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Le ventre, miroir de nos angoisses par Bruno Bonaz
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titims
Bon conseiller
titims
Dernière activité le 24/04/2020 à 10:18
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1 192 commentaires postés | 325 dans le groupe Revue de presse
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Ami
Pour moi c est exactement ca ! Stressee= boule au ventre ! Enervee = brulures d estomac tout est focalise au niveau du ventre ! Soucis = problemes de digestion , ballonnements! Infernal!!
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Titims
Utilisateur désinscrit
C'est exacte moi j'ai eu des problèmes intestinaux après que l'on est annoncé que j'allais être opéré une troisième foi j'ai eu peur de me retrouver paraplégique une deuxième foi je me suis tellement battu pour retrouver mes jambes, bientôt au mois de mai je vais être opéré une quatrième foi j'ai eu des problèmes deux jours là cela va mieux mon psychisme le prend bien mais cela n'empêche pas que je me pose des questions comme je le dis dans un autre courrier l'opération va se faire par le côté pour insérer des cages sur les deux étages supérieurs de l'arthrodèse c'est la première foi que j'entends parler de cette façon d'opérer? mais je me fais moins de bile le gros stresse est passé, c'est bien d'appréhender nos peurs directes ou indirectes moi je suis tout fait de l'intérieur, donc ce sont bien les intestins qui trinquent, par contre je n'ai pas la boule au ventre.
annah38
annah38
Dernière activité le 29/05/2021 à 14:18
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6 commentaires postés | 2 dans le groupe Revue de presse
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Ami
Ne dit-on pas que l'intestin est le deuxième cerveau? je vous conseille la lecture de Giulia Enders,"le charme discret de l'intestin"tout sur un organe mal aimé, docteur en médecine, elle nous propose avec humour le voyage de la nourriture, depuis la bouche jusqu'à l'anus. Se basant sur les recherches les plus récentes et les expériences les plus étonnantes, elle fait une visite détaillée du tube digestif. Non, non ce n’est pas rébarbatif mais passionnant et drôle.
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annah
Anne06
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Anne06
Dernière activité le 27/07/2024 à 18:39
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j ai était harcelait par mon employeur pendant 13 ans , j suite a cela j ai hyper tension et diabète et un coma parce que ignorée que j avais cette maladie
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A .m
Anne06
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Anne06
Dernière activité le 27/07/2024 à 18:39
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désolé le j n a pas lieu d 'être faute de impression
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A .m
LadyKat
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LadyKat
Dernière activité le 13/07/2019 à 08:58
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1 040 commentaires postés | 133 dans le groupe Revue de presse
1 de ses réponses a été utile pour les membres
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Ami
Merci pour l'article @Acharki !
Le stress agi sur mes intestins comme un laxatif.
Compte suspendu
C'est sûr, le stress est à la base de multiples problèmes.. d'un autre côté ça m'énerve quand des médecins me sortent à tout bout de champ la pancarte du stress comme explication à tout ce qu'ils ne savent pas expliquer.. le juste milieu est difficile à trouver..
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Carpe Diem
Utilisateur désinscrit
@LadyKat je rappelle que l'article n'est pas complet. Je tacherai de le scanner et le publier en entier ce weekend.
@manosuave je suis parfaitement d'accord avec vous qu'il ne faut pas cacher tout les bobos uniquement derrière le facteur stress. Le paradoxe est que l'état psychique d'un patient est tellement important qu'il faut lui éviter les sources de stress, alors pourquoi ne pas les éviter en temps normal ? Simple question
Bien à vous
karolina03
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karolina03
Dernière activité le 13/03/2019 à 08:03
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1 608 commentaires postés | 33 dans le groupe Revue de presse
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@Acharki pourquoi ne pas eviter le stress tout simplement je pense parce qu'il y a des gens fais pour embeter les autres. je souffre du stress suite à 2 agressions 1 de mon pere et en 2011 d'un inconnu chez moi et j'ai des pics de stress quand je vois mond c..... de pere qui vient me narguer mais j'intériorse trop s la mon pb a moi
merci si tu peux mettre l'article en entier se serait super mais je comprends que ce n'est pas spécialement facile 'si c'est à un étage) et que tu dois faire comme moi trier par priorité les choses à faire
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la douleur es un combat de chaque instant comme un combat de boxe il faut se battre
Compte suspendu
Oui, ça c'est une chose que j'ai pu constater tout au long de ma vie : où qu'on aille, quoi qu'on fasse, on trouve toujours quelqu'un pour nous pourrir l'existence !.. c'est là qu'il faut savoir gérer et c'est loin d'être toujours évident..
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Carpe Diem
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Utilisateur désinscrit
Bonjour,
Le numéro 76 de Cerveau & Psycho traite ce mois d'avril les troubles psychosomatiques. De cause à effet, des maladies trouvent leurs sources dans notre enfance. Je vous invite à le lire.
PS : désolé de ne pas pouvoir partager l'ensemble de l'article car je ne dispose que de la version imprimée. Toute fois si certains ont des difficultés je pourrai scanner les articles et vous les envoyer ou les publier.
