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Les Français, toujours trop dépendants des somnifères
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Utilisateur désinscrit
Pour l'instant, je réussis à me passer de ces "neries"...
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Utilisateur désinscrit
bah c'est bien ,cela va faire faire des économies à la sécu
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Utilisateur désinscrit
si seulement le sage ...
pour ma part on m'en a prescrit après ma greffe ..et tout mes traitements qui
faisaient et font encore souffrir chaque partie de mon corps même si cela va mieux quand meme
et pour dormir il me fallait ces satanés cachets ..enfin je le pensais .;certes cela m'a aidé un temps
mais tout un mélange de ces cochonneries oui .;à force je dormais encore plus mal .;disons que j’étais un vrai petit zombie
toute la journée tout en dormant très mal
donc j'ai dit stop a tout ça ..pas simple au départ mais maintenant au moins j'ai la tête bien en place
le pote d'Héliott
Bon conseiller
le pote d'Héliott
Dernière activité le 25/12/2024 à 09:50
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Il est évident que les Benzos sont difficiles à gérer pour les uns et les autres... la conclusion s'avère très poignante!
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«Il y a deux jours dans une année où l’on ne peut rien faire. Ils s’appellent hier et demain. Pour le moment, aujourd’hui est le jour idéal pour aimer, croire, faire et principalement vivre»
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Utilisateur désinscrit
c'est vrai que cette dernière phrase fais à la limite froid dans le dos
c'est désolant
gisela
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gisela
Dernière activité le 14/01/2024 à 08:11
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pendant un temps j en ai pris ca me provoquer des cauchemars du coup la journee j etais deprime et zombie
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gislaine
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Utilisateur désinscrit
comme toi gisela .;des hallucinations aussi même dans la journée
enfin en faite était ce cela ou tout le mélange fait
JOSS51
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JOSS51
Dernière activité le 01/04/2020 à 09:48
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Ami
Quand je travaillais encore, si je ne dormais pas bien plusieurs nuits, je me sentais obligée de prendre des somnifères pour avoir quelques heures de sommeil avant d'arriver au travail. Depuis que je suis en retraite, j'ai décidé de ne plus en prendre car si je ne dors pas la nuit, je peux faire une petite sieste la journée et petit à petit je me suis déshabituée... J'en suis très contente désormais !
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Joss
mimi09
mimi09
Dernière activité le 24/10/2023 à 17:03
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j'en prends depuis deux ans,(silnox), je sais que c'est mauvais mais j'ai un tempérament très anxieuse et un fils maries avec deux enfants et au chômage et une fille qui a des problèmes de santé, je n'arrive pas à m'endormir. je sais que c'est mauvais et il m'arrive d'essayer de diminuer mais dans ce cas nuits blanches garanties.
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mimi09
rickurz
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rickurz
Dernière activité le 04/01/2021 à 18:50
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bonjour
avec la corti je ne dors presque plus , alors j'ai commencé les somnifères mais ça allait de mal en pis je dépassais allègrement les doses . j'ai tout arrêté, je ne dors pas bien mais je fais avec et dans la journée j'ai des coups de fatigue au boulot c'est pas facile à gérer...mais je me dis que ça va finir pas passer je reste optimiste
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Julien
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Julien
Dernière activité le 12/06/2024 à 11:32
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Comment aider les Français à mieux dormir ? Et comment leur permettre de se débarrasser des somnifères ? C’est en plein cœur de l’été que la Haute Autorité de santé (HAS) a choisi de relancer ce débat. «Avec environ 4 millions de personnes exposées, les Français comptent parmi les plus grands consommateurs de somnifères en Europe», soulignait le 24 juillet cette instance indépendante.
Dans la foulée, la HAS délivrait un avis sévère sur les «benzodiazépines à visée hypnotique», jugeant leur «intérêt thérapeutique limité» et estimant qu’il conviendrait de passer leur taux de remboursement de 65 % à 15 %.
Au total, la HAS a à nouveau évalué sept somnifères : certains avaient déjà été examinés en 2007, d’autres en 2010. À l’époque, la HAS avait estimé que leur service médical rendu (SMR) était soit «modéré» soit «important». Cette fois, elle a jugé que leur SMR était «faible». «Leur prescription ne doit donc être envisagée que sur une courte période et seulement en cas d’échec d’autres thérapies, non médicamenteuses», explique Jean-Patrick Sales, directeur délégué de l’évaluation à la HAS.
