Les objets connectés peinent à séduire les Français
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Un deuxième avis médical de qualité en ligne pour 295 euros : pour ou contre ?
Hello 
, ça n'est pas ici un objet connecté mais puisque ce "service" se fait via une connexion internet , seriez vous ok ? me concernant , je trouve que le fond pourrait être intéressant , mais à quel prix ! Un deuxième avis médical pour les porte-monnaies bien remplis
Qu'en pensez vous ?
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
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Hello @Chris31
l'idée est bonne quand votre médecin vous connais trop un autre point de vue peu être utile mais au prix d'une consultation normale là trop cher
le lien ne fonctionne pas 
Bonne soirée
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Dslée les filles des que je suis sur pc je vous fait un copier coller de l'article de nedscape
Bonne journée et à plus tard
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
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Coucou je me demandais si il ne valait pas mieux créer un autre sujet (mais après tout , un objet connecté ou un service via connexion c'est un peu du pareil au même , donc cet article a aussi sa place ici ) alors voici le copier-coller promis puisque vous n'avez pu consulter l'rticle en ligne ! et je suis d'accord avec @maritima & @veronique53 , c'est abusé niveau prix , quant à avoir un deuxième avis , c'est le droit de tout patient et sans pour autant vaxer ou blesser le médecin à l'origine du 1er avis médical !
Un deuxième avis médical de qualité en ligne pour 295 euros : pour ou contre ?
Dr Isabelle Catala
Auteurs et déclarations|23 décembre 2015Paris, France – L’article du Parisien du 19 décembre faisant état de l’existence d’un site internet permettant d’obtenir un second avis médical moyennant finance a mis le feu aux poudres du côté des syndicats de médecins et de l’Ordre. Justifié ou pas ? En tous cas, le site www.deuxiemeavis.fraura au moins servi à faire connaître aux médecins, aux patients et à l’Ordre des Médecins une pratique très ancienne : celle du recours à une expertise en centre de référence pour une pathologie complexe [1].
Il semblerait que ni les représentants des médecins, ni l’Ordre n’aient eu connaissance de ce type de demande d’aides à la prise en charge. Mais on peut aussi penser que le fait que ce soit une société privée qui coordonne ce service irrite les praticiens : la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF) [2] « scandalisée » a immédiatement communiqué sur son « refus que la santé devienne un produit marchand », et l’Ordre des Médecins a mis en place une mission sur « l’ubérisation de la santé » [3].
Un site pour faciliter les deuxièmes avis
Le site deuxiemeavis.fr, mis en ligne par la Société éditrice Carians, a été fondé par trois femmes très impliquées dans la santé connectée depuis les années 2010. Elles ont constitué un comité scientifique de 10 personnes dont les Prs Laurent Degos (ex HAS), Didier Sicard (ex comité d’éthique), Laurent Mignot (Institut Curie) et se sont entourées de 80 spécialistes dans les domaines de la cancérologie, l’orthopédie, la neurologie, la cardiologie…
Les fondatrices souhaitent que grâce à ce site, les soins deviennent « plus accessibles aux personnes confrontées à des maladies graves, rares et invalidantes » peu mobiles qui par exemple vivent dans des déserts médicaux ou à l’étranger.
Ces patients pourraient bénéficier d’un avis sans avoir à se déplacer et sans que les frais de déplacement soient remboursés par la sécurité sociale et les mutuelles.
Mais ce service a un prix : 295 euros répartis entre les experts et le site (pour frais de mise en place et fonctionnement). Ces frais non remboursés par la sécurité sociale pourraient – sous réserve d’accord – être pris en charge par certaines mutuelles.
La possibilité d’obtenir un deuxième avis, de façon relativement organisée, existe depuis toujours. Certains hôpitaux – comme Gustave Roussy [4] ou l’Institut Curie [5] – proposent ce service pouvant éventuellement donner lieu à une Réunion de Concertation Pluridisciplinaire. C’est au médecin traitant de transmettre le dossier aux deux centres de référence et les patients ne sont convoqués que si les experts l’estiment nécessaire.
Contactés par Medscape édition française, ces deux hôpitaux expliquent que l’acte de second avis peut être pris en charge en partie dans le cadre du parcours de soins, mais que des frais supplémentaires – dont le niveau dépend de l’expertise demandée – peuvent rester à la charge du patient.
Des sites proches d’associations de patients, telles que la maison du cancer [6] expliquent qu’il est licite de demander parfois un deuxième avis.
Rappelons que le Pr David Khayat avait été épinglé en 2012 pour ses tarifs de consultations privées à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris) qui concernaient majoritairement des deuxièmes avis [7]. Il semblerait qu’à cette époque là, ni l’Ordre ni la CSMF n’avaient pris conscience de l’amplitude de ce phénomène.
L’Ordre va maintenant se pencher sur « la conformité des diverses prestations médicales en ligne au regard de la déontologie médicale » dans un contexte d’ « ubérisation de la santé » avec un « risque de dérive vers du commerce électronique non régulé qui réduirait la pratique médicale à une simple prestation électronique moyennant rétribution via des plateformes du secteur marchand ». L’Ordre va aussi se pencher sur les « téléconsultations proposées par les assureurs privés » en dehors du parcours de soins.
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Chris31- Faites que le rêve dévore votre vie, afin que la vie ne dévore pas votre rêve. Antoine de Saint-Exupéry
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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