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Je vous propose de poster ici de jolis textes
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Aller au dernier commentaireUtilisateur désinscrit
LE MUR
Deux hommes, tous les deux gravement malades, occupaient la même chambre d'hôpital.
L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons, son lit était à coté de la seule fenêtre de la chambre.
L'autre devait passer ses journées couché sur le dos. Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et de leurs familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits ou ils avaient été en vacances.
Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors.
L'homme dans l'autre lit commença à vivre pendant ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur.
De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac, les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs
bateaux en modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel, de grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner
Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre coté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.
Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par-là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante.
Les jours et les semaines passèrent.
Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil.
Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps.
Dès qu'il sentit que le moment était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à coté de la fenêtre.
L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort,
puis elle le laissa seul.
Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors.
Enfin, il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit.
Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.
Or, tout ce qu'il vit, fut un mur !
L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité.
L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur.
Peut-être a-t-il seulement voulu vous encourager, commenta-t-elle.
Epilogue :
Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves.
La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé.
Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.
Aujourd'hui est un cadeau, c'est pourquoi on l'appelle présent.
Utilisateur désinscrit
SUGGESTION DE BONHEUR
Par: Soleil xxx
Vous voulez faire aujourd'hui quelque chose qui ne coûte pas cher et qui risque de s'avérer extraordinaire pour vous ?
Voici une suggestion.
Essayez de passer votre journée dans la joie d'être, en visualisant ce que veut dire le verbe « ÊTRE ». Faites de cette journée la journée « Zéro » de votre vie. Et promettez-vous de vivre toutes les autres avec la même conscience. Sentez-vous bien dans tout ce que vous exécutez : que ce soit la vaisselle, le marché, le travail au bureau, la préparation d'un repas, etc.
J'ai fait cet exercice pour découvrir que le mot « ÊTRE » me renvoie automatiquement à prendre conscience de ma respiration, à goûter chaque bouchée que je mange, à admirer les beautés qui m'entourent, à dire à un ami que je l'aime, gratuitement sans rien attendre en retour, et surtout à réaliser que, dans le fond, je ne suis pas si mal sur cette terre. Vous ne pouvez savoir à quel point cet exercice améliore la vie.
Essayez-le !
Utilisateur désinscrit
Un peu de poésie avec de véritables chefs-d'oeuvres de sable
http://youtu.be/WpIgCzgKjwY
http://youtu.be/DyeBcpDzTC0
Shadows dancers
http://youtu.be/RPERVDVHAr4
Utilisateur désinscrit
RALENTIS TON RYTHME
auteur inconnu
As-tu déjà observé les enfants jouer sur un carrousel ou écouter la pluie tomber sur le toit ?
Déjà suivi un papillon volant gaiement ou bien admirer un coucher de soleil ? Tu devrais t'y arrêter.
Ne danse pas trop vite car la vie est courte. La musique ne dure pas éternellement.
Est-ce que tu cours toute la journée, toujours pressé(e) ?
Lorsque tu demandes " Comment ça va? ", est-ce que tu prends le temps d'écouter la réponse ? Lorsque la journée est terminée, est-ce que tu t'étends sur ton lit avec 100 000 choses à faire qui courent dans ta tête ? Tu devrais ralentir.
As-tu déjà dit à ton enfant " nous le ferons demain ", et de le remettre au surlendemain ? As-tu déjà perdu contact avec un ami, laissé une amitié mourir parce que tu n'avais jamais le temps d'appeler pour dire bonjour ? Tu ferais mieux de ralentir, ne danse pas trop vite car la musique cessera un jour.
La vie est si courte. Lorsque tu cours si vite pour te rendre quelque part, tu manques la moitié du plaisir d'y être. Lorsque tu t'inquiètes te fais du souci toute la journée, c'est comme un cadeau non ouvert que tu jetterais.
La vie n'est pas une course, tu dois ralentir ton rythme, prends le temps d'écouter la musique avant que la chanson ne soit terminée.
