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Comment obtenir un prêt avec une maladie chronique?
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
@pinky_ merci ; mais aujourd'hui mes priorités sont ailleurs ! bonne chance dans votre recherche!
damien45
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damien45
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Obtenir un prêt bancaire en étant en ALD (maladie chronique) est un parcours du combattant.
Les conventions AERAS aident mais n'en font pas beaucoup plus et le prix de l'assurance est prohibitif. Car être malade et propriétaire en même temps,
Faut vous dire, Monsieur
Que chez ces gens-là
On ne pense pas, Monsieur
On ne pense pas, on prie
Tu travailles et tu gagnes correctement ta vie mais tu dois mener une bataille pour être propriétaire !!!!
Aujourd'hui, je passe par un contrat d'assurance ALLIANZ qui couvre mon prêt mais avec des conditions telles que j'épargne beaucoup d'argent pour rembourser mon prêt avant sa fin. Et pour épargner de l'argent et bien j'ai pris un autre travail.
Voilà les stratagèmes que le malade doit appliquer pour espérer vivre comme un sain ou tout du moins avoir les mêmes possibilités.
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Mon père, ma mère, mon frère et ma fille, o ho, ce n'est pas le bonheur
Louise
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@maya78 @Might62 @pinky_ @damien45 et tous nos autres lecteurs bonjour ! Je relance le sujet à l'occasion de deux points d'actualité :
- Le vote d'une loi améliorant la prise en charge des cancers pédiatriques mais ne permettant pas aux jeunes de 18 à 21 ans d'avoir un droit à l'oubli au bout de 5 ans (au lieu de 10)
- Le témoignage, paru sur le site de l'Obs, d'un jeune homme ayant souffert de deux cancers : "Le chirurgien stomatologue qui m'a opéré de mon cancer de la langue a pris les devants : 'Si vous voulez emprunter pour acheter un appartement, mentez à la banque, ne dites jamais que vous avez été malade'. Il est allé plus loin : "Tant que vous payez votre crédit et que vous vous taisez, tout ira bien. Mais si jamais vous rechutez, la banque peut s'intéresser à votre passé médical et exiger de moi la remise de votre dossier. Dans ce cas-là, je m'arrangerai personnellement pour le perdre. Je n'en ai conservé aucune version numérique.'"
Qu'en pensez-vous ?
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Louise de l'équipe Carenity
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malheureusement il a raison ce brave docteur ! et s'il arrive quelque chose soit on a pris les devants en désignant quelqu'un qui continuera à payer et héritera du bien ;soit on a personne et la banque reprendra le bien ! grand bien lui fasse on est plus là ! si vous le dites les banques resteront frileuses et (ou ) les assurances de prêts demanderont de telles mensualités que vous en serez dissuadé .
damien45
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damien45
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Un tel chirurgien est un exemple car en plus de soigner ce jeune homme et lui garantir une durée de vie supplémentaire, il y ajoute la liberté de continuer à vivre !!!!
Mentons et re-mentons au sujet de nos maladies. Si la banque demande : mentez, si un autre demande : mentez
J'ai fait l'expérience lors de l'achat de ma maison. Aujourd'hui, je maye une assurance supplémentaire hors de prix. Par conséquent, j'ai pris un deuxième travail pour économiser de l'argent et lorsque j'en aurais assez pour rembourser mon prêt et bien je serais libéré, délivré.
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Mon père, ma mère, mon frère et ma fille, o ho, ce n'est pas le bonheur
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@Louise-B bonjour
je reçois chaque matin une notification pour ce post pour de soi disant "nouveaux commentaires" !!! il n'y a rien depuis le 28 novembre ! il y a plus grave comme désagrément mais si vous pouviez regarder ce bug! cordialement
Louise
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@maya78 bonjour ! Merci pour votre message. Parlez-vous de la notification "cloche" sur le site ou d'un mail ? S'il s'agit d'un mail, y a-t-il d'autres discussions concernées, dans lesquelles il y aurait bien des nouveaux commentaires ? Aviez-vous bien vu le commentaire du 28/11 ? Peut-être que vous n'aviez pas ouvert la discussion depuis ? Désolée pour toutes ces questions, nous allons investiguer ! Belle journée à vous
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Louise de l'équipe Carenity
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@Louise-B bonjour
je parle de la cloche !que j'ai reçue encore ce matin !
