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Je vous propose de poster ici de jolis textes
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
LE PETIT GARÇON ET LES BALLONS
Un petit noir regarde un marchand de ballons dans la rue. Ses yeux brillent. Il y a des ballons de toutes les couleurs, rouges, bleus, blancs, noirs, jaunes...
Le vieux monsieur qui vend les ballons voit le garçon qui
hésite, puis prend son courage à deux mains et s'approche de lui.
"Dis Monsieur, est-ce que les ballons noirs volent aussi haut
que les autres ?"
Le vieux Monsieur a presque la larme à l'oeil. Il prend le garçon
dans les bras, l'installe sur un muret et lui dit :
"Regarde"
Il lâche tous ses ballons qui s'envolent en grappe et montent,
montent, montent dans le ciel jusqu'à disparaître tous tellement
ils sont hauts.
"Tu as vu ?"
"Oui"
"Est-ce que les ballons noirs sont montés aussi haut que les
autres ?"
"Oui Monsieur"
"Tu vois, mon garçon, les ballons, c'est comme les hommes.
L'important ce n'est pas leur couleur, ce n'est pas l'extérieur.
Non, l'important, c'est CE QU'IL Y A EN EUX. C'est ce qu'il y a
en toi qui fera toute la différence dans ta vie."
Utilisateur désinscrit
http://www.onf.ca/film/un_dimanche_a_105_ans/embed/player
Documentaire hommage d'un arrière-petit-fils à son arrière-grand-mère. L'espace d'un dimanche, l'Acadienne centenaire se prête au jeu du cinéma. Filmée dans son quotidien, Aldéa aborde à sa façon des sujets universels. De la toilette du matin jusqu'au «petit coup» avalé d'un trait avant de se mettre au lit, chaque moment est ponctué d'une boutade inattendue ou d'une réflexion existentielle.
Utilisateur désinscrit
http://www.frizou.org/pensees/img/9.jpg
http://www.frizou.org/pensees/img/8.jpg
http://www.frizou.org/pensees/img/6.jpg
http://www.frizou.org/pensees/img/5.jpg
http://www.frizou.org/pensees/img/17.jpg
http://www.frizou.org/pensees/img/16.jpg
Utilisateur désinscrit
Bonheur où es tu ?
Par Charles-E. Plourde
Si tu ne trouves pas le bonheur
C'est peut-être que tu le cherches ailleurs
Ailleurs que dans tes souliers
Ailleurs que dans ton foyer
Selon toi, les autres sont plus heureux
Mais toi, tu ne vis pas chez-eux
Tu oublies que chacun a ses tracas
Tu n'aimerais sûrement pas mieux son cas
Comment peux-tu aimer la vie
Si ton coeur est plein d'envie
Si tu ne t'aimes pas
Si tu ne t'acceptes pas
Le plus grand obstacle au bonheur, sans doute
C'est de rêver du bonheur trop grand
Sachons cueillir le bonheur au compte-gouttes
Ce sont les gouttes qui font les océans.
Ne cherchons pas le bonheur dans nos souvenirs
Ne le cherchons pas non plus dans l'avenir
Cherchons le bonheur dans le présent
C'est là et là seulement qu'il nous attend
Le bonheur n'est pas un objet
Que l'on peut trouver quelque part hors de nous
Le bonheur c'est avant tout un projet
Qui part de nous et se réalise en nous
Il n'existe pas de marchand de bonheur
Il n'existe pas de machine à bonheur
Il existe des gens qui croient au bonheur
Ce sont des gens qui font eux-mêmes leur bonheur
Si dans votre miroir votre figure vous déplaît
A quoi ça sert de briser le miroir
Ce n'est pas lui qu'il faut casser
C'est vous qu'il faut changer !
Utilisateur désinscrit
http://www.onf.ca/film/ils_eurent_treize_enfants/embed/player
Documentaire sur une famille durement touchée par une grave maladie génétique, la phénylcétonurie (PCU). Huit des treize enfants de la famille Lirette souffraient de déficiences intellectuelles et physiques dues à cette maladie inconnue à l’époque de leur naissance. À l’aide de témoignages et d’images d’archives, Anika Lirette signe un portrait de famille touchant qui honore la mémoire de ses grands-parents.
Utilisateur désinscrit
Ce qu'un geste amical peut faire
Un jour, alors que j'étais en première année du secondaire,
j'ai vu un gars de ma classe marcher pour retourner chez lui après l'école.
Il s’appelait Maurice. Il semblait transporter tous, mais vraiment tous ses livres.