Utilisateur désinscrit
POURQUOI LES FEMMES SONT FATIGUÉES
auteur inconnu
Maman et papa regardaient la télévision, quand tout a coup Maman dit: "Je suis fatiguée, il se fait tard... Je crois que je vais aller me coucher!"
Elle se rend à la cuisine pour préparer les lunchs du lendemain, elle rince tous les bols de pop-corn, sort de la viande du congélateur pour préparer le souper du lendemain soir, vérifie s'il reste des céréales, remplit le contenant de sucre, met des cuillères et des bols sur la table et prépare le café pour le lendemain matin. Puis ensuite, elle met le linge dans la sécheuse, met une autre brassée dans la laveuse, repasse un chemisier et recoud un bouton. Elle ramasse les journaux qui traînent sur le plancher, ramasse des pièces de jeux qui traînent sur la table et remet l'annuaire téléphonique en place.
Elle arrose les plantes, vide les paniers et raccroche les serviettes pour les faire sécher.
Elle baille et s'étire et, se dirigeant vers la chambre à coucher, elle s'arrête près d'un pupitre et écrit une note au professeur, sort de l'argent pour son fils et ramasse un livre de classe qui traînait sous une chaise.
Elle signe une carte de fête pour un ami, adresse et met un timbre sur l'enveloppe et écrit une petite liste pour l'épicerie.
Elle met l'enveloppe et la liste près de sa bourse.
Après, elle applique de la crème sur son visage, met un hydratant, brosse ses dents et passe la soie dentaire, puis se fait les ongles.
Son mari lui dit: - "Je croyais que tu allais te coucher!"
"J'y vais", répond t'elle.
Elle remplit le bol d'eau du chien et met le chat dehors, puis elle s'assure que les portes sont barrées. Elle fait le tour des chambres des enfants, donne une pastille à celui qui tousse, replace une lampe, raccroche une chemise, met les chaussettes sales dans le panier à linge, et a une brève conversation avec un des ses adolescents qui est encore debout à faire ses devoirs.
Une fois rendue dans sa chambre elle programme l'alarme sur son réveil, sort ses vêtements pour le jour suivant, replace le support à chaussures. Elle ajoute trois choses à faire sur sa liste du lendemain.
Pendant ce temps, son mari ferme le téléviseur et dit tout bonnement: "Alors moi aussi je vais me coucher", et il s'en va dans la chambre...
Cela vous rappelle-t-il quelqu'un que vous connaissez ou avez connu?
Utilisateur désinscrit
LE GARÇON AU SALE CARACTÈRE
source : http://www.club-positif.com
Il était une fois un garçon avec un sale caractère.
Son père lui donna un sachet de clous et lui dit d'en planter
un dans la barrière du jardin chaque fois qu'il perdrait patience
et se disputerait avec quelqu'un.
Le premier jour il en planta 37 dans la barrière.
Les semaines suivantes, il apprit à se contrôler, et le nombre
de clous plantés dans la barrière diminua jour après jour :
il avait découvert que c'était plus facile de se contrôler
que de planter des clous.
Finalement arriva un jour où le garçon ne planta aucun clou
dans la barrière.
Alors il alla voir son père et lui dit que pour ce jour
il n'avait planté aucun clou. Son père lui dit alors d'enlever
un clou de la barrière pour chaque jour où il n'aurait pas
perdu patience.
Les jours passèrent et finalement le garçon put dire à son
père qu'il avait enlevé tous les clous de la barrière. Le père
conduisit son fils devant la barrière et lui dit :
"Mon fils, tu t'es bien comporté mais regarde tous les trous
qu'il y a dans la barrière. Elle ne sera jamais plus comme avant.
Quand tu te disputes avec quelqu'un et que tu lui dis quelque
chose de méchant, tu lui laisses une blessure comme celle-là.
Tu peux planter un couteau dans un homme et après lui retirer,
mais il restera toujours une blessure. Peu importe combien de
fois tu t'excuseras, la blessure restera."
Une blessure verbale fait aussi mal qu'une blessure physique.