Louise
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@maya78 normalement, en cliquant sur la cloche, vous arrivez sur un fil d'actualités. Certaines discussions (celles où il y a de nouveaux commentaires) ont un bouton "Nouveaux commentaires" au lieu du bouton habituel "Lire la suite" ! Le bouton pour cette discussion est-il bien "Lire la suite" ? Merci à vous !
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Louise de l'équipe Carenity
Utilisateur désinscrit
@Louise-B oui c'est bien écrit lire la suite .......mais il n"y a pas de suite
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Louise
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Louise
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Ami
Initialement, les maladies graves ou chroniques et de longue durée étaient un frein important pour l’obtention d’un prêt personnel, immobilier ou professionnel. Aujourd’hui, avec la convention AERAS, il est plus facile d’emprunter même en étant malade. Découverte.
Prêter de l’argent représente un risque pour les établissements financiers, qui cherchent à garantir le remboursement. Tout dépend du montant du crédit, mais il est bien souvent exigé la souscription d’une assurance emprunteur pour l’obtention du prêt.
Pour garantir le plus grand nombre d'emprunteurs, les assureurs mettent au point des contrats standards, en général bon marché, qui correspondent à un risque de santé moyen. Mais à la moindre pathologie déclarée, vous devenez une personne "à risques" ! Le dossier est alors examiné par le service médical spécialisé de l’assureur.
Trois niveaux de risques à l’obtention d’un prêt :
Quand la convention AERAS entre en jeu
Pour faciliter l’accès à l’assurance emprunteur et donc au crédit des personnes considérées comme "à risque", les assureurs, les banques, les pouvoirs publics… ont signé en 2007 la convention AERAS (s’Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé).
Cette convention permet à toute personne malade, handicapée ou anciennement malade, d’emprunter plus facilement, d’acheter, rénover un logement, agrandir son entreprise ou financer un bien de consommation grâce à un emprunt. Il ne s’agit pas pour autant d’un droit à l’assurance ou d’un droit au crédit, mais d’une tentative de trouver des solutions à des cas particuliers complexes.
Des conditions :
Une convention encadrée
Plus accessible : même si cette convention ne représente pas un droit à l’assurance, les dossiers pour garantir le prêt personnel ne sont plus rejetés automatiquement, mais examinés par un service médical spécialisé. Cela permet à plus de 95% des demandeurs d’obtenir leur assurance et ainsi leur crédit.
Plus rapide : la mise en place d’un prêt immobilier peut demander environ deux mois. L’ensemble des signataires de la convention AERAS (banques et assurances) se sont engagés sur des délais d’instruction, trois semaines pour l’assurance et deux semaines pour le prêt. Pour le respect des délais, le dossier devra être cependant complet avec tous les documents médicaux demandés par le médecin conseil de l’assureur.
Cependant : assurer un prêt qui représente un risque élevé peut amener une surprime, voire certaines exclusions au contrat selon les prestataires. Des écrêtements peuvent être proposés aux personnes dont le revenu est modeste et pour certaines pathologies (renseignements sur AerasInfos).
Questionnaire médical : soyez honnête
"Etes-vous fumeur ? Suivez-vous un traitement médical ? Avez-vous subi des opérations chirurgicales durant ces 10 dernières années ? Etes-vous atteint d’une pathologie chronique ?"… Le questionnaire médical de l’assureur est en général très complet et vous devez y répondre de manière précise et surtout sincère. Car celui-ci doit évaluer sa "prise de risques".
Ne mentez pas : si vous faites face à un problème médical important (accident, maladie…), le premier réflexe de l’assureur sera de reprendre votre dossier et d’enquêter pour savoir si vous avez réalisé une déclaration honnête.
Le gros risque : si vous avez "omis" délibérément ou par oubli de préciser une pathologie*, et que celle-ci déclenche des problèmes de santé récurrents des années plus tard jusqu’à entraîner un arrêt de travail sur le long terme ou une invalidité, vous risquez une rupture de contrat. Le remboursement du capital restant est dû et en cas de décès, il sera à la charge de vos héritiers.
* Depuis 2015, un droit à l’oubli a été instauré. Vous n’êtes plus tenu de déclarer un ancien cancer s’il a été diagnostiqué avant vos 18 ans et que le protocole thérapeutique est terminé depuis 5 ans, sans rechute, ou s’il a été diagnostiqué après vos 18 ans et que les soins se sont achevés depuis plus de 10 ans, sans rechute. Une grille de référence a été établie, listant 6 pathologies pour lequel le délai à partir duquel il n’y a pas de sur-risque est inférieur à 10 ans.
Source : E-Santé