Bien à vous.
Douleurs, ballonnements, diarrhées : le système digestif est souvent le premier à souffrir d'un stress trop important ou mal géré. Être attentif à ce signal d'alarme est essentiel pour éviter que le mal ne s'installe.
Certaines personnes souffrent de maladies chroniques de l'intestin, sans que les médecins ne parviennent à en identifier les raisons. Leurs angoisses en sont-elles la cause ?
Dans ce numéro
image: http://www.cerveauetpsycho.fr/e_img/boutique/130/cps_0076_couv_200_px.jpg
Cerveau et psycho N°76
Mieux comprendre les troubles psychosomatiques
L'essentiel
- Les troubles intestinaux sont souvent les premières causes de plaintes pour consultation. Ils résultent parfois de facteurs psychologiques.
- En étudiant les maladies chroniques des intestins, les chercheurs comprennent les liens hormonaux et nerveux, via le nerf vague en particulier, reliant le cerveau au tube digestif.
- Une molécule, le CRF, libérée en cas de stress, provoque une inflammation des intestins et perturbe leur fonctionnement.
L'auteur
Bruno Bonaz est directeur de l'équipe Stress et interactions Neuro-Digestives à l'Institut des Neurosciences de Grenoble et à la Clinique Universitaire d'Hépato-Gastroentérologie du chu de Grenoble.
À lire aussi
Tous les matins, j'ai la boule au ventre, envie de pleurer quand j'approche de l'entrée du bâtiment où je travaille, littéralement envie de vomir quand je parcours le couloir qui mène jusqu'à mon bureau, des diarrhées tous les jours où je bosse (eh oui !), des crises de larmes silencieuses dans les toilettes, un mal de dos persistant depuis ce jour d'août où j'ai repris après trois semaines de congé et où j'étais clouée au lit par des contractures musculaires venues de nulle part… Ce boulot ne m'intéresse pas, mais alors pas du tout, c'est quasi douloureux de le faire, car ce n'est jamais ce à quoi j'ai aspiré, ça m'ennuie intellectuellement, et ça n'a aucun sens réel pour moi… »
Ce témoignage sur un forum de santé est emblématique de la façon dont notre corps exprime parfois les tensions nerveuses que nous accumulons. Son auteur décrit des symptômes bien connus des spécialistes, et qui ont touché aussi des milliers de personnes venues inonder les consultations de généralistes plus d'un mois après les attentats de novembre 2015, pour des maux de ventres qu'elles ne comprenaient pas. Finalement, notre tube digestif est en première ligne dans les effets psychosomatiques liés au stress.
Il y a encore quelques années, un chercheur invoquant ce genre de lien de cause – un stress – à effet – des troubles intestinaux – serait passé pour un charlatan… Mais aujourd'hui, la recherche et la médecine ont révélé que le stress, au sens large (un événement stressant et la réaction de l'organisme qui en découle), provoque des troubles organiques, à la fois fonctionnels, métaboliques, voire lésionnels, notamment dans le système digestif. C'est une forme de somatisation.
Dès 1936, le médecin hongrois Hans Selye a défini la réaction de stress comme l'ensemble des réponses de l'organisme à une sollicitation de l'environnement, qu'il a nommé le « syndrome général d'adaptation ». Face à une contrainte extérieure ou interne à notre organisme, la réaction de notre corps est normale, physiologique, et permet de s'y adapter ou de la combattre. Mais si elle se prolonge, l'équilibre se rompt parfois entre nos capacités d'adaptation et les exigences du milieu. L'organisme s'épuise et la réaction de stress devient pathologique. C'est notre perception de la situation – nous considérons, ou pas, une échéance à respecter ou une douleur comme intenable ou frustrante – qui détermine si nous la vivrons, ou pas, comme stressante. Nous ne réagissons donc pas tous de la même façon face à une difficulté ou une agression. Divers facteurs interviennent : le type et la durée du stress, le contexte dans lequel nous nous trouvons, notre âge, notre sexe, nos gènes, et même des facteurs extérieurs, dits épigénétiques, qui modifient l'expression de nos gènes. Difficile donc de prévoir la réaction de stress de notre organisme !
Plus de 15 % des Français touchés
Pourtant, les effets du stress sur la digestion sont maintenant bien connus tant chez l'homme que chez l'animal, et l'on commence même à identifier les acteurs moléculaires de ce lien entre l'esprit et le corps. Et ce, grâce notamment à l'étude de différentes pathologies intestinales, que l'on regroupe en deux grandes catégories : les maladies dites organiques, dont on connaît des causes, comme les maladies inflammatoires chroniques de l'intestin (la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique, voir l'encadré page 45) et la maladie cœliaque (une intolérance au gluten) ; et les pathologies dites fonctionnelles, sans cause organique connue, telles que le syndrome de l'intestin irritable (anciennement nommé colopathie fonctionnelle, voir l'encadré page 44)
http://www.cerveauetpsycho.fr/ewb_pages/a/article-ventre-miroir-angoisses-36601.php