Les amis sont des bijoux rares, ils te font sourire et
t'encouragent. Ils sont prêts à t'écouter quand tu en as besoin,
ils te soutiennent et t'ouvrent leur coeur.
Utilisateur désinscrit
«Une vieille légende hindoue raconte qu'il y eut un temps où tous les hommes étaient des dieux. Mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma, le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver. Le grand problème fut donc de lui trouver une cachette.
Lorsque les dieux mineurs furent convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, ils proposèrent ceci : "Enterrons la divinité de l'homme dans la terre." Mais Brahma répondit : "Non, cela ne suffit pas, car l'homme creusera et la trouvera."
Alors les dieux répliquèrent : "Dans ce cas, jetons la divinité dans le plus profond des océans."
Mais Brahma répondit à nouveau : "Non, car tôt ou tard, l'homme explorera les profondeurs de tous les océans, et il est certain qu'un jour, il la trouvera et la remontera à la surface."
Alors les dieux mineurs conclurent : "Nous ne savons pas où la cacher car il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d'endroit que l'homme ne puisse atteindre un jour."
Alors Brahma dit : "Voici ce que nous ferons de la divinité de l'homme : nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c'est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher."
Depuis ce temps-là, conclut la légende, l'homme a fait le tour de la terre, il a exploré, escaladé, plongé et creusé, à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui. » (Eric Butterworth, Découvre la puissance en toi)
Pensez-y un instant...
... Y a-t-il des matins où vous manquez d'enthousiasme ? Y a-t-il des jours où vous vous demandez " Où vais-je ? Cela en vaut-il la peine ? Comment m'en sortir ? Comment être plus heureux ? "
De nombreuses personnes se sont posé avant vous ces questions. Certains ont trouvé des solutions ou des réponses. Maîtres spirituels, thérapeutes, sages, écrivains, philosophes, ou personnes comme vous et moi vont vous aider à :
aller plus loin dans votre développement personnel
déclencher la prise de conscience qui vous ouvrira de nouvelles portes vers le succès
vous sentir plus heureux, plus enthousiaste, plus maître de vous et de votre vie
aider vos enfants et vos proches à trouver en eux de nouvelles ressources
voir les évènements s'enchaîner les uns aux autres dans le sens de vos objectifs
trouver des solutions là où les autres voient des problèmes
améliorer votre relation avec vous-mëme et avec les autres
vous sentir plus libre
Utilisateur désinscrit
IL ÉTAIT UNE FOIS TROIS ARBRES...
source : inconnue
Il était une fois, sur une montagne, trois arbres qui partageaient leurs rêves et leurs espoirs.
Le premier dit: " Je voudrais être un coffre au trésor, richement décoré, rempli d'or et de pierres précieuses. Ainsi tout le monde verrait ma beauté ".
Le deuxième arbre s'écria: " Un jour, je serai un bateau solide et puissant, et je transporterai les reines et les rois à l'autre bout du monde. Tout le monde se sentira en sécurité à mon bord ".
Le troisième arbre dit: " Je veux devenir le plus grand et le plus fort des arbres de la forêt. Les gens me verront au sommet de la colline, ils penseront au ciel et à Dieu, et à ma proximité avec eux; je serai le plus grand arbre de tous les temps et les gens ne m'oublieront jamais ".
Les trois arbres prièrent pendant plusieurs années pour que leurs rêves se réalisent. Et un jour, survinrent trois bûcherons.
L'un d'eux s'approcha du premier arbre et dit: " Cet arbre m'a l'air solide, je pourrais le vendre à un charpentier ". Et il lui donna un premier coup de hache.
L'arbre était content, parce qu'il était sûr que le charpentier le transformerait en coffre au trésor.
Le second bûcheron dit en voyant le second arbre: " Cet arbre m'a l'air solide et fort, je devrais pouvoir le vendre au constructeur de bateaux ".
Le second arbre se réjouissait de pouvoir bientôt commencer sa carrière sur les océans.
Lorsque les bûcherons s'approchèrent du troisième arbre, celui-ci fut effrayé, car il savait que si on le coupait, ses rêves de grandeur seraient réduits à néant.
