morphine pour calmer la douleur.
Douleur neuropathique : privilégier les traitements locaux
C’est pourquoi la morphine est un médicament utilisé quand la douleur inflammatoire devient aiguë. Mais elle n’est pas d’une grande aide pour soulager l’autre douleur, la neuropathique. "Pour que la morphine soit efficace dans ces cas, il faudrait l’administrer à fortes doses, ce qui va de pair avec de nombreux effets secondaires, dont certains très dangereux, précise le Dr Didier Bouhassira, neurologue à l’hôpital Ambroise-Paré. L’aspirine et les anti-inflammatoires prescrits quand une douleur est inflammatoire n’auront guère d’effet si la douleur est neuropathique. Car elle n’est pas déclenchée par les mêmes mécanismes, puisqu’elle est issue de lésions nerveuses.
Comme l’explique le Pr Serge Perrot, rhumatologue et responsable du centre de la douleur de l’hôpital Cochin (Paris), la douleur neuropathique peut être établie "quand un nerf est abîmé par de la chirurgie, du zona, une amputation, une tumeur…". Que faire dans ces cas ? Il faut privilégier des traitements locaux avec des patches anesthésiques, ou de la capsaïcine, composant actif du piment, qui détruit les petits nerfs, ou encore des traitements électriques transcutanés.
Mais une douleur neuropathique peut également se révéler plus diffuse, lorsqu’elle provient d’une atteinte du système nerveux central, et il faut alors se tourner vers d’autres traitements : des antidépresseurs ou des antiépileptiques, même s’il n’y a ni dépression, ni épilepsie, pour moduler les voies de la douleur. Et de fait, souligne le Pr Perrot, "on n’aura recours à la morphine ou à ses dérivés qu’en troisième intention".
-> 7% de la population souffre de douleurs neuropathiques
Concrètement, la douleur neuropathique se manifeste de façon très différente de la nociceptive, ce qui facilite le diagnostic. Brûlures, décharges électriques, démangeaisons, picotements en sont la signature, souvent associés à d’autres symptômes, troubles du sommeil, fatigue, anxiété, dépression et hypersensibilité, ou, au contraire, hyposensibilité. Ces symptômes sont loin d’être rares, si l’on en croit les chiffres divulgués par le livre blanc de la douleur, que vient de publier la Société française d’études du traitement de la douleur (Sfetd). On y apprend que 7 % de la population se plaint de douleurs neuropathiques. Mais aussi que celles-ci concernent 3 à 10 % des malades traités pour un cancer, et qu’elles surviennent une fois sur deux après une intervention chirurgicale.
Le Figaro Santé