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L'étrange effet placebo du prix des médicaments
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stefracia, tu me donnes le sentiment de connaître la réponse à ta question. Si tu nous disais tout ce que tu sais...
stefracla
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stefracla
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Ami
bonjour damedepic
depuis de nombreuses année ma famille a connue la maladie et beaucoup sont décédés mes frères mon père tous décédés relativement jeunes .je suis atteint de plusieurs pathologies lourde qui me font énormément souffrir .depuis longtemps je vois toute sortes de spécialistes et plusieurs refuses de prescrire des génériques certains ont fait des études sur ces molécules et sont persuadés que beaucoup de celle si ne sont pas conformes aux originaux il y en a un qui ma dit quand on parlais des génériques on verra dans quelques années les effets néfastes au nom de soit disant économies .cela fait marcher des labos sans scrupules et surtout certains politiques .quand on voix ce qui se passe en se moment en inde avec les médicaments que l on retires du marcher je pense qu ils n ont pas tords
Utilisateur désinscrit
Donc, certains professionnels de santé ont des doutes sur la qualité même de la molécule de base... Une enquête parlementaire devrait être diligentée, pour le coup...
stefracla
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stefracla
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Ami
bonjour
oui en effet mais cela ne risque pas de se produire il y a trop d argent en jeu toute les magouilles qui se passe au niveau des labos et de certaine personne des gouvernement depuis plusieurs années risqueraient
de faire du bruit .lorsque l on voix que certaine boite de générique ne compte pas assez de comprimés pour un traitement équivalent avec les originaux et qu il faut en acheter deux ou sont les Economies pour la sécu comme je l ai dit plus haut de plus en plus de médecins écrivent sur l ordonnance pas de générique au risque de se faire taper sur les doigts par la sécu .je pense que si un jour il y avait une enquête publique il y aurait certainement des surprises a tout les nivaux
Utilisateur désinscrit
coucou
Ce serait génial de voir un tel merdier, je voudrais voir ça de mon vivant ....
Déjà le livre du dr DEBRET et je sais plus qui sur les 1000 médicaments dangereux à fait du bruit
clt
stefracla
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Ami
hello
les loups ne se mangent pas entre eux alors je ne me fais pas d illusion ce n est pas dans les années avenirs que cela se produira
mais peut être qu un jour par la force des choses avec la découverte de nouvelle molécules nous prendront moins de médicament.tout au moins je l espère.
en attendant on fait avec se que l on nous donne .
en tan que malades je suis heureux de savoir que nous faisons vivre quelque milliers de personne en leurs donnant du travail.mais sa ne soigne pas ça réconforte
Utilisateur désinscrit
comment faisait-on lorsqu'il n'y avait pas tous les médicaments(ni les laboratoires qui les fabriquent) ?
Certains décédaient , mais pas tous.On pouvait avoir recours aux fameux remèdes de grand'mère qui ne soignent pas tout mais ne font pas de mal.Et on ne se précipitait pas chez le médecin au moindre éternuement ou douleur suspecte.
A-t-on étudié parmi les "patients" ceux qui sont réellement malades et ceux qui sont à la recherche d'une oreille neutre?
Utilisateur désinscrit
charlette, si tu adresses ta question aux personnes pour qui le corps médical a mis des années à poser un diagnostic correspond bien à la pathologie, qui se sont entendu dire "mais c'est dans votre tête" ou des joyeusetés de ce genre alors qu'il y avait bien pathologie et en plus pathologie aggravée par le manque de soins adéquats... je crois qu'il te faut mettre une armure !!!! Ici il y a beaucoup de personnes avec des maladies auto-immunes, des maladies orphelines, des maladies mal prises en compte comme la maladie de Lyme... Ton "A-t-on étudié parmi les "patients" ceux qui sont réellement malades et ceux qui sont à la recherche d'une oreille neutre?" est particulièrement mal venu. Quand on pense à ce que doit endurer quelqu'un atteint de fibromyalgie avant d'obtenir un diagnostic... Je préfère me taire va !!!
stefracla
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Ami
bonjour a tous
charlette il est vrais qu a l époque il n y avais pas autant de labo mais de qu elle époque veut tu parler celle ou on mourrait a 30 ans ou celle ou on mourrais a 60ans.
maintenant il y a beaucoup de centenaires grâce a ses chercheurs qui travaillent et étudient pour que l ont souffrent moins et plus dans certaines pathologies je ne pense pas qu ils se casse la tète a soigner des malades imaginaires .
je rentre juste d une visite avec le spécialiste ( professeur en rhumato d un c h u de lyon) parce que je souffre de plus en plus. vu les maladies que j ai la médecine est un peu dans l impuissance .les traitements sont de plus en plus lourds et je ne pense pas que les grands mères avec leurs remèdes .pourraient faire grand choses pour moi et pour beaucoup de malades .les américains sont des spécialistes du sondage mais quand on voix les bêtises qu ils racontes des moments surtout avec un sondage sur douze patients on peut se poser des questions .je sais que tout cela ramène beaucoup d argent a certaine personne mais on a pas le chois c est le prix a payer .je ne sais pas de quoi tu souffre mais je suis sure que se n ai pas ta grand mère qui te soigne .
je souhaite a tous une meilleur santé
Utilisateur désinscrit
Lorsque que j'ai fait allusion aux personnes qui cherchaient une oreille pour les écouter,je n"évoquais pas bien sûr les personnes réellement malades! D'autant plus qu'avec l'arsenal de médocs qui me sont indispensables je serai la dernière à cracher dans la soupe!