L'un des bûcherons s'écria alors: " Je n'ai pas besoin d'un arbre spécial, alors, je vais prendre celui-là". Et le troisième arbre tomba.
Lorsque le premier arbre arriva chez le charpentier, il fut transformé en une simple mangeoire pour les animaux. On l'installa dans une étable et on le remplit de foin. Ce n'était pas du tout la réponse à sa prière.
Le second arbre qui rêvait de transporter des rois sur les océans, fut transformé en barque de pêche. Ses rêves de puissance s'évanouirent.
Le troisième arbre fut débité en larges pièces de bois, et abandonné dans un coin.
Les années passèrent et les arbres oublièrent leurs rêves passés.
Puis un jour, un homme et une femme arrivèrent à l'étable. La jeune femme donna naissance à un bébé et le couple l'installa dans la mangeoire qui avait été fabriquée avec le premier arbre. L'homme aurait voulu offrir un berceau pour le bébé, mais cette mangeoire ferait l'affaire. L'arbre comprit alors l'importance de l'événement qu'il était en train de vivre, et su qu'il contenait le trésor le plus précieux de tous les temps.
Des années plus tard, un groupe d'hommes monta dans la barque fabriquée avec le bois du second arbre; l'un d'eux était fatigué et s'endormit. Une tempête terrible se leva, et l'arbre craignit de ne pas être assez fort pour garder tout son équipage en sécurité. Les hommes réveillèrent alors celui qui s'était endormi; il se leva et dit : " Paix!" Et la tempête s'arrêta. À ce moment , l'arbre su qu'il avait transporté le Roi des rois.
Enfin, quelqu'un alla chercher le troisième arbre oublié dans un coin; il fut transporté à travers les rues, et l'homme qui le portait se faisait insulter par la foule. Cet homme fut cloué sur les pièces de bois élevées en croix , et mourut au sommet de la colline. Lorsque le dimanche arriva, l'arbre réalisa qu'il avait été assez fort pour se tenir au sommet de la colline et être aussi proche de Dieu que possible, car Jésus avait été crucifié à son bois.
Chacun des trois arbres a eu ce dont il rêvait, mais d'une manière différente, de ce qu'ils imaginaient.
Utilisateur désinscrit
LA LEÇON DE GUITARE
J'étais ce qu'on appelle un "homme pressé" et, dans
mon cas, cela signifiait aussi un "homme stressé":
papiers administratifs, factures, comptes, prospection
des clients, le quotidien d'une entreprise est passionnant
mais c'est aussi une tâche lourde à assumer.
Souvent le soir, lorsque je rentrais fatigué après une
longue journée, je n'étais pas aussi disponible que je le
voulais pour ma famille. Mes enfants le sentaient bien:
"Papa, détends toi, viens jouer avec nous". Mais rien
n'y faisait, plus j'essayais de me calmer, moins j'y parvenais.
J'ai essayé beaucoup de choses et pas toujours les
meilleures pour diminuer mon stress : médicaments, alcool,
manger des sucreries n'ont pas d'effets durables et sont mauvais
pour la santé.
Bizarrement, c'est mon professeur de guitare qui a résolu
le problème.
Je prenais une leçon hebdomadaire. C'est un réel plaisir pour
moi de sentir vibrer la caisse de l'instrument comme si elle
faisait écho à mes propres sentiments.
Mais la pratique de la guitare demande discipline et
disponibilité d'esprit.
Or, ce jour là, je rejouais sans cesse le même passage, mais
il n'y avait rien à faire: les sons ne "sonnaient" pas, ma musique
n'avait pas d'âme. Au bout de quelques mesures, je me suis emporté:
"Bon Dieu je n'arrive pas à me détendre!"
Mon professeur a souri. Il m'a enlevé l'instrument des mains et
s'est mis à triturer les mécaniques en bout de manches jusqu'à ce que
les cordes soient toutes distendues. Il m'a redonné la guitare en me
disant: "Maintenant, joue!"
