- Accueil
- Échanger
- Forum
- Forum BPCO
- Recherche et liens utiles - BPCO
- BPCO - Affronter l'isolement et la dépression
Patients BPCO
BPCO - Affronter l'isolement et la dépression
- 117 262 vues
- 111 soutiens
- 250 commentaires
Tous les commentaires
Aller au dernier commentaire
Onixia
Bon conseiller
Onixia
Dernière activité le 23/08/2023 à 13:03
Inscrit en 2018
86 commentaires postés | 45 dans le forum BPCO
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Explorateur
-
Evaluateur
-
Ami
@mamauv Bravo Maria oui l'exercice physique est capital et je ne lâche rien non plus, alors bonne rééducation à vous.
Utilisateur désinscrit
merci beaucoup Onixia,
j'en suis à ma 7ème réhabilitation, bientot ils vont me laisser les clés de l'hôpital, je connais tout le monde et je suis reçue comme une princesse à chaque fois, ce qui fait qu'il y a moins de stress, et non je ne lache rien non plus. Et vous vous faites des rééducations ou pas ?
belle journée
maria
goldos8
Bon conseiller
goldos8
Dernière activité le 21/11/2024 à 14:18
Inscrit en 2018
61 commentaires postés | 27 dans le forum BPCO
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Explorateur
bonjour
comment vous faites pour avoir une place rapidement pour la réhabilitations. mon époux n'arrive jamais à aller a Taverny, seulement après une hospitalisation il y parvient.
Utilisateur désinscrit
@goldos8 bonjour
ce n'est jamais rapide ! demande faite en novembre pour une place en mai!!! moi je vais à la Rochelle mais je pense que c'est partout pareil!
Utilisateur désinscrit
bonjour @goldos8
je ne sais pas comment je fais, c'est mon pneumo qui décide, en tous cas je suis ravie d'y retourner à chaque fois, je pense que comme je suis suivie par un pneumo de l'hôpital c'est peut-être plus facile. J'avoue ne pas m'etre posé cette question avant. je connais d'autres personnes qui y vont aussi tous les ans, et ne sont pas suivies sur place d'ailleurs.
bonne journée à tous, aujourd'hui je me motive !!!!
marseille42
Bon conseiller
marseille42
Dernière activité le 21/03/2022 à 14:32
Inscrit en 2013
75 commentaires postés | 6 dans le forum BPCO
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
-
Bon conseiller
-
Contributeur
-
Engagé
-
Explorateur
-
Evaluateur
bonjour,depuis 1 mois mon prestataire a remplacer l(oxygene en bouteille par un boitier qui se recharge sur courant et allume cigare d'auto,quand ce boitier est charger il tient environ 5/6 h,et il me semble que ça simplifit un peut le quotidien,car en principe on a tous une prise de courant,moins de manipulation,de chargement,bien sur on espere aucune coupure de courant,je souhaite a tous qui on besion en continue d'essayer cette methode.
Murielle13
Murielle13
Dernière activité le 06/08/2024 à 10:38
Inscrit en 2017
4 commentaires postés | 2 dans le forum BPCO
Récompenses
-
Explorateur
Bonjour, c'est vrai que ce matériel libère de la hantise du remplissage de la bouteille mais il ne faut pas oublier que l'autonomie n'est pas très grande et qu'il est bon d'avoir une batterie de rechange lorsque l'on quitte son domicile.
Voir la signature
Murielle55
Utilisateur désinscrit
bonjour tout le monde j'entre timidement pour la première fois
je voulais savoir si qu'elqu'un a entendu parlé de vapeur thermique, pour soigner la bpco et l'emphyseme.
Utilisateur désinscrit
@Domi1952 oui mais c'est vraiment tout nouveau ! la sécu traine encore des pieds pour le remboursement des spirales. je vais au chu de nantes pour tests spirales le 2 mars .j'espère avoir d'autres renseignements sur cette nouvelle procédure thermique.
Utilisateur désinscrit
bonjour à tous,
@Domi1952 je ne c'est pas ce que c'est cette nouvelle procédure de vapeur thermique mais je vais essayé de me renseigner.
C'est intéressant de connaître les nouvelles techniques, ça nous donne un moment d'espoir ou on a l'impression qu'on s'occupe de nous.
belle journée à tous
maria
Donnez votre avis
Les membres participent aussi...
Articles à découvrir...
21/11/2024 | Conseils
27/09/2024 | Actualités
10/08/2024 | Conseils
BPCO et fortes chaleurs : quel impact ? Comment s'en protéger ?
13/05/2024 | Actualités
La réhabilitation respiratoire : mieux respirer sous prescription
15/11/2017 | Conseils
06/11/2018 | Témoignage
Comment réussir à arrêter de fumer et ainsi stabiliser sa BPCO ?
23/04/2018 | Témoignage
05/12/2019 | Témoignage
Médicaments, cures, sport : les traitements de l’emphysème et de la BPCO
Fiches médicaments - avis...
S'abonner
Vous souhaitez être alerté des nouveaux commentaires
Votre abonnement a bien été pris en compte
Louise
Animatrice de communautéBon conseiller
Louise
Animatrice de communauté
Dernière activité le 06/10/2020 à 12:05
Inscrit en 2017
1 216 commentaires postés | 7 dans le forum BPCO
1 de ses réponses a été utile pour les membres
Récompenses
Bon conseiller
Contributeur
Engagé
Explorateur
Evaluateur
Ami
Pour la Journée mondiale de la broncho-pneumopathie chronique obstructive, nous avons recueilli l’avis de nos membres touchés par le BPCO. Zoom sur cette pathologie invisible qui tue chaque année plus de 3 millions de personnes dans le monde.