Je faisais allusion aux personnes mal dans leur peau pour de multiples raisons : divorce,deuils,solitude non voulue etc
On pourrait m'argumenter en me disant que les psy sont là pour ce genre de problème ; mais beaucoup de ces personnes résistent car pour eux consulter un psy signifie qu'on est fou ! Le médecin généraliste en dialoguant pourrait parfois les convaincre du contraire.Pour terminer, il n'est plus à démontrer les inter-actions entre le corps et l'esprit donc si l'on n'y prend garde de telles personnes risquent et c'est prouvé de tomber réellement malade !
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Julien
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Julien
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Plus un médicament est cher, plus il apparaît performant aux yeux des patients qui s'en persuadent au point d'en ressentir les effets. C'est ce que constate une étude menée sur un groupe de personnes atteintes de la maladie de Parkinson. «Nous avons voulu vérifier si la perception du coût d'un médicament pouvait fonctionner de la même manière qu'un placebo», explique le Dr Alberto Espay, professeur en neurologie à l'université de Cincinnati dans l'Ohio et auteur de cette recherche parue mercredi dans Neurology, la revue de l'American Academy of Neurology.
Les chercheurs ont, pour ce faire, indiqué à 12 patients souffrant de la maladie de Parkinson qu'ils recevraient des injections de deux médicaments fabriqués par deux laboratoires différents, mais dont la formulation était exactement identique. Seule différence: le premier est commercialisé au prix de 100 dollars (environ 90 euros), et le second se vend à 1.500 dollars en pharmacie (environ 1300 euros). Les auteurs de l'étude ont assuré à plusieurs reprises aux volontaires que, malgré cette différence de prix, l'efficacité restait la même. Mais les patients se sont en réalité vus administrer deux doses d'une simple solution saline. Ils ont ensuite été soumis à des tests visant à mesurer leurs capacités motrices et subi un scanner pour évaluer leur activité cérébrale.
Effet placebo
Ceux ayant reçu l'injection du médicament le plus coûteux ont vu leurs capacités motrices s'améliorer de 28% comparativement à ceux traités avec la dose bon marché, ont constaté les chercheurs. «Si on peut trouver des stratégies pour contrôler la réaction placebo, on pourrait potentiellement optimiser les effets des traitements, en réduisant les doses et peut-être aussi les effets secondaires», relève le Dr Espay, qui tient à souligner que l'effet placebo pourrait être plus puissant chez les malades de Parkinson car cette maladie réduit la dopamine, or, les placebo sont connus pour accroître la production de cette hormone qui agit sur les mouvements et la motivation.
Après avoir été informés du placebo, huit participants ont en effet expliqué qu'ils s'attendaient à davantage d'efficacité de l'injection présentée comme la plus coûteuse. Les quatre autres malades, qui n'avaient pas d'attentes particulières, n'ont connu aucun changement de leur état de santé.
Le médicament-marchandise
«Le prix a un effet psychologique sur le consommateur qui associe souvent une image de mauvaise qualité à un prix bas et une image de qualité supérieure, à un prix élevé», explique Nathalie Guichard, maître de conférences en sciences du management à l'université Paris 1 Panthéon Sorbonne, dans son livre Comportement du consommateur.
L'étude du Dr Espay soulève donc la question du passage du statut de «patient» à celui de «consommateur»: les médicaments seraient-ils devenus une marchandise comme les autres? En septembre dernier, la Commission européenne a, consciemment ou non, fait un pas en ce sens en décidant de rattacher l'Agence européenne du médicament (EMA) et la politique des produits de santé à la direction Entreprise et Industrie de Bruxelles. Ce à quoi la revue Prescire et le British medical journal avaient répliqué en adressant une lettre intitulée «Le médicament n'est pas une marchandise» à Jean Claude Juncker, président de la Commission.
Pour Gilles Bonnefond, président de l'Union des syndicats des pharmaciens d'officine (USPO): «La perception du médicament n'a pas changé aux yeux des Français: il s'inscrit dans un système de santé et ils en ont en bien conscience. Cette étude est surfaite car si l'on prend l'exemple des génériques, moins chers et de même qualité, les Français les acceptent à plus de 80%. Il faut arrêter d'alimenter les polémiques autour de ces médicaments qui sont essentiels dans le processus de concurrence: ils participent à faire baisser les prix et sans eux, certains traitements ne seraient pas accessibles car trop chers». Le pharmacien poursuit en exprimant sa perplexité devant cette étude réalisée aux Etats-Unis, «sachant que les Américains sont les plus gros consommateurs de médicaments génériques n'étant eux, à la différence des Français, pas remboursés».
De plus, si l'on en croit un récent rapport de l'association Familles Rurales, entre deux pharmacies, le prix d'un même médicament est susceptible de varier du simple au quadruple. «Absurde donc, d'appliquer la règle du rapport qualité-prix au secteur pharmaceutique», commente M. Bonnefond.
Le Figaro santé