J'étais surpris mais j'ai obéi. Evidemment, le morceau était
inaudible.
Le professeur a repris la guitare et cette fois-ci, il a tiré les
cordes au maximum. Lorsqu'il me l'a redonnée, celles-ci étaient si
tendues qu'il ne m'a fallu que quelques secondes et un aller-retour
sur le manche pour casser le mi et le la.
Tout penaud, je lui lançais un regard interrogateur. Il me dit
alors: "Tu vois, nous sommes tous comme cette guitare: trop mous,
nous ne sommes bons à rien et trop tendus, nos nerfs lâchent.
Crois-moi, la solution c'est LE JUSTE MILIEU. Chaque fois que tu
cherches à te détendre, rappelle-toi la manière dont tu accordes ta
guitare : le son est toujours plus beau quand les cordes ne sont
ni relâchées, ni trop tendues.
Utilisateur désinscrit
Le train de la vie
Il y a quelques temps, j'ai lu un livre ou
la vie était comparée a un voyage dans un train.
Une lecture très intéressante.
La vie est comme un voyage dans un train:
on monte et on descend , il y a des accidents,
à certains arrêts il y a des surprises et à d'autres
il y a une profonde tristesse
Quand on naît et qu'on monte dans le train,
nous rencontrons des personnes et nous croyons
qu'elles resteront avec nous pendant toute le voyage:
ce sont nos parents!
Malheureusement la vérité est toute autre.
Eux ils descendent dans une gare et ils nous laissent sans
leur amour et leur affection, sans leur amitié et leur compagnie.
En tous cas, il y a d'autres personnes qui montent dans
le train et qui seront pour nous très importantes.
Ce sont nos frères et nos soeurs, nos amis et toutes
les personnes merveilleuses que nous aimons.
Certaines considèrent le voyage comme un petite promenade.
D'autres ne trouvent que de la tristesse pendant leur voyage.
Il y a d'autres personnes toujours présentes
et toujours prêtes à aider ceux qui en ont besoin.
Certains quand ils descendent laissent une nostalgie pour toujours….
D'autres montent et descendent tout de suite et nous
avons tout juste le temps de les croiser…
Nous sommes surpris que certains passagers que nous aimons,
s'assoient dans un autre wagon et que pendant ce temps nous
laissent voyager seul.
Naturellement, personne peut nous empêcher
de les chercher partout dans le train.
Parfois malheureusement nous ne pouvons pas nous asseoir
à côte d'eux car la place est déjà prise.
Ce n'est pas grave…le voyage est comme ça:
plein de défis de rêves, d'espoirs, d'adieux….mais sans retour.
Essayons de faire le voyage de la meilleure façon possible.
Essayons de comprendre nos voisins de voyage et cherchons
le meilleur en chacun d'entre eux.
Rappelons nous qu'à chaque moment du voyage un de nos
compagnons peut vaciller et peut avoir besoin de notre compréhension.
Nous aussi pouvons vaciller et il y aura toujours
quelqu'un pour nous comprendre.
Le grand mystère du voyage est que nous ne savons pas quand
on descendra du train pour toujours,
Nous ne savons pas non plus quand nos compagnons de voyage
feront la même chose.
Même pas celui qui est assis juste à côte de nous.
Moi je pense que je serai triste de quitter le train….j'en suis sûr!
La séparation avec tous les amis que j'ai rencontrés dans le train sera
douloureuse, laisser mes proches seuls sera très triste.
Mais je suis sûr qu'un jour ou l'autre j'arriverai à la gare centrale et
je les reverrai tous arriver avec un bagage qu'ils n'avaient pas quand
il sont montés dans le train.
Par contre je serai heureux d'avoir contribué a augmenter
et enrichir leur bagage.
Nous tous mes amis, faisons tout le possible pour faire un bon voyage
et essayons de laisser un bon souvenir de nous au moment où nous
descendrons du train.
A ceux qui font partie de mon train, je souhaite un
BON VOYAGE!
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Utilisateur désinscrit
Les couleurs du Monde!