Je me suis dit : Qui peut bien ramener tous ses livres chez lui, un vendredi ?
Il doit être idiot !
J'avais un week-end très chargé avec mes amis.
Donc, je haussai les épaules et continuai mon chemin.
Tout en marchant, j'ai vu une bande de jeunes courir vers Maurice.
Ils l'ont rejoint, lui ont fait tomber tous ses livres.
Ils lui ont fait perdre l'équilibre et il est tombé dans la boue, perdant ses lunettes.
Ces dernières sont tombées à environ 3 mètres de lui.
Maurice s'est relevé tranquillement et j'ai pu voir la terrible tristesse dans ses yeux.
J'ai senti mon coeur se serrer et j'avais un noeud dans la gorge.
J’ai donc couru le rejoindre.
Il cherchait ses lunettes et j'ai vu une larme couler sur sa joue.
J'ai ramassé ses lunettes et lui ai dit :
Ces gars là sont vraiment des cons de la pire espèce.
Ils devraient être punis pour ce qu'ils ont fait.
Il m'a regardé et m'a dit : Ah, merci !
Il avait un large sourire sur les lèvres.
C'était un de ces sourires qui vous montrent de la gratitude sincère.
Je l'ai aidé à ramasser ses livres et je lui ai demandé où il habitait.
Je me suis rendu compte qu'on habitait dans la même rue.
Alors, je lui ai demandé pourquoi je ne l'avais jamais vu avant :
C'est parce qu'avant j'allais dans une école privée.
Auparavant, je n'aurais jamais accepté de me compromettre
avec quelqu'un qui fréquente l'école privée.
Nous avons discuté sur tout le chemin du retour à la maison
et j'ai transporté quelques uns de ses livres.
Je me suis rendu compte qu'il était vraiment gentil.
Je l'ai invité à venir jouer au foot avec mes amis le lendemain et il a accepté.
Nous avons donc passé le week-end ensemble.
Plus j'apprenais à le connaître,
plus je l'appréciais et mes amis aussi apprirent à l'aimer.
Le lundi matin, sur le chemin de l'école,
j'ai aperçu Maurice, encore une fois avec tous ses livres en main.
Je l'ai rejoint et lui ai demandé :
Wow, tu vas te faire des super muscles
à transporter tous tes livres comme ça chaque jour !
Il m'a souri et m'a donné la moitié de ses livres.
Maurice et moi sommes devenu les meilleurs amis du monde.
Quelques années plus tard,
nous avions terminé le secondaire et on planifiait nos études universitaires.
Maurice, le plus fort de la classe,
se dirigeait pour des études de médecine et moi, pour du sport-étude en football.
Il était un de ceux qui s'étaient trouvés et affirmés pendant le secondaire.
Il avait pris sa place et paraissait très bien.
Il avait maintenant plus de rendez-vous que moi avec les filles.
Elles l'aimaient et j’étais un peu jaloux !
Avant de se quitter,
nous nous sommes tous retrouvés, élèves, enseignants et parents.
Il avait préparé un petit discours mais il en était très nerveux.
Je lui ai donné une tape d'encouragement dans le dos et lui ai dit :
Hé, le grand, tu vas être parfait !
Il m'a regardé et m'a lancé un de ces regards (vraiment sincère) et m'a dit : Merci !
Il a commencé son discours,
s'est arrêté pour éclaircir la voix puis a lancé :
C'est un moment qui se prête bien
pour remercier ceux qui vous ont aidé à passer au travers des moments difficiles :
parents, professeurs etc... et plus particulièrement les amis.
Je suis ici pour vous dire qu’être l'ami de quelqu'un,
c'est lui donner le plus beau des cadeaux.
Je vais vous raconter une histoire à ce sujet.
J'ai regardé Maurice avec stupéfaction
lorsqu'il raconta la première journée où on s'était connu.
Il avait planifié de se suicider ce week-end là.
Il raconta qu'il avait vidé son casier pour éviter à sa mère d'avoir à le faire.
Il m'a regardé droit dans les yeux et m'a souri :Merci de m'avoir sauvé !
Mon ami m'a protégé et empêché de faire une énorme bêtise !
Tout le monde est resté bouche bée lorsque Maurice,
le gars le plus beau et le plus populaire de l'école,
a raconté ses souvenirs les plus tristes.
J'ai aperçu ses parents en train de me regarder
avec ce même sourire de gratitude que Maurice avait.
C'est à ce moment que j'ai réalisé toute la tristesse
qu'il avait ce jour où l'on s'était rencontré.