C’est une maladie peu connue. D’ailleurs 83% de nos membres Carenity ignoraient tout de la BPCO avant leur diagnostic. C’est une maladie qu’on dit liée au tabagisme, et si 77% de nos sondés fumaient effectivement par le passé, les autres n’ont jamais touché une cigarette. C’est une maladie invisible qu’on a tendance à confondre avec l’asthme ou le stress alors qu’elle concerne 210 millions de personnes dans le monde et plus de 3.5 millions en France.
« Elle a pris ma liberté »
C’est surtout une maladie grave et invalidante. Une maladie qui isole. « Il n’y a plus de sens à ma vie », écrit un membre. « Je suis complètement isolé, je ne peux plus participer à la moindre activité. » Certains évoquent aussi pudiquement la disparition de la sexualité. Ou, plus simplement, l’arrêt total des activités sportives pour 36% d’entre eux.
« Ce n’est pas simple d’avoir une vie quand on est limité à trois heures d’autonomie », s’agace un membre. « L'oxygénothérapie est contraignante mais elle apport un confort très important au patient, tempère un autre. Comme une sécurité de survie et on peut vivre plus longtemps grâce à elle. » Mais selon les besoins en oxygène, le degré de complication augmente. Si certains membres n’ont besoin que d’un broncho-dilatateur dans la poche, d’autres doivent être branchés à leur « bonbonne » plus de quinze heures par jour.
Dès lors, il est difficile d’organiser une vie pratique. Et quand tout va bien, il faut encore affronter l’incompréhension des gens… « Lors d’une réunion de famille ou autre, j’ai vite besoin d’utiliser le nébuliseur (appareil permettant de transformer certains liquides en un nuage de particules extrêmement à froid, Nldr). Cela m’oblige à m’éloigner du groupe, qui ne comprend pas toujours ce qui m’arrive puisque j’allais bien en apparence quelques instants plus tôt. »
« Tout effort paraît insurmontable »
Avec le manque de mobilité, apparaît aussi l’angoisse de l’effort. « J’ai peur de la moindre cote... », « Cet essoufflement permanent me stresse. » Car tous redoutent la même chose : « J’ai peur d’avoir une crise d’insuffisance respiratoire. » Et 51% de nos sondés pointent du doigt les traitements « qui ne permettent pas de guérir » et la « recherche qui avance trop lentement » pour 31%. D’autres encore évoquent les conséquences néfastes de la BPCO sur « le sommeil, l’état cardiaque ou l’estomac à cause de la toux… » ou encore « l’eczéma et la dépression ».
Cette souffrance mentale touche d’ailleurs tous les états. « Je suis au stade 2, ma BPCO est donc invisible pour les autres mais j’ai peur de l’avenir », avoue une jeune femme de 35 ans lorsqu’une autre membre résume sombrement : « La dépendance à l’oxygène est un frein à toute évasion. J’ai 74 ans, je n’attends plus rien de la vie. »
Une maladie sous-diagnostiquée
Car les femmes sont de plus en plus touchées par la BPCO qui était, autrefois, considérée comme une maladie d’homme et d’ancien fumeur. Les femmes sont, en effet, biologiquement plus sensibles aux effets toxiques du tabac. Et cette vulnérabilité signifie qu’à nombre de cigarettes égal, elles ont tendance à développer une BPCO plus précocement et sous une forme plus sévère. « Le nombre de patientes augmente de manière constante de 1.7% par an depuis la fin des années 1970. En France, elles sont un million », souligne le Pr Chantal Raherison, présidente du groupe Femmes et poumon de la Société de pneumologie de langue française.
Pourtant, les femmes sont encore très largement sous-diagnostiquées. « Pour les dames, le médecin va plus spontanément penser à un asthme », regrette Emilie Zard, chef de clinique au Centre hospitalier de Créteil. « C’est une maladie qui a reçu moins d’attention que d’autres maladies majeures comme les maladies cardiovasculaires, le cancer ou le diabète », déplore le Pr Theo Vos qui a dirigé une étude sur l’évaluation de l’asthme et de la BPCO à l’Université de Washington.
93% de nos membres estiment en effet qu’il n’y a pas assez de prévention sur la BPCO.
-------------------------------------------------
Techniques de toux
Parmi les moyens de soulager les symptômes de la BPCO, 57% de nos membres ont suivi un Programme de réhabilité respiratoire, 24% suit un régime alimentaire et 21% pratiquent des techniques de toux comme la toux contrôlée :
1. Asseyez-vous dans une position confortable
2. Penchez légèrement la tête vers l’avant
3. Posez les deux pieds fermement dans le sol
4. Inspirez profondément par le nez
5. Toussez deux fois, la bouche légèrement entrouverte. La première fois pour faire décoller les sécrétions, la seconde pour faire monter les sécrétions dans votre gorge
6. Crachez les sécrétions dans un mouchoir
7. Faites une pause et répétez la toux une ou deux fois si cela n’a pas fonctionné.
* Chiffres Sondage Journée mondiale de la BPCO pour Carenity, novembre 2017.