Un jour, les couleurs du monde ont commencé à se quereller…
Chacune disait qu’elle était la plus belle…
la plus importante… la plus utile… la favorite!
Vert dit :
Je suis définitivement la plus importante.
Je suis le signe de la vie et de l’espoir.
J’ai été choisie par les champs, les arbres et les feuilles.
Sans moi, les animaux ne vivraient pas.
Regardez un pré de montagne et vous constaterez que je suis majoritaire.
Bleu l’interrompt :
Tu ne penses qu’en fonction de la terre,
mais considère le ciel et la mer.
C’est l’eau qui est la base de la vie.
Le ciel offre l’espace, la paix et la sérénité.
Jaune riait sous sa cape :
Vous êtes tellement sérieuses, vous autres !
Moi, j’apporte le rire, la gaieté, la chaleur dans le monde.
Le soleil est jaune, et plusieurs étoiles aussi.
Chaque fois que vous regardez un tournesol, le monde entier se met à rire.
Sans moi, il n’y aurait pas de plaisir.
Orange n’est pas d’accord :
Je suis la santé et la force.
Je suis précieuse parce que j’apporte de la vie à l’humanité.
Je transporte les plus importantes vitamines.
Pensez aux carottes, citrouilles, oranges, mangues et papayes.
Je ne suis pas toujours là à l’année, mais, quand j’éclaire le ciel à mon lever
et à mon coucher, ma beauté est telle que personne ne pense à aucun d’entre vous.
Rouge ne peut s’empêcher de crier :
Je suis la vie de chacun de vous.
Je suis le sang… le sang de votre vie.
Je suis la couleur du danger ou de la bravoure.
Je suis toujours prête à me battre pour une bonne cause.
Je suis la couleur de la passion et de l’amour.
Violet se lève de toute sa grandeur.
Elle est très grande, et dit avec grande pompe :
Je suis la couleur royale, la couleur du pouvoir.
Les rois, les chefs et les archevêques m’ont toujours choisie
parce que je suis le signe de l’autorité et du pouvoir.
Les gens ne me questionnent jamais ! Ils écoutent et obéissent.
Indigo se lève à son tour :
Pensez à moi. Je suis la couleur du silence.
Vous ne me remarquez pas mais sans moi, vous deviendrez superficielles.
Je représente la pensée et la réflexion, la nuit et les eaux profondes.
Vous avez besoin de moi pour votre équilibre.
Et toutes ces couleurs sont parties, chacune convaincue de leur unique supériorité.
Leur querelle est devenue de plus en plus importante avec les jours.
Soudainement, un éclair apparut et un bruit de roulement tonnerre se fit entendre.
La pluie se mit à tomber. Les couleurs ayant très peur se sont toutes rapprochées
les unes des autres pour se réconforter.
Au milieu de la clameur…
Pluie est apparue :
Vous autres, stupides couleurs, vous disputant,
chacune essayant de dominer l’autre…
ne savez-vous donc pas que vous êtes toutes faites
pour un besoin unique et spécial ?
Joignez-vous et venez à moi.
Faisant ce qu’on leur demandait, les couleurs se sont réunies.
Pluie a continué à parler :
À partir de maintenant, quand il pleuvra,
chacune de vous s’étirera dans le ciel en une demi-boucle
pour vous rappeler que vous pouvez vivre dans la paix.
Cet arc-en-ciel sera un signe d’espoir pour demain.
Et, quand une grosse pluie lavera le monde,
et qu’ensuite l’arc-en-ciel apparaîtra dans le ciel,
souvenez-vous de vous apprécier l’une et l’autre.
L’amitié est comme un arc-en-ciel.
Rouge est comme une pomme, tendre jusqu’au noyau.
Orange, comme une flamme qui ne s’éteint pas.
Jaune, comme le soleil qui éclaire votre journée.
Vert, comme les plantes qui ne cessent de grandir.
Bleu, comme l’eau si pure.
Violet, comme une fleur prête à éclore.
Indigo, comme un rêve qui meuble votre cœur.