Ce n'était pas seulement à cause des jeunes voyous.
Ne sous-estimez jamais le pouvoir de vos actions.
Avec un petit geste, vous pouvez changer l'existence de quelqu'un,
pour le meilleur ou pour le pire.
Les ami(e)s sont des anges qui nous remettent sur nos pieds
lorsque nos ailes ont de la peine à se souvenir comment voler.
Anonyme
Utilisateur désinscrit
http://anouslesamies.a.n.pic.centerblog.net/t5ytdghj.jpg
Poème
Ne soyez pas trompé par mon visage parce que je porte mille masques
Et aucun n'est mon vrai moi.
N'en soyez pas trompé, au nom de Dieu, je vous en prie.
Je vous donne l'impression d'être sûr de moi,
Plein de confiance et de tranquillité,
Que je n'ai besoin de personne : Ne me croyez pas.
Sous ce masque, il y a le vrai moi, confus, craintif, isolé.
C'est pour cela que je me crée un masque, pour me cacher,
Pour me protéger du regard qui voit.
Et pourtant ce regard est précisément mon salut.
A condition que je l'accepte, s'il contient de l'amour,
C'est la seule chose qui peut me libérer
Des murs de la prison que j'ai moi-même élevés.
J'ai peur de ne valoir rien, de n'être bon à rien,
Et que vous le verrez et me rejetterez.
Alors, commence la parade des masques.
Je bavarde avec vous,
Je vous dis tout ce qui n'est rien,
Et rien de ce qui m'est tout et qui pleure en moi.
S'il vous plaît, écoutez soigneusement et essayez d'entendre ce que je ne dis pas.
J'ai vraiment envie d'être sincère, vrai, spontané, d'être moi-même.
Mais il faut que vous m'aidiez. Il faut que vous me tendiez la main.
Chaque fois que vous êtes bienveillant, doux et encourageant,
Chaque fois que vous vous efforcez de comprendre par véritable intérêt pour moi,
Mon coeur a des ailes, des ailes très faibles, mais enfin des ailes.
Par votre sensitivité, votre sympathie, votre puissance de compréhension
Vous seul pouvez me libérer de l'ombre de mon incertitude,
De ma prison solitaire.
Ce n'est pas facile pour vous,
Car plus vous m'approchez, plus je me défends.
Mais on me dit que l'amour est plus fort que les murs des prisons
C'est en ceci qu'est mon espoir, mon seul espoir.
Essayez, je vous en prie de faire tomber ces murs d'une main ferme
Mais douce, car un enfant est sensible.
Qui suis-je, vous demandez-vous ?
Je suis quelqu'un que vous connaissez très bien.
Car je suis chaque homme, je suis chaque femme que vous rencontrez,
Et je suis aussi VOUS-MEME.
Anonyme
Utilisateur désinscrit
Du surf comme si vous étiez au milieu des vagues, génial!
Une fois la video lancée, clic droit sur la video et choisir Toogle Fullscreen et vous êtes en plein écran
Régalez-vous!
http://www.tubewatcher.tv/8278
Utilisateur désinscrit
Faites le tour du Monde
Cliquer sur le drapeau de votre choix
pour découvrir des lieux enchanteurs.
http://www.alovelyworld.com/index2.html
Bon voyage !!
Utilisateur désinscrit
C'est le printemps alors je vous propose un superbe poème..Bonne lecture, bisousssssssssssss
Le printemps
Les bourgeons verts, les bourgeons blancs
Percent déjà le bout des branches,
Et, près des ruisseaux, des étangs
Aux bords parsemés de pervenches,
Teintent les arbustes tremblants ;
Les bourgeons blancs, les bourgeons roses,
Sur les buissons, les espaliers,
Vont se changer en fleurs écloses ;
Et les oiseaux, dans les halliers,
Entre eux déjà parlent de roses ;
Les bourgeons verts, les bourgeons gris,
Reluisant de gomme et de sève
Recouvrent l’écorce qui crève
Le long des rameaux amoindris ;
Les bourgeons blancs, les bourgeons rouges,
Sèment l’éveil universel,
Depuis les cours noires des bouges
Jusqu’au pur sommet sur lequel,
O neige éclatante, tu bouges ;
Bourgeons laiteux des marronniers,
Bourgeons de bronze des vieux chênes,
Bourgeons mauves des amandiers,
Bourgeons glauques des jeunes frênes,
Bourgeons cramoisis des pommiers,
Bourgeons d’ambre pâle du saule,
Leur frisson se propage et court,
A travers tout, vers le froid pôle,
Et grandissant avec le jour
Qui lentement sort de sa geôle,
Jette sur le bois, le pré,
Le mont, le val, les champs , les sables,
Son immense réseau tout prêt
A s’ouvrir en fleurs innombrables
Sur le monde transfiguré.