Selon les experts, les somnifères ont une efficacité limitée. «Ils peuvent certes favoriser l’endormissement mais, en moyenne, ils permettent de gagner seulement une heure de sommeil. Un patient qui dort cinq heures dormira six heures avec un médicament», explique Jean-Patrick Sales. «Mais ce gain d’une heure peut être très important chez les gens ayant des troubles sévères du sommeil», souligne le professeur Damien Léger (Hôtel-Dieu, Paris), président de l’Institut national du sommeil et de la vigilance. «C’est vrai mais, à doses constantes, l’efficacité des somnifères s’estompe au fil du temps», répond Jean-Patrick Sales.
La HAS insiste aussi sur le problème des effets secondaires de ces médicaments. La semaine dernière, des chercheurs de l’INSERM (Institut national de la santé et de la recherche médicale) ont publié une nouvelle étude confirmant que l’utilisation de somnifères, pendant trois mois ou plus, entraîne un risque accru de développer une maladie d’Alzheimer. Mais de manière plus immédiate, la HAS alerte surtout sur les risques de baisse de vigilance, de troubles du comportement et surtout de chutes. Avant de rappeler que 40 % des personnes de plus de 85 ans prennent un somnifère de manière régulière.
Autre problème, celui de la dépendance. En principe, les somnifères doivent être prescrits pour une durée de quatre semaines. Mais bien souvent, ils sont consommés pendant des mois, voire des années. Une spirale dangereuse pour la HAS, qui estime que la priorité, face à un patient en manque de sommeil, est de délivrer des conseils favorisant une meilleure hygiène de vie : éviter les siestes longues (moins d’une heure) ou trop tardives (pas après 16 heures), adopter un horaire régulier de coucher et de lever, proscrire les repas trop copieux le soir…
Avant de prescrire un médicament, le médecin doit aussi privilégier une thérapie cognitive comportementale. «Le problème est que les psychologues, qui font ce type de TCC, ne sont pas nombreux. Et cela n’est pas remboursé par l’assurance-maladie», souligne le professeur Léger.
Reste à savoir si le ministère de la santé va suivre la préconisation de la HAS et passer le remboursement des somnifères de 65 % à 15 %. Si tel était le cas, il est probable que la part non remboursée serait prise en charge par les mutuelles. «Ce déremboursement partiel, s’il est retenu, s’inscrit dans une logique délétère : on déplace ce qui relève de l’assurance-maladie solidaire vers les complémentaires santé», argumente le docteur Claude Leicher, le président du syndicat MG France. Tout en attirant l’attention sur les 2,5 millions de Français qui n’ont pas de mutuelles.
Pour le docteur Leicher, les généralistes ont souvent du mal à limiter les prescriptions à seulement quatre semaines. «Tous les jours ou presque, nous voyons des patients qui n’arrivent pas à dormir, parce que leur vie ne va pas bien. Leur couple, leur boulot, le chômage, la peur du licenciement… Nous, on fait ce qu’on peut mais, au bout d’un moment, on est obligé de délivrer des somnifères, parfois de manière répétée.»
Et c’est presque avec de la colère dans la voix que le docteur Leicher poursuit. «Bien sûr que ce n’est pas bon de prendre des somnifères trop longtemps. Mais parfois, j’ai le sentiment que ces experts ne se rendent pas compte de ce que voient les généralistes. De la souffrance sociale qui arrive, de plus en plus massivement, dans nos cabinets. Moi, cela va encore, même si j’exerce dans un département, la Drôme, qui a le plus fort taux de chômage en Rhône-Alpes. Mais quand j’entends certains confrères qui exercent dans le Nord ou dans les Ardennes, je suis effaré.» Un silence puis le docteur Leicher ajoute : «Vous savez, parfois, on prescrit parce qu’on se dit que, sinon, le patient va finir par faire un geste de désespoir. Et que notre rôle, c’est de l’aider pour qu’il ne coule pas définitivement.»
La Croix