Auguste Angellier ("Le chemin des Saisons")
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Utilisateur désinscrit
Les couleurs du Monde!
Un jour, les couleurs du monde ont commencé à se quereller…
Chacune disait qu’elle était la plus belle…
la plus importante… la plus utile… la favorite!
Vert dit :
Je suis définitivement la plus importante.
Je suis le signe de la vie et de l’espoir.
J’ai été choisie par les champs, les arbres et les feuilles.
Sans moi, les animaux ne vivraient pas.
Regardez un pré de montagne et vous constaterez que je suis majoritaire.
Bleu l’interrompt :
Tu ne penses qu’en fonction de la terre,
mais considère le ciel et la mer.
C’est l’eau qui est la base de la vie.
Le ciel offre l’espace, la paix et la sérénité.
Jaune riait sous sa cape :
Vous êtes tellement sérieuses, vous autres !
Moi, j’apporte le rire, la gaieté, la chaleur dans le monde.
Le soleil est jaune, et plusieurs étoiles aussi.
Chaque fois que vous regardez un tournesol, le monde entier se met à rire.
Sans moi, il n’y aurait pas de plaisir.
Orange n’est pas d’accord :
Je suis la santé et la force.
Je suis précieuse parce que j’apporte de la vie à l’humanité.
Je transporte les plus importantes vitamines.
Pensez aux carottes, citrouilles, oranges, mangues et papayes.
Je ne suis pas toujours là à l’année, mais, quand j’éclaire le ciel à mon lever
et à mon coucher, ma beauté est telle que personne ne pense à aucun d’entre vous.
Rouge ne peut s’empêcher de crier :
Je suis la vie de chacun de vous.
Je suis le sang… le sang de votre vie.
Je suis la couleur du danger ou de la bravoure.
Je suis toujours prête à me battre pour une bonne cause.
Je suis la couleur de la passion et de l’amour.
Violet se lève de toute sa grandeur.
Elle est très grande, et dit avec grande pompe :
Je suis la couleur royale, la couleur du pouvoir.
Les rois, les chefs et les archevêques m’ont toujours choisie
parce que je suis le signe de l’autorité et du pouvoir.
Les gens ne me questionnent jamais ! Ils écoutent et obéissent.
Indigo se lève à son tour :
Pensez à moi. Je suis la couleur du silence.
Vous ne me remarquez pas mais sans moi, vous deviendrez superficielles.
Je représente la pensée et la réflexion, la nuit et les eaux profondes.
Vous avez besoin de moi pour votre équilibre.
Et toutes ces couleurs sont parties, chacune convaincue de leur unique supériorité.
Leur querelle est devenue de plus en plus importante avec les jours.
Soudainement, un éclair apparut et un bruit de roulement tonnerre se fit entendre.
La pluie se mit à tomber. Les couleurs ayant très peur se sont toutes rapprochées
les unes des autres pour se réconforter.
Au milieu de la clameur…
Pluie est apparue :
Vous autres, stupides couleurs, vous disputant,
chacune essayant de dominer l’autre…
ne savez-vous donc pas que vous êtes toutes faites
pour un besoin unique et spécial ?
Joignez-vous et venez à moi.
Faisant ce qu’on leur demandait, les couleurs se sont réunies.
Pluie a continué à parler :
À partir de maintenant, quand il pleuvra,
chacune de vous s’étirera dans le ciel en une demi-boucle
pour vous rappeler que vous pouvez vivre dans la paix.
Cet arc-en-ciel sera un signe d’espoir pour demain.
Et, quand une grosse pluie lavera le monde,
et qu’ensuite l’arc-en-ciel apparaîtra dans le ciel,
souvenez-vous de vous apprécier l’une et l’autre.
L’amitié est comme un arc-en-ciel.
Rouge est comme une pomme, tendre jusqu’au noyau.
Orange, comme une flamme qui ne s’éteint pas.
Jaune, comme le soleil qui éclaire votre journée.
Vert, comme les plantes qui ne cessent de grandir.
Bleu, comme l’eau si pure.
Violet, comme une fleur prête à éclore.
Indigo, comme un rêve qui meuble